Avis : RoboCop - Page 2

La sévérité de certains critiques vis-àvis de cette nouvelle adaption du flic robot est totalement injuste et exagérée. Le but d’un remake est d’apporter à une œuvre de départ, une quantité importante d’éléments nouveaux, originaux, et si possibles, de qualité. Trois choses d’autant plus difficiles à réaliser que le film de Verhoven était extrèmement bien réussi. Pourtant José Padilha remporte haut la main ces trois défis. En plus des modifications complexes et intéressantes que le cinéaste Brésilien apporte au scénario, il ajoute une subtilité à plusieurs personnages qui étaient traités de manière un peu simpliste par le cinéaste Hollandais. Les rôles du savant génial, du PDG peu scupuleux, et du chef de la Police compréhensif, sont bien plus fouillés, et donnent lieu à des rebondissements palpitants. Le suspense est ainsi fort adroitement maintenu. Il n’était pourtant pas gagné d’avance, puisqu’on était censé déjà connaître les tenants et les aboutissants principaux de l’histoire. Et pourtant, on est plusieurs fois surpris, et jamais on ne s’ennuie. Quand à Murphy, il est en proie à des dilemmes encore plus cornéliens que dans la version précédente. Ses préocupations s’en trouvent d’autant plus grandes qu’une plus grande latitude semble lui être technologiquement laissée pour mener propre enquête. L’interprétation des acteurs, notamment de Gary Oldman, et surtout, de Joel Kinnaman, le roboccop nouveau, est tout de même un cran plus fine que celles proposées dans la première production. On se demande à quel degré d’excellence on aurait abouti si toutes les requêtes de José Padilha avaient été acceptées par la production.

un super film a voir au plus vite
aussi bien que l'original

Étant donner que je ne suis pas un fan des anciens films(même si le premier m'avait plus....a 13 ans),je ne craignez pas dit tout ce reboot,au contraire je l'attendais avec une grande curiosité.

Est oui il s'agit bien la d'un reboot,est non d'un quel qu’on que remake,ils ont pris beaucoup de liberté chose pour lesquels j'ai appré scénario se concentre bien plus sur l'humanité de Murphy,est franchement c'est la ou ça ma vraiment ce que regarder un robot pendant 2h sans aucune émotion...je me sent détacher mais un truc de fous.

On pourra dire ce qu'on veut du film,mais le casting a vraiment était au petit oignons,Joel Kinnaman ait un Alex Murhy plus nerveux dans sont travail,est chose que j'ai aussi apprécier dans ce film,c'est la relation qu'il a avec sa femme,interpréter par la somptueuse Abbie la place qu'a le couple est au cœur du film,et j'ai trouver cet aspect très judicieux.

Le créateur de Robocop,le docteur Norton qui dans ce film est jouer par le charismatique est génial Gary Oldman,a une place très importante dans le ré se livre souvent en opposition avec son patron,et big boss de OmniCorp,interpréter par Michael Keaton(trop rare des écrans),qui est assez froid,un peux comme c'est machines,son rôle aurait sans doute gagner en charisme si il aurait était un peux mieux écrit.

Le reste de la distribution sont eux aussi très bon,avec des rôles moins important mais indispensable a l'histoire comme Jackie Earl Haley(Watchmen),en impitoyable Maddox....mais aussi Michael K Williams(Boardwalk Empire),dans le rôle de son coéquipier,trop en retrait,ou bien encore Jay Baruchel qui joue spécialiste du marketing comme il faut.

Les apparition de Samuel L Jackson sont aussi très bonne,qui joue ici un journaliste satirique qui oriente l'opinion bref ce nouveau Robocop sans être parfait,comme certaine de c'est scénes d'action qui ne sont pas a la hauteur(celle dans le noir....),n'est pas pour autant mauvais,c'est même tout le nouveau film donne une sortent de seconde jeunesse au Robot,le réal a réussie a se défaire de l'original pour poursuivre son propre chemin,est se créer son propre film.

