Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Positif
par Pierre Eisenreich
"L'Homme qui tua Don Quichotte" offre un spectacle cinématographique correspondant totalement à l'idiosyncrasie de l'imaginaire de Gilliam. Ce film est une véritable revendication de son "auteurisme" au sens le plus honorable du terme.
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
Terry Gilliam trouve ici le terrain idéal pour mettre en scène la grande idée qui traverse tous ses films : la libération par l’imaginaire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
L'humour est un peu désuet et la narration souvent maladroite mais "L'homme qui tua Don Quichotte" est profondément touchant, généreux, fougueux, se questionne sur les rêves et l'obstination de chacun à les réaliser : Terry Gilliam, lui, a enfin accompli le sien.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par François Forestier
La première partie du film traîne un peu, mais la deuxième, quelle folie cinématographique ! C'est du Gilliam pur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
L’Homme qui tua Don Quichotte vibre d’une énergie, d’un plaisir de faire du cinéma communicatifs.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Marianne
par Olivier de Bruyn
Une oeuvre libertaire, à la fois désopilante et riche de sens.
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
Une épopée surréaliste, truculente et palpitante. En un mot : brillante.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
L’ensemble est déséquilibré, ne fonctionne pas, surtout sur la longueur (2h15).
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Pierre Barbancey
Gilliam nous laisse aux prises avec un objet loufoque et assez déjanté. La cohésion n’est pas toujours au rendez-vous mais cela ne dérange pas vraiment l’équilibre du film, qui repose avant tout sur le chaos, le chevauchement des époques voire l’enchevêtrement des scènes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Après vingt-cinq ans de calvaire pour monter son film, Terry Gilliam livre un objet boursouflé, inégal, parfois ennuyeux, mais doté d’extravagantes fulgurances.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une comédie d’aventures déjantée, parfois confuse, mais d’une ambition touchante.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Le metteur en scène de "Brazil" a tout mis dans ce film foutraque, variation touchante sur le thème de Don Quichotte. Touchante parce que si l’ancien Monty Python manque d’inspiration burlesque, son film enfin terminé est un testament unique, léger et douloureux sur les affres de la création. Drôle de drame…
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Rolling Stone
par Jessica Saval
Entre réalité fictionnée et fiction réaliste, "L'Homme qui tua Don Quichotte" n'est peut-être pas le film que les admirateurs de Gilliam attendaient, mais c'est celui que le réalisateur devait faire.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Imparfait et laissant sur sa faim, ce « grand film malade » semble avoir souffert de son tournage éprouvant mais comporte malgré tout des fulgurances.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Foisonnant, trop foisonnant, L'Homme qui tua Don Quichotte confond mystère et nébulosité comme lorsqu’une séquence de rêve, mal amenée, passe pour un voyage dans le temps incongru.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
La légende du film qui n'existait pas se disloque totalement à sa naissance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Pierre Lunn
Gilliam semble sur le terrain du cinéma totalement lessivé. Et même s’il fait tout ce qu’il peut pour donner le change, son film est une attraction foraine désuète (pour ne pas dire ringarde) qui oscille entre le grand-guignol et l’entreprise de dynamitage artistique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Frédéric Mercier
Gilliam filme dans tous les sens, à coups de grands angles anamorphiques, pour accoucher à la toute fin d’une superbe scène avec géants et moulins qui rappellent combien il fut un grand cinéaste épique. Mais pour parvenir à cette séquence, le spectateur, semblable au héros du film, aura du affronter mille épreuves cinématographiques aberrantes.
Télérama
par Cécile Mury
Inégal, le film semble souffrir des mêmes tourments que Toby, à la fois en panne sèche et en proie aux plus folles hallucinations (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Ses effets-gigognes ringards, ses personnages débilitants, sa laideur et son million de fausses bonnes idées, révèle un imaginaire de farces et attrapes grippé, ne s’offrant même pas le luxe salvateur de l’autodérision et de la légèreté.
Le Figaro
par La Rédaction
«Wow, wow, wow!», n'arrête pas de dire Adam Driver, affolé par ce qui lui arrive. On est tenté de l'imiter, tellement ce Don Quichotte, présenté en clôture du Festival et en salle samedi, engendre l'effarement et la gêne. Tout ça pour ça.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Luc Chessel
Nulle gravité ici, mais pas de joie non plus. Seulement les emboîtements gigognes du cinéma et de la littérature, de l’histoire et de la fiction, de l’ironie et du destin etc., tournant à vide dans une grosse machine à produire de la mise en abyme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
"L'Homme qui tua Don Quichotte" offre un spectacle cinématographique correspondant totalement à l'idiosyncrasie de l'imaginaire de Gilliam. Ce film est une véritable revendication de son "auteurisme" au sens le plus honorable du terme.
