Derniers Avis : RoboCop - Page 5

Je trouve que le film met trop longtemps à démarrer, et que l'action attendue dans ce genre d'oeuvre n'est pas forcement au rendez-vous, après c'est mon point de vue. J'ai été très déçu de mettre 11€80 dans cette projection.

Pourquoi faire un film qui dénature l'original ? Pourquoi 130millions d'euros pour un résultat aussi médiocre ? Le film est plat et les personnages manquent de profondeurs psychologique. Le nœud dramatique qui provoque la transformation du policier en robocop est tout bonnement ridicule et n'insuffle rien de dramatique. Dans la première version on sent toute la gravité de son incident et c'est la ou la psychologie du personnage est crée. Dans le remake on sent bien la volonté de toucher une cible 10 ans minimum. C'est raté complet ! Ne parlons pas de l'ED209 qui ne représente ici qu'une vulgaire machine ridicule. Je me souviens décembre robot dans l'original... Quand je le voyait j'avais vite compris car j'avais des frissons et la peur. j'arrête la les critiques car j'ai pas fini sinon... Ps: Gary Oldman... Tu fou quoi dans ce film moisi ?????!

Totalement bidon....!!!! Le scénario est plus que léger, on s'ennuie du début à la fin. Il ne vaut vraiment pas l'original.

Si vous avez du temps a perdre ou des heures de sommeil a récupérer, dans ces cas la vous trouverez votre bonheur.

L'annonce du remake de RoboCop il y a de ça 6 ans avait déjà hérissé les poils des fans du chef-d'œuvre de Paul Verhoeven. Et puis il y a eu ces complications imprévues : tournage chaotique, changements d'acteurs en cours de route, reshoots innombrables, sortie repoussée. Bref, on n'attendait plus rien de cette refonte version 2014 d'abord confiée à Darren Aronofsky qui laissa finalement sa place au plus docile José Padilha (Tropa de Elite et sa suite). Alors que vaut au final ce produit marketing aussi impensable qu'inutile ? La réponse est dans la question, forcément... Dans sa forme la plus simple, ce remake est une déception : scènes d'action épileptiques incompréhensibles, dialogues cousus de fil blanc, scénario morcelé dont les thèmes prioritaires semblent avoir été triés au lance-pierre, interprétation ringarde (aaah les grimaces de Joel Kinnaman), identité inexistante. On sent bien que ce pauvre Padilha n'a pas eu la vie simple lors du tournage, terrassé par des producteurs constamment insatisfaits qui ont progressivement remodelé son film. Tout est juste moins bon que l'original (qui a quand même 27 ans, rappelons-le) : les thèmes abordés enlèvent toute puissance narratrice, l'émotion est au rabais, la musique passe par une oreille et ressort par l'autre, le gore si impressionnant du film original passe clairement à la trappe, l'enquête principale de notre robo-flic passe au second plan et voit son dénouement atterrir comme un cheveu sur la soupe... Bref, on grince trop souvent des dents. Toutefois, contrairement à bon nombre de remakes, il y a de bonnes idées qui, si elles ne sauvent pas le film, peuvent d'être soulignées : le choix de se concentrer sur les difficultés de notre héros à accepter sa condition est intéressant bien que cela ne vaut nullement la douloureuse situation qu'il endure dans le film de 1987. Autres idées bienvenues : la corruption au sein-même de la police et la mise en place de robots déjà existants de par le monde. Pour le reste, la coéquipière Anne Lewis devient Jack Lewis (le changement de sexe, si ça c'est pas de l'originalité), le mémorable bad guy Boddicker est remplacé par un troufion que l'on ne verra que pendant deux scènes et toute atmosphère de danger est écartée avec cette désagréable impression que ce nouveau RoboCop n'a pas grand chose d'exceptionnel si ce n'est repérer les méchants et les intimider. En somme, un remake forcément raté et dispensable qui mérite néanmoins le visionnage, ne serait-ce que pour aduler plus encore l'immortel chef-d'œuvre de Verhoeven.

