Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un vrai cri du coeur avec tout ce que cela implique d'imperfection.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Parisien
par Hubert Lizé
Cette fable contemporaine (...) est une plongée intéressante dans l’univers des marginaux. (...) Le propos du film, en revanche, pèche par une certaine confusion.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
L'acteur hollywoodien Mark Ruffalo signe une première réalisation dynamique, bien servie par un impeccable casting.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
Le film virevolte sans cesse entre son assise réaliste (le Los Angeles des SDF) et de grosses tentatives de stylisation, avec des résultats inégaux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
Malgré un scénario tendant à la simplification, la première réalisation de Ruffalo a le mérite de révéler une nature (Christopher Thornton) et de célébrer sans flonflons de belles valeurs humanistes.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Emma Martin
Une première tentative boursouflée de bonne volonté, qui charme malgré tout par la bienveillance de son dessein.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) Ruffalo (...) peine à faire partager sa foi dans le destin d'un disc jockey rock paraplégique, vivant dans les bas-fonds de Los-Angeles, où il se découvre un don de guérisseur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Michel Ciment
[Mark Ruffalo] ne parvient pas non plus à évoquer les bas-fonds de Los Angeles, troquant le réalisme pour l'artifice, et le caractère brouillon de sa mise en scène ne fait que souligner les clichés sociaux et psychologiques qui encombrent l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TF1 News
par Romain Le Vern
(...) Ruffalo aime vraiment ses acteurs et ses personnages. Mais (...) le film est visuellement et narrativement rangé dans les conventions d'un cinéma indépendant désormais obsolète (...). "Sympathy for Delicious" ne manque pas de cinéma, juste de novation.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Frédéric Mercier
Au mieux, ce film montre à quel point l'Amérique peine à recycler l'imagerie rock. Au pire, on se dit que "Sympathy for Delicious" risque de devenir aussi culte qu'il s'en donne l'air.
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Le premier long-métrage de Ruffalo se veut une fable acerbe sur le mercantilisme, l’exploitation, la désillusion. Mais elle souffre d’un manque de rythme certain – les divagations du groupe – et d’une fin où souffle la brise consensuelle de la rédemption.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Libération
par Bruno Icher
Tout, dans cette affaire, est embarrassant. A commencer par le scénario (...). Il y a aussi la pauvreté des dialogues, le caractère systématiquement artificiel des situations, la dégoulinade de grandes leçons sur le sens de la vie en fin de parcours, sans oublier le jeu unanimement nul des acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Guillemette Odicino
Hélas, Mark Ruffalo s'empêtre dans son histoire de rédemption à base de rock trash et de guérisons miracles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
Un vrai cri du coeur avec tout ce que cela implique d'imperfection.
Le Parisien
Cette fable contemporaine (...) est une plongée intéressante dans l’univers des marginaux. (...) Le propos du film, en revanche, pèche par une certaine confusion.
Les Fiches du Cinéma
L'acteur hollywoodien Mark Ruffalo signe une première réalisation dynamique, bien servie par un impeccable casting.
Les Inrockuptibles
Le film virevolte sans cesse entre son assise réaliste (le Los Angeles des SDF) et de grosses tentatives de stylisation, avec des résultats inégaux.
Première
Malgré un scénario tendant à la simplification, la première réalisation de Ruffalo a le mérite de révéler une nature (Christopher Thornton) et de célébrer sans flonflons de belles valeurs humanistes.
aVoir-aLire.com
Une première tentative boursouflée de bonne volonté, qui charme malgré tout par la bienveillance de son dessein.
Le Monde
(...) Ruffalo (...) peine à faire partager sa foi dans le destin d'un disc jockey rock paraplégique, vivant dans les bas-fonds de Los-Angeles, où il se découvre un don de guérisseur.
Positif
[Mark Ruffalo] ne parvient pas non plus à évoquer les bas-fonds de Los Angeles, troquant le réalisme pour l'artifice, et le caractère brouillon de sa mise en scène ne fait que souligner les clichés sociaux et psychologiques qui encombrent l'écran.
TF1 News
(...) Ruffalo aime vraiment ses acteurs et ses personnages. Mais (...) le film est visuellement et narrativement rangé dans les conventions d'un cinéma indépendant désormais obsolète (...). "Sympathy for Delicious" ne manque pas de cinéma, juste de novation.
Transfuge
Au mieux, ce film montre à quel point l'Amérique peine à recycler l'imagerie rock. Au pire, on se dit que "Sympathy for Delicious" risque de devenir aussi culte qu'il s'en donne l'air.
TéléCinéObs
Le premier long-métrage de Ruffalo se veut une fable acerbe sur le mercantilisme, l’exploitation, la désillusion. Mais elle souffre d’un manque de rythme certain – les divagations du groupe – et d’une fin où souffle la brise consensuelle de la rédemption.
Libération
Tout, dans cette affaire, est embarrassant. A commencer par le scénario (...). Il y a aussi la pauvreté des dialogues, le caractère systématiquement artificiel des situations, la dégoulinade de grandes leçons sur le sens de la vie en fin de parcours, sans oublier le jeu unanimement nul des acteurs.
Télérama
Hélas, Mark Ruffalo s'empêtre dans son histoire de rédemption à base de rock trash et de guérisons miracles.