C'est un ouf de soulagement ! L'original de Verhoeven n'a rien à craindre de ce remake à la relecture quasi totale.
Pour ma part, le film s'en sort plutôt bien.
Il se trouve que Verhoeven lui même aurait donné quelques recommandations au réalisateur pour éviter de tomber dans l'ultra sérieux qu'était le remake de Total Recall.
Verhoeven étant un amoureux de l'humour subversif, nous pouvons dire qu'ici le personnage interpréter par Samuel L. Jackson lui rend hommage avec des pointes d'ultra patriotisme cher au réalisateur Amstellodamois.
Pour ce qu'il s'agit de l'histoire, nous avons droit ici à un scénario complètement revisité avec un officier qui a une totale conscience de son état dès le départ. Chose qui peu paraître assez étrange face à l'original mais qui permet de développer une trame plus axé sur la technologie que sur la recherche d'identité du héros.
Bizarrement, Robocop n'est pas une histoire policière car même sa cavale pour venger sa propre tentative de meurtre est mise au second plan.
Ce nouveau Robocop agis comme le pilote d'une série de nouveaux films qui pourraient bien apporter son lot de surprise car l'univers d'anticipation reste d'une grande crédibilité et Joshua Zetumer (le scénariste), a posé ici les premières pièces du puzzle avec un certain talent.
Voyons si les chiffres sont au rendez-vous maintenant. Mais avec un budget de $100 millions, nous pouvons présager d'une rentabilité quasi assurée ?!
Sortie américaine prévue pour le 12 février !
A suivre...

Après avoir revu récemment le Robocop (culte) de Paul Verhoeven, j'étais curieux de voir ce que le remake allait donner. Sans doute rien comme souvent. Si les derniers en date (Carrie, Oldboy) n'avaient pas trop à rougir, celui-ci est, contre toute attente, carrément une réussite. Même si ce n'est pas vraiment un...

"Vous allez venir avec moi : MORT ou VIF !"

Une phrase resté célèbre dans le film US culte de 1987 du réalisateur hollandais Paul Verhoeven.
Comme aurait dit le tueur de flic de ce film, Clarence Boddicker (Kurtwood Smith), le tueur de flics du film original : "Faut des c...lles pour venir comme ça là comme un grand!" Et bien le brésilien José Padilha en a eu.
Les derniers remakes de films cultes à Hollywood n'a guère porté ses fruits, cf le Totall Recall (2012) avec Colin Farrell : Bide critique et commercial. Le metteur en scène brésilien, félicité sur son travail sur les films Troupe d'élite 1 et 2 a été choisi pour cette mission quasi impossible. On peut dire que son contrat est réussi. Certes, le film original reste dans mon cœur comme l'un des films SF favori. Sa violence décomplexée au service d'un scénario critiquant le monde de la consommation et de la violence banalisée, reste culte.
Ce remake reprend une partie de l'intrigue du matériel de base mais garde aussi ses différences pour en faire une autre version qui pourrait devenir un renouveau pour la licence. En effet, les studios ORION avaient fermé boutique après l'échec cuisant du film Robocop 3 qui enterrait pour coup le flic en fer blanc.
Quand Hollywood a lancé le projet d'un remake, de nombreux fans (moi compris) ont crié au scandale. Mais en voyant les premiers avis et critiques et les premiers teaser, trailer et extrait, j'étais un peu rassuré.
Le film en lui même bien qu'aseptisé pour être vu par le plus grand nombre, reste un bon divertissement d'action et de science-fiction. Alex J. Murphy flic intègre de la ville de Détroit est victime d'un attentat. Cible de gangsters et de de flics ripoux où dans celui de 1987 il était la victime de plus d'une guerre ouverte entre criminels et flics. L'OCP (OmniCorp) a les moyens de le sauver et de faire de lui l'instrument permettant l'exploitation de robots sur le territoire national US comme elle le fait déjà avec l'armée US dans les conflits extérieurs. On dirait même un parallèle avec la situation actuelle de pays comme la France et les Etats Unis capables d'envoyer leur armée à travers le Monde mais loin d'établir l'ordre et la justice dans leur propre pays. Le long métrage de Padilha oscille entre science, business, politique et corruption. La réalisé est soignée, les effets spéciaux et l'action bien présents. C'est sûr il y a moins d'hémoglobine sur le support original du réal' néerlandais mais le but avoué est atteint. Une nouvelle relance de la saga avec les mêmes thèmes et d'autres. Le film doit aussi sa réussite à un casting réussi regroupé autour d'acteurs solide comme Samuel L. Jackson en Pat Novak, un présentateur TV aussi zélé que propagandiste et Gary Oldman, en scientifique humaniste mais qui a les pieds et mains liés à cause de son patron, un homme d'affaires obnubilé par le bénéfice de son entreprise. Parlons en de ce patron! Le retour de Mickael "Julien Lepers" Keaton. L'acteur qui fut le Batman de Burton nous livre une très bonne prestation. Dommage qu'il soit d'ailleurs si rare sur le grand écran. On se souvient de son rôle mémorable d'agent fédéral dans Hors D'atteinte et Jackie Brown. Le nouveau Robocop, le suédois Joel Kinnaman, fait le taf'. Il est l'humain qu'on tente de faire devenir Robocop alors que Peter Weller (l'ex flic robot) était le Robocop qui se rappelait en cours de route avoir été humain. Il s'en sort grâce à sa famille d'ailleurs bien plus présente dans ce film, surtout son épouse (Abbie Cornish). Malgré un certain classicisme de l'histoire, certains stéréotypes exacerbés dans les rôles, et l'armure noire du héros ( Trop Batman Nolanien à mon goût), ce film que tous voyaient casse gueule et qui a a eu de nombreux problèmes durant sa production est un pari réussi des studios et du réalisateur sud américain. Une œuvre qui se détache du film d'origine tout en lui faisant quelques clins d'œil.
On verra les résultats définitifs mais il est sans doute certain que la licence du héros 50% homme, 50% machine, 100% flic soit relancée.
"J'en prendrais pour un Dollar!"