Robocop est le premier film vraiment mauvais de l'année 2014. Atteindre de tel niveau dans la médiocrité c'est assez rare, surtout quand l'on sait qu'il part sur des bases solides pour convaincre les spectateurs fans de l'original. Je n'ai pas vu le film de Paul Verhoeven et clairement dès le départ je trouve le synopsis assez nul. À vrai dire je ne voulais pas du tout me rendre en salle pour un film pareil. Mais je m'ennuyais et avec un pote nous avons fait un choix. Pas très difficile étant donné que tous les films avaient déjà commencé depuis une bonne demie heure. Sauf celui-là. Le destin a voulu que je visionne ce film. C'est cruel. Une fatalité.

Il faut y aller fort pour pondre un long-métrage puant aussi fort le déjà vu. Tout est prévisible (on le voit à des kilomètres que c'est spoiler: la commissaire de police
qui est dans le coup), manichéen et trop lisse. Le film commence sur un journaliste incarné par Samuel n (imbuvable à chacune de ses apparitions au passage) qui présente une Amérique supérieure à toutes les autres nations réunies. Le rêve américain. Cliché. Jusqu'à ce qu'on voit un enfant se faire tuer par une machine ne ressentant aucune émotion. Le message cliché mais qui passe bien. Les message installés tout au long du film (on ne peut remplacer l'homme par une machine, le vrai visage des États-Unis) retombent comme un soufflé à la fin du film par une seule phrase. Vive l'Amérique. Autant ne pas véhiculé un message si c'est pour le détruire tout de suite après. Et puis les répliques sont juste des perles. Je repense par exemple à un dialogue entre Gary Oldman (c'est qu'il y a du monde en plus dans ce truc.) et Joel Kinnaman (le seul qui à mon goût dégage quelque chose. Il dose assez bien le côté machine mêlé à l'humain) se pinailler autour du beurre de cacahouète. Quelle tristesse. Ridicule.
Les stéréotypes s'accumulent jusqu'à en dégouliné. On n'y fait même plus attention. La petite famille américaine parfaite (le père aimant sans emmerdes etc ...), le méchant qui fait figure de boss et qui prend sa raclée à la fin ... Oh les rebondissements !

José Padilha n'arrive pas à faire décoller le film et ce malgré les moyens ahurissants mis à sa disposition. 100 millions de dollars de budget. Mais ou tout est passé ? Car si je n'attendais pas un film exceptionnel, je pensais qu'on aurait au moins le droit à des scènes de castagnes biens foutues. Mais même pas. Les quelques scènes d'actions "épileptiques" sont nulles. On y voit rien. Et puis les musiques sont risibles.

Un vide abyssal que rien ni personne ne peut sauver. Hollywood est dans sa période "recyclage". Dans sa quête perpétuelle de rapporter un maximum de fric, les sagas et reboot se multiplient à une vitesse affolante. Ne laissant place à presque aucune décision au réalisateur et encore moins à l'originalité. Certains de ces films sont bons. Pas pour "Robocop" qui n'apporte rien de neuf au genre (je ne peux pas le comparer aux films précédents car comme dit précédemment je n'ai pas eu cette "chance"). Un film superficiel qui n'a même pas le mérite de nous divertir. Bien joué les gars, félicitations.

Très déçue.... Surtout de la fin... L'histoire ne m' a pas beaucoup plus. J'ai l'impression que le personnage principal n'en sort pas victorieux

Un reboot qui fait du mal... un soin apporter au effets spéciaux ainsi qu'un casting assez prestigieux! mais très long à démarrer et manque une chose essentielle pour un Robocop... De l' hémoglobine!!
On sent que le réalisateur à voulut faire SON film, et pas une reproduction de Verhoven, mais je n'accroche pas du tout! C'est mou, fatiguant, voir ridicule dans certains passages... Rien à garder...

