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Derrière ces danseuses sacrifiées à l’autel de la magie noire, se profile l’ombre d’une humanité contaminée et d’innocents exterminés. Réalité et imaginaire se tendent mutuellement un miroir, deux reflets de l’abîme : celui des forces démoniaques et celui des temps tourmentés.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
"Suspiria" semble déborder de liberté, multipliant les intrigues sans résolution, se complaisant dans l’obscurité de son propos jusqu’à exploser dans un délire hystérique et sanguinolent parfaitement déroutant.
N'y allons pas par quatre chemins : ce nouveau "Suspiria" n'est pas loin de rejoindre "The Thing" de John Carpenter, "La Mouche" de David Cronenberg ou "L'Invasion des profanateurs" de Philip Kaufman sur la liste des remakes les plus passionnants jamais réalisés.
Une relecture passionnante et oppressante du chef d’oeuvre d’Argento qui distille une angoisse permanente avec ses corps malmenés et son atmosphère malsaine. Un véritable tour de force.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
On est dérouté par ce récit démonstratif voire grandiloquent. Mais il faut reconnaître l’audace du réalisateur italien dont les visions de cauchemar s’avèrent envoûtantes.
Mais, à l’image de Dakota Johnson, qui s’épuise à concilier les impératifs contradictoires que le scénario impose à son personnage, Suspiria vacille bien avant sa conclusion.
Dans un style sombre et surchargé, cinq chapitres entretiennent un épais brouillard narratif avant de déboucher sur un climax pompeux et sanglant, mais qui n’a rien à célébrer sinon l’importance que Guadagnino accorde à sa propre signature. On peut préférer, et largement, l’original.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dans ce petit numéro préfabriqué se rêvant parangon d’extravagance, Guadagnino confond trouble et effet de flou, richesse et entassement culturel, débordement et bourrage vomitif.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le reste est un salmigondis d'une prétention illimitée, celle de Luca Guadagnino, qui se prend pour plus malin qu'il n'est à vouloir étoffer un chef-d'oeuvre qui ne demandait rien à personne.
Guadagnino ("A Bigger Splash", "Call Me by Your Name") aligne les scènes d'horreur (le Grand-Guignol pour les nuls), les moments de danse (les filles font des pointes) et les révélations foireuses avec entêtement. Si je vous disais que c'est ennuyeux, je mentirais. C'est à se pendre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Un film incolore mais étonnamment pédant, bien décidé à en remontrer, question histoire, à son devancier qu’il dit admirer (il ne va pas dire le contraire).
La critique complète est disponible sur le site Libération
On n’a rien compris à ce gloubi-boulga abscons sur la sorcellerie, la puissance dévorante des femmes entre elles et la culpabilité de l’Allemagne nazie (sic). Beau mais con.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
[...] un salmigondis fumeux et prétentieux (Lacan est cité), voire indécent quand se greffe l’évocation des camps de la mort sur une bacchanale finale gore franchement grotesque.
Transfuge
Guadagnino étoffe et défigure, selon la démarche des peintres maniéristes, la toile originelle. Et réussit son "Suspiria".
Culturopoing.com
Derrière ces danseuses sacrifiées à l’autel de la magie noire, se profile l’ombre d’une humanité contaminée et d’innocents exterminés. Réalité et imaginaire se tendent mutuellement un miroir, deux reflets de l’abîme : celui des forces démoniaques et celui des temps tourmentés.
Ecran Large
"Suspiria" est un mythe brillant, une expérience viscérale folle et un sublime complément de l'oeuvre culte de Dario Argento.
Franceinfo Culture
Une adaptation élégante et justifiée, au-delà de l'hommage et du simple remake.
L'Ecran Fantastique
[...] objet atypique dense et cérébral qui existe par lui-même, se dégageant ainsi de l'ombre du classique.
La Septième Obsession
"Suspiria" semble déborder de liberté, multipliant les intrigues sans résolution, se complaisant dans l’obscurité de son propos jusqu’à exploser dans un délire hystérique et sanguinolent parfaitement déroutant.