Partant assez pessimiste sur cette nouvelle version, j'ai était agréablement surpris. On retrouve bien le savoir-faire et certaines problématiques chères au génial réalisateur de "Tropa de elite" 1 et 2.

Le film explore toute une partie qu'avait ignoré le premier film, c'est-à-dire la période entre le moment où il devient Robocop et le moment où il réintègre le commissariat de police, ce qui est plutôt bien vue. Toute une réflexion intéressante entoure la robotique et les drones utiliser dans le cadre militaire et civil, ce qui est nouveau ici et relativement bien intégré à l'histoire.

Les fans apprécieront le retour de la musique originale du premier film à plusieurs reprises.

Tout est plutôt bien ficelé, on ne s’ennuie pas. Il n'y a pas de scène de violence gratuite comme dans le premier film, ce que certains amateurs de gore pourront regretter, mais ce n'est pas mon cas. C'est un bon film d'action, beau visuellement et intelligent. Il n'y a pas de raison de le bouder.

un film grand spectacle avec de bon effets spéciaux... histoire est légèrement modifié par rapport au premier volet original mais corrigeant les incohérences du scénario original

Ce remake est loin d'être raté, il ne trahit pas l'esprit Robocop même 27 ans après, certes il est plus moderne, plus rapide, plus adapté à son époque. Effectivement, Paul Verhoeven avait une critique plus acerbe dans sa critique d'une société déshumanisée.
Ce remake est donc réussi grâce notamment à un casting 4 étoiles, notamment avec l'excellente performance de Gary Oldman toujours au top ...

4/5 Un bon film d'action au effet spéciaux bien réalisé, le film est plaisant dans son scénario on ne s'ennuie pas et l'histoire nous laisse pas indifférent, pour ma par j'ai beaucoup aimé...

Un reboot du XXIe siècle avec un casting prestigieux

“Robocop” (2014) est un film bien écrit et stimulant qui adopte une approche différente du chef-d'œuvre culte de Paul Verhoeven.