Critikat.com
Terry Gilliam trouve ici le terrain idéal pour mettre en scène la grande idée qui traverse tous ses films : la libération par l’imaginaire.
Ecran Large
L'humour est un peu désuet et la narration souvent maladroite mais "L'homme qui tua Don Quichotte" est profondément touchant, généreux, fougueux, se questionne sur les rêves et l'obstination de chacun à les réaliser : Terry Gilliam, lui, a enfin accompli le sien.
L'Obs
La première partie du film traîne un peu, mais la deuxième, quelle folie cinématographique ! C'est du Gilliam pur.
Le Monde
L’Homme qui tua Don Quichotte vibre d’une énergie, d’un plaisir de faire du cinéma communicatifs.
Marianne
Une oeuvre libertaire, à la fois désopilante et riche de sens.
Télé Loisirs
Une épopée surréaliste, truculente et palpitante. En un mot : brillante.
Franceinfo Culture
L’ensemble est déséquilibré, ne fonctionne pas, surtout sur la longueur (2h15).
L'Humanité
Gilliam nous laisse aux prises avec un objet loufoque et assez déjanté. La cohésion n’est pas toujours au rendez-vous mais cela ne dérange pas vraiment l’équilibre du film, qui repose avant tout sur le chaos, le chevauchement des époques voire l’enchevêtrement des scènes.
La Voix du Nord
Après vingt-cinq ans de calvaire pour monter son film, Terry Gilliam livre un objet boursouflé, inégal, parfois ennuyeux, mais doté d’extravagantes fulgurances.
Le Journal du Dimanche
Une comédie d’aventures déjantée, parfois confuse, mais d’une ambition touchante.
Paris Match
Le metteur en scène de "Brazil" a tout mis dans ce film foutraque, variation touchante sur le thème de Don Quichotte. Touchante parce que si l’ancien Monty Python manque d’inspiration burlesque, son film enfin terminé est un testament unique, léger et douloureux sur les affres de la création. Drôle de drame…
Rolling Stone
Entre réalité fictionnée et fiction réaliste, "L'Homme qui tua Don Quichotte" n'est peut-être pas le film que les admirateurs de Gilliam attendaient, mais c'est celui que le réalisateur devait faire.
aVoir-aLire.com
Imparfait et laissant sur sa faim, ce « grand film malade » semble avoir souffert de son tournage éprouvant mais comporte malgré tout des fulgurances.
CinemaTeaser
Foisonnant, trop foisonnant, L'Homme qui tua Don Quichotte confond mystère et nébulosité comme lorsqu’une séquence de rêve, mal amenée, passe pour un voyage dans le temps incongru.
Les Inrockuptibles
La légende du film qui n'existait pas se disloque totalement à sa naissance.
Première
Gilliam semble sur le terrain du cinéma totalement lessivé. Et même s’il fait tout ce qu’il peut pour donner le change, son film est une attraction foraine désuète (pour ne pas dire ringarde) qui oscille entre le grand-guignol et l’entreprise de dynamitage artistique.
Transfuge
Gilliam filme dans tous les sens, à coups de grands angles anamorphiques, pour accoucher à la toute fin d’une superbe scène avec géants et moulins qui rappellent combien il fut un grand cinéaste épique. Mais pour parvenir à cette séquence, le spectateur, semblable au héros du film, aura du affronter mille épreuves cinématographiques aberrantes.
Télérama
Inégal, le film semble souffrir des mêmes tourments que Toby, à la fois en panne sèche et en proie aux plus folles hallucinations (...).
Cahiers du Cinéma
Ses effets-gigognes ringards, ses personnages débilitants, sa laideur et son million de fausses bonnes idées, révèle un imaginaire de farces et attrapes grippé, ne s’offrant même pas le luxe salvateur de l’autodérision et de la légèreté.
Le Figaro
«Wow, wow, wow!», n'arrête pas de dire Adam Driver, affolé par ce qui lui arrive. On est tenté de l'imiter, tellement ce Don Quichotte, présenté en clôture du Festival et en salle samedi, engendre l'effarement et la gêne. Tout ça pour ça.
Libération
Nulle gravité ici, mais pas de joie non plus. Seulement les emboîtements gigognes du cinéma et de la littérature, de l’histoire et de la fiction, de l’ironie et du destin etc., tournant à vide dans une grosse machine à produire de la mise en abyme.