Le Figaro
Luca Guadagnino réinvente le film d'horreur de Dario Argento avec Dakota Johnson et Tilda Swinton en danseuses radicales. Une expérience étonnante.
Le Parisien
Quarante et un ans après l’original, dû à Dario Argento, Luca Guadagnino réussit un remake de ce chef-d’œuvre de l’horreur.
Mad Movies
N'y allons pas par quatre chemins : ce nouveau "Suspiria" n'est pas loin de rejoindre "The Thing" de John Carpenter, "La Mouche" de David Cronenberg ou "L'Invasion des profanateurs" de Philip Kaufman sur la liste des remakes les plus passionnants jamais réalisés.
Ouest France
Un film nébuleux, pas vraiment horrifique mais très imposant.
aVoir-aLire.com
Une relecture passionnante et oppressante du chef d’oeuvre d’Argento qui distille une angoisse permanente avec ses corps malmenés et son atmosphère malsaine. Un véritable tour de force.
CinemaTeaser
Allégorique et pourtant hyper concret, « Suspiria » ressemble à un improbable remake de BLACK SWAN par Fassbinder et Cronenberg.
Les Inrockuptibles
Remake du film culte d'Argento, pesant mais non moins dénué de grâce.
Rolling Stone
Ce nouveau Suspiria, beaucoup moins horrifique que son aîné, dérangera néanmoins les âmes sensibles par son potentiel hautement anxiogène.
Le Journal du Dimanche
On est dérouté par ce récit démonstratif voire grandiloquent. Mais il faut reconnaître l’audace du réalisateur italien dont les visions de cauchemar s’avèrent envoûtantes.
Le Monde
Mais, à l’image de Dakota Johnson, qui s’épuise à concilier les impératifs contradictoires que le scénario impose à son personnage, Suspiria vacille bien avant sa conclusion.
Première
Dans un style sombre et surchargé, cinq chapitres entretiennent un épais brouillard narratif avant de déboucher sur un climax pompeux et sanglant, mais qui n’a rien à célébrer sinon l’importance que Guadagnino accorde à sa propre signature. On peut préférer, et largement, l’original.
Cahiers du Cinéma
La volonté de Guadagnino d’apposer sur son film d’horreur un vernis culturel aboutit à un film long, incohérent et vaniteux.
Critikat.com
Dans ce petit numéro préfabriqué se rêvant parangon d’extravagance, Guadagnino confond trouble et effet de flou, richesse et entassement culturel, débordement et bourrage vomitif.
L'Express
Le reste est un salmigondis d'une prétention illimitée, celle de Luca Guadagnino, qui se prend pour plus malin qu'il n'est à vouloir étoffer un chef-d'oeuvre qui ne demandait rien à personne.
L'Humanité
Une fantasmagorie amphigourique empêtrée dans les citations et digressions.
L'Obs
Guadagnino ("A Bigger Splash", "Call Me by Your Name") aligne les scènes d'horreur (le Grand-Guignol pour les nuls), les moments de danse (les filles font des pointes) et les révélations foireuses avec entêtement. Si je vous disais que c'est ennuyeux, je mentirais. C'est à se pendre.
Les Fiches du Cinéma
Un remake totalement raté du film de Dario Argento, boursouflé, poseur et interminable, et qui fait bâiller quand il devrait faire frémir.
Libération
Un film incolore mais étonnamment pédant, bien décidé à en remontrer, question histoire, à son devancier qu’il dit admirer (il ne va pas dire le contraire).
Paris Match
On n’a rien compris à ce gloubi-boulga abscons sur la sorcellerie, la puissance dévorante des femmes entre elles et la culpabilité de l’Allemagne nazie (sic). Beau mais con.
Positif
[...] un salmigondis fumeux et prétentieux (Lacan est cité), voire indécent quand se greffe l’évocation des camps de la mort sur une bacchanale finale gore franchement grotesque.
Télérama
Une grande déception.