Certes, José Padilha n'est ni Paul Verhoeven, ni Irvin Kershner, ni même Fred Dekker, mais cela n'empêche pas ce récit de la vie du policier de Detroit Alex Murphy/Robocop d'être intéressant et perspicace à plus d'un titre.

Car, son mérite réside surtout dans sa capacité à innover en explorant d'autres pistes. En effet, ses concepteurs savaient qu'ils menaient une bataille perdue d'avance s'ils ne tentaient qu'un remake, qui n'apporte rien de frais, et souffre de la comparaison avec l'original.

L'officier de police de Detroit spoiler: Anne Lewis n’est plus là, mais en contrepartie, la relation entre Murphy et sa famille est plus développée que dans la trilogie du XXe siècle. En fait, l'officier Lewis devient un rôle de soutien masculin
parmi une distribution prestigieuse, qui comprend Joel Kinnaman, Gary Oldman, Michael Keaton, Samuel L. Jackson, Abbie Cornish, Jackie Earle Haley, Michael K. Williams, Jennifer Ehle et Jay Baruchel; tous offrant des performances efficaces.

L'intrigue est intelligemment menée en ce qui concerne l'économie, la politique, la technologie et les médias. Chacun ayant la possibilité de montrer à la fois ses aspects positifs et négatifs.

Même si on spoiler: n'a pas droit aux publicités et reportages caustiques et décalés du siècle précédent
, Samuel L. Jackson est hilarant et magnifique dans son rôle. Tout comme Michael Keaton qui joue le spoiler: PDG moderne, décontracté mais sans cœur ni âme et sans foi ni loi, à merveille
. Jackie Earle Haley est fidèle à lui-même dans le rôle spoiler: d’un superbe salopard
. La bande originale est correcte, mais on regrette l’œuvre du Maestro Basil Poledouris, R.I.P.

Une décennie après la sortie de Robocop (2014), nous attendons toujours de savoir quand les projets 'Robocops' et 'RoboCop Returns', en développement, se concrétiseront.

4.2/5

Je n'ai pas vu le film original de 1987, mais en tout cas celui-là est réussi. Je vais commencer par ce que j'ai regretté : la musique était assez transparente et banale, les acteurs crédibles mais sans plus, et j'ai dû aller sur Internet pour savoir en quelle année se déroulait le film car ce n'était pas indiqué. Mais pour le reste, je suis satisfaite de ma séance : les effets spéciaux sont bons et ont ce style "futuriste" sans être envahissants ; je ne me suis jamais dit que je m'ennuyais parce que j'étais prise dans l'histoire ; le mode "caméra à l'épaule" n'était pas omniprésent et on voyait quand même globalement ce qui se passait ; et enfin le plus important, toutes les questions d'éthique et de morales ont été abordées de manière selon moi juste. Ce que j'apprécie, c'est que même s'il y a un parti pris par le film (les "méchants" sont du côté du tout robotisé après tout), on nous laisse le choix, on nous donne les arguments des deux côtés et ensuite en sortant de la salle on en fait ce qu'on en veut. J'apprécie que le film revendique quelque chose mais qu'il ne force personne à adhérer avec son message. En somme, RoboCop est un film de science-fiction divertissant, énergique, revendicateur et efficace, qui m'a agréablement surprise.

Eh bah dites donc ... Je ne m'attendais autant apprécier le film ... N'étant pas très fan du Robocop original (un très bon film mais que je ne classe pas parmi les films légendaires), je dois dire que je préfère de loin ce remake à l'original. Le film s'interesse plus à la condition quasi robotique de Murphy, comment il le vit et c'est là que la différence avec l'original se fait : là où on voyait comment Murphy acceptait sa part d'humain, ici on découvre comment il essaye d'accepter sa part de robot le tout dans un film aux scènes d'action superbement bien filmées sans pour autant dénaturer cette approche humaine qu'a ce film. A voir de toute urgence !

