Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Critikat.com
par Carole Millerili
Pour tous " ceux qui restent ", Un ange à la mer est un vrai cadeau. Pour les autres, ce film est assurément une oeuvre troublante et une belle leçon de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaroscope
par La rédaction
Malgré ses maladresses, ce premier film, qu'on sent puisé dans un drame authentique, est bouleversant de souffrance, d'angoisse, d'amour torturé et torturant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Brazil
par Alexandra Louvet
Noir comme le plus sec des polars, d'une tension haletante, "Un ange à la mer" nous plonge en plein trauma.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Première
par Bernard Achour
(...) il passe sur Un ange à la mer comme un frisson de poésie tragique où le fléau du sentimentalisme n'a pas davantage droit de cité que celui de la condescendance ou de l'idéalisation.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
De ce beau sujet – l'enfance sacrifiée par l'égoïsme des parents –, le cinéaste cisèle une (auto ?) fiction où une sensibilité tragique, filmée à fleur peau rageuse, atténue une écriture psychanalytique par trop appuyée.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Excessif
par Anne-Louise Echevin
Techniquement convaincant mais à l'encéphalogramme émotionnel plat.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Etouffement, noirceur, c'est bien ce que ressent le spectateur confronté à ce film interminable (...), maniéré, artificiel.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
La cruauté et l'égoïsme de ce père envers son jeune fils sont difficilement soutenables. Le dénouement est carrément glauque et traumatisant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
[Le] film, par ailleurs fort bien joué par son trio d'acteurs principaux, raconte comment un enfant heureux plonge lentement en enfer (...). Au final, vous êtes assurés de finir KO debout de tristesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir le site du Point.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
En gros, le filmage est supérieur au scénario, colmaté avec des scènes de genres ordinaires.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La rédaction
La mise en scène cherche le salut d'une respiration plus légère dans quelques échappées oniriques et fantastiques. Mais (...) cette démarche sophistiquée ne parvient à sauver un récit plombant de noirceur démonstrative.
Télérama
par Julitette Bénabent
Frédéric Couston se noie dans le formalisme, au lieu de laisser Anne Consigny et Olivier Gourmet porter l'histoire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Isabelle Regnier
Un drame lesté d'un excès de pathos.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Critikat.com
Pour tous " ceux qui restent ", Un ange à la mer est un vrai cadeau. Pour les autres, ce film est assurément une oeuvre troublante et une belle leçon de cinéma.
Le Figaroscope
Malgré ses maladresses, ce premier film, qu'on sent puisé dans un drame authentique, est bouleversant de souffrance, d'angoisse, d'amour torturé et torturant.
Brazil
Noir comme le plus sec des polars, d'une tension haletante, "Un ange à la mer" nous plonge en plein trauma.
Première
(...) il passe sur Un ange à la mer comme un frisson de poésie tragique où le fléau du sentimentalisme n'a pas davantage droit de cité que celui de la condescendance ou de l'idéalisation.
TéléCinéObs
De ce beau sujet – l'enfance sacrifiée par l'égoïsme des parents –, le cinéaste cisèle une (auto ?) fiction où une sensibilité tragique, filmée à fleur peau rageuse, atténue une écriture psychanalytique par trop appuyée.
Excessif
Techniquement convaincant mais à l'encéphalogramme émotionnel plat.
La Croix
Etouffement, noirceur, c'est bien ce que ressent le spectateur confronté à ce film interminable (...), maniéré, artificiel.
Le Journal du Dimanche
La cruauté et l'égoïsme de ce père envers son jeune fils sont difficilement soutenables. Le dénouement est carrément glauque et traumatisant.
Le Parisien
[Le] film, par ailleurs fort bien joué par son trio d'acteurs principaux, raconte comment un enfant heureux plonge lentement en enfer (...). Au final, vous êtes assurés de finir KO debout de tristesse.
Le Point
Voir le site du Point.fr
Les Inrockuptibles
En gros, le filmage est supérieur au scénario, colmaté avec des scènes de genres ordinaires.
Ouest France
La mise en scène cherche le salut d'une respiration plus légère dans quelques échappées oniriques et fantastiques. Mais (...) cette démarche sophistiquée ne parvient à sauver un récit plombant de noirceur démonstrative.
Télérama
Frédéric Couston se noie dans le formalisme, au lieu de laisser Anne Consigny et Olivier Gourmet porter l'histoire.
Le Monde
Un drame lesté d'un excès de pathos.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.