Robocop est dans la norme des films d'action à gros budget actuels, à savoir insipide et superficiel. Rien dans ce film ne permet de le sortir de la masse au contraire même, à une exception près il s'agit d'un remake d'un des meilleurs d'action et de science fiction des années. Et là c'est la chute, du film original il ne reste rien à part l'idée de départ, à savoir un flic transformé en robot; tout le reste a été aseptisé: la violence est devenue propre et sans bavure, l'humour noir a disparue, la critique satirique de la société américaine s'est transformé sous la médiocrité du réalisateur brésilien en un réquisitoire de pacotille contre les méchantes sociétés et les flics corrompus. Les quelques bonnes idées apportés par le film sont mal exploités ou laissé de coté, le plus évident c'est l'introduction de machines sur le sol américain par le vote d'une loi, qui est tellement en second plan qu'on s'en fout. Du coté des acteurs, hormis Michael Keaton, et Gary Oldman, c'est la foire des légumes, tous sont fades et transparents, surtout l’interprète de Robocop ou Alex Murphy qui a l'air de mieux s'en sortir en robot qu'en père de famille, ce qui n'est pas dure vu l'inexpressivité qu'il dégage. Le film aurait pu s'en sortir avec des scènes d'actions mais en plus d'être rares, on a l'impression de les avoir vu en mieux dans d'autre films, surtout que l'aspect gore et ultra violent ayant disparu, elles font presque pitié à coté de celle de son modèle sorti, il y a plus de 20 ans, un comble pour un film venu le dépoussiérer. Il ne fait aucun doute que ce film disparaitra des mémoires des cinéphiles, et que seul restera pour de longue décennie le seul, l'unique Robocop de Paul Verhoeven.

Lent comme film. On s’ennuie pas mal. Pourtant le film commence bien mais beaucoup trop de longueur par la suite. Quelques blagues sont faite dans les dialogues. Sinon les effets de caméra ne sont pas toujours agréable. Vraiment déçu par ce film. La moto est pas mal. Pour ceux qui aimé Robocop on ne le reconnait pas maintenant il est rapide et il sait sauter. Bref de mon côté j'ai pas aimé ce film.

Pauvre Paul Verhoeven... Après une suite à "Basic Instinct" et un remake de "Total Recall", voici le remake de "RoboCop". Qu'est-ce qui change ? Pas grand chose au niveau de l'histoire qui est à peu près la même avec évidemment quelques changements où le thème est globalement centré sur la place de la machine chez l'homme et les problèmes que cela implique. Certes, cette version modernise le tout mais était-ce nécessaire ? Je dirais que non. Entre une mise en scène impersonnelle et un scénario bourré de personnages caricaturaux et de scènes bancales, le seul point positif du film est Gary Oldman. En médecin brillant confronté à des problèmes d'éthique, il est très bon et apporte une vraie profondeur à son personnage. Contrairement aux autres acteurs dont le pauvre Joel Kinnaman qui entre dans la voie du blockbuster par la mauvaise porte dans un rôle franchement décevant. Et ce ne sont pas les scènes d'actions, froides et sans aucune tension, qui vont rattraper le tout.

fan du Robocop original comme moi alors passez votre chemin.
c'est l’époque des film sombre, alors que l'original était un pur film de science fiction ce dernier n'est rien de moins qu'un thriller dramatique a gros budget, gros budget peut etre mais pas niveau bande son qui date des années 20 peut être par soucis d’économie ? hors mis 15 secondes de la musique mythique de l'original. film dépriment alors que dans l'original il y avait un bonne dose d'humour.
le film ce veut plus réaliste et pourtant la fin du film est loin de l’être entre coupé de scène tout droit sortie d'un jeu vidéo.
j'ai cru voir un mauvais pilote d'une futur série.

Le film à rien avoir avec les trois premier et il es super long à commencer , certaines scènes sont bien ,mais voilà d'autres moins et nian nian moi es des amies on était très dessus on attendait à plus de sang ,de machine, ect ... Déçu

Un acteur principal qui a le charisme d'une moule, un scénario au ras des paquerettes, un réalisateur peu impliqué, vous l'aurez compris, ce reboot de Robocop est une très mauvaise série Z. Seul les effets spéciaux de qualité sauve le film du zéro pointé.

Robocop, ou un énième remake sans identité.
Scènes d'action (certes filmées avec un certain brio) vues et revues,
Les effets spéciaux tiennent la route. Mais le remake est fade et sans réel intérêt, il m'a rappelé la relecture de Total Recall.
Correct mais pas indispensable