Faire un remake, cela implique beaucoup de choses. Il faut prendre des décisions importantes pour pouvoir revisiter correctement une franchise. Mais beaucoup ont dû oublier en visionnant ce film qu'il ne faut pas obligatoirement reprendre exactement les mêmes choses en modernisant le tout pour faire un bon remake. "Robocop" s'est fait incendier de partout à sa sortie, par rapport à son éloignement avec le film original. Mais également de par son manque de violence, d'humour noir et de par son scénario très éloigné au niveau de l'histoire et de ses thématiques. Mais justement, c'est pour tout cela que j'ai trouvé le film vraiment très bon ! Effectivement, le long-métrage est différent, mais cela ne veut pas dire qu'il n'a rien à voir. Quand on modernise une licence, on modernise l'ensemble. C'est pourquoi ce film se permet de prendre beaucoup de risques, pas compris par la plupart des gens, mais qui font pourtant mouche. Reprenant les fondations de l'œuvre originale, ce film réussit à emmener la licence vers des choses différentes et intéressantes ! La vision du futur ainsi que la vision des États-Unis en général a beaucoup été modifiée, et c'est tant mieux. On ne voit plus tout cela de la même manière aujourd'hui qu'à la fin des années 80. On a donc un film qui va proposer des thématiques plus actuelles ou revisitées. Notamment dès les premières minutes, avec un gros sous-entendu sur les conflits dans lesquels l'Amérique est impliquée un peu partout autour du globe. Et pour le reste, on retrouve toujours cette question de l'humanité de Robocop, qui a été retravaillé, ce film-ci mettant bien plus en avant son rapport avec sa famille par exemple. Et cela n'est pas plus mal en vérité, car c'était quelque chose qui manquait énormément à la saga d'origine. On s'y intéressait un peu, mais bien trop tardivement dans les épisodes originaux. Le film va également revisiter les journaux de télévision des films originaux, transformés ici dans une espèce d'émission d'enquêtes et de reportages qui sonnent beaucoup plus actuels. Et il n'y a pas que dans son écriture que le film se modernise, visuellement aussi. Les scènes d'action sont logiquement plus rythmées que l'œuvre originale, beaucoup plus de moyens ayant été mis. Le Robocop du film étant beaucoup plus mobile et puissant que celui d'origine, ce qui est une très bonne chose ! Pour des scènes d'action d'aujourd'hui, le Robocop d'origine ne convient plus du tout, soyons honnêtes. Et que l'on ne vienne pas me parler de la violence qui n'est pas retranscrite ici. Certes, c'est dommage de ne pas retrouver ce point, mais c'est vraiment du chipotage à mon sens. Si votre définition des premiers films s'arrête à ce point-là, c'est que vous n'avez rien compris à la saga d'origine. Le gore et la violence n'étaient qu'une partie de ce qui faisait l'ensemble de ses films, et non l'élément principal, ne l'oublions pas. On a donc un ensemble qui revisite bien l'original, avec des nouvelles thématiques, différentes certes, mais intéressante. Et des scènes d'action plus dynamiques, gardant un rythme toujours très bien soutenu. Ce film est donc le bon exemple de comment bien faire un bon remake, que vous le vouliez ou non. Il reste un excellent divertissement et un film abouti. Pour conclure, un bon retour d'une légende du cinéma.

Agréablement surpris du remake, un fil qui est réussi mais qui diffère de l'oeuvre de 1987. En effet, dans celui ci la violence est moins est présente, et la famille de Murphy est plus présente que dans le précédent. Dans celui de 1987 Robocop est avant tout une machine qui prend conscience que c'est un homme. Dans celui ci, Murphy sait qu'il est une machine, on l'appelle d'ailleurs l'inspecteur Murphy. On essaye de lui enlever toute émotion humaine, mais il arrive à en produire et échappe à tout contrôle. De plus dans cette version, Robocop peut être facilement détruit, alors que dans celui de 1987 il était quasi indestructible. Il y a quelques différences avec celui 1987, et je trouve que la critique social est adaptée avec le temps. Une bonne réussite avec un très bon casting, Robocop est réssucité, espérons une suite