Derniers Avis : RoboCop - Page 19

En mettant de côté le cultissime et inégalable Robocop de 1987, ce reboot est très intéressant, certes beaucoup moins gores et sanglant comme la mort d'Alex Murphy ) !! Niveau divertissement on est bien servis, les scènes d'actions sont efficaces,, surtout l'attaque finale, les effets spéciaux sont réussis !! Michael Keaton, Gary Oldman assure l'essentiel !!

bah c'est pas mal quand même. Le coup du présentateur à la mode starship troopers est excellentissime (surtout avec samuel l jackson). Et puis, sans coller à l'opus des années 80, on retrouve quelques traces comme les robots, la bande de délinquants sanguinaires, la famille du pauvre gars. C'est vrai que le 1er était plus désespéré, et on ressentait beaucoup plus la société ultra-violente. Mais la c'est du bon gros blockbuster. Et je ne sais pas trop ou certains ont trouvé un coté profond au film.... c'est de l'action à l’état pur, un gars qui a une femme superbe, un môme génial, et qui perd tout; d'ailleurs au sens propre comme au figuré. Car la scène ou l'on découvre ce qui lui reste comme corps est assez dérangeante. A noter effectivement cette main qui est la... pourquoi? mystère.
Les effets spéciaux sont très bons: excepté à la fin, ou je trouve que pendant le combat avec les gros robots, on distingue bien que c'est de l'image de synthèse. Et bien sur, une fin qui sent le prochain opus qui sera très certainement une daube. Mais bon, on verra à ce moment la :)

Après le Total Echec du remake de Total Recall, voilà qu'Hollywood nous ressort un autre film de science fiction de Paul Verhoeven. Manque d'inspiration ? Vu le nombre de scénaristes je ne pense pas. Manque de cou... rage ? Fort probable étant donné qu'il est moins risqué de réutiliser une recette qui a déjà bien fonctionné et dont le nom très connu fera venir au cinéma jusqu'aux plus sceptiques d'entre nous, trop tentés de satisfaire leur besoin de comparaison avec l'original.
Ceci étant dit, ils ont tout de même eu la bonne idée de confier le bébé à José Padilha, réalisateur Brésilien, qui a su faire un film plutôt intéressant.
La première mode du moment à Hollywood, c'est donc de réchauffer les vieux(?) succès au micro-onde et la seconde c'est... les super héros ! On pourrait naturellement penser qu'on va donc se rapprocher d'un Iron Man mais le réalisateur est plus fan de Batman et ça se voit : le nouveau Robocop est totalement en noir, il a une BAT-moto (enfin une roBOT-moto), son créateur n'est autre que Gary Oldman a.k.a 'Commissaire Gordon' dans la trilogie de Christopher Nolan, et le PDG d'Omnicorp en pull et blue-jeans façon Steve Jobs n'est autre que Michael Keaton a.k.a 'Batman' dans les films éponymes de Tim Burton... Je pense qu'en terme de messages subliminaux pour faire penser à l'homme chauve-souris on a ce qu'il faut...
Je ne veux pas faire trop long (si ce n'est pas déjà trop tard !) donc en bref, je soulignerais 2 points intéressants du film :
- la manière dont est traité Robocop comme un produit de consommation lambda par l'équipe Marketing d'Omnicorp
- l'émission de TV du futur proche (nous sommes à priori dans les années 2020) qui prône le 'tout sécuritaire' quitte à réduire la liberté des citoyens et supprimer le droit à la vie privée
Donc un Robocop moins percutant que l'original mais tout de même assez bien pensé.
Il y a du progrès dans les remakes des films SF de Verhoeven, mais ils risquent de se casser les dents s'ils font le prochain : Starship Troopers.

aïe aïe aïe aïe aïe aïe aïe aïe.............................................................. Ce film est une catastrophe. Pourquoi en parler ? Je n'ai pas que ça à faire. La chose est horriblement ennuyeuse et inutile, tellement maladroite que ça en devient gênant. Je ne pensais franchement pas que ça tomberait aussi bas. Au début je me disais que quand même, allez, il doit bien y avoir quelque chose là-dedans... et... en fait y'a rien. Juste le titre au début qui en jette, c'est à dire rien. C'est absolument dingue de pondre un oeuf aussi vide, et qui veut faire croire qu'il porte en lui un joli petit poussin. Si poussin il y a là-dedans, il est vilain, très vilain. J'en reviens pas. Moi pas comprendre. Moi avoir perdu 2h de mon temps, plus le temps passé à en parler puis écrire, ce qui doit faire à peu près 3h. Mais je n'ai pas donné un centime pour cette daube, et c'est heureux. Un remake de plus qui fait fausse route de A à Z.

Malgré tout le mal qu'on avait pu en lire de la part d'une certaine presse qui n'a de spécialisée que le nom, j'ai passé un super bon moment. Les effets spéciaux sont magnifiques et la mise en scène parfaite.
J'avais adoré la version de Paul Verhoeven dans mon enfance et il est vrai que le tandem Peter Weller/NAncy Allen m'avait davantage touché que dans ce nouvel opus.
Quoiqu'il en soit, il mérite ses 4 étoiles ;)

On fait du neuf avec du (relativement) vieux pour, au final, n'obtenir qu'un film d'action terne et conventionnel.

Je m'attendais a une grosse daube mais non, au final ce n'est qu'une... "petite daube". L'histoire est forcement pas du tout nouvelle vu qu'il s'agit d'un reboot. La surprise est donc ailleurs. Comme dans certains effets spéciaux sympathiques et certaines scènes agréables. Mais ce que je retiendrais surtout c'est le charisme Joel Kinnaman, proche de celui d'un panda, totalement pas crédible.

Excellent remake du film de Paul V. Agréablement surpris. Un très bon divertissement qui se laisse regarder.

J'ai regardé ce film avec un a priori négatif, basé non pas sur les critiques, que je n'avais pas lues, mais sur des extraits. Après visionnage, certains défauts que j'avais identifiés subsistent : acteurs principaux sans charisme, scènes d'action assez banales, effets spéciaux limités, des rebondissements et un final plutôt attendus. La reprise d'un personnage original sans le transcender est également décevante. Cependant, en tant qu'amateur de sci-fi, je trouve que le film est sauvé par le choix d'axer l'intrigue sur l'évolution de la personnalité du héros. Des questions de fonds sont ainsi abordées, qui ont trait à la condition humaine, et notamment la question de savoir ce qui distingue l'humain des robots. Quelques notions sont ainsi traitées qui ne le sont pas dans d'autres films de ce genre et suffisent à garder à cet opus de Robocop un intérêt cinématographique.

J'avais beaucoup aimé les films politiquement très incorrects de Padilha sur les favelas à Rio. Toutefois, ce Robocop m'a déçu comparativement à l'original. Samuel Jackson "cabotine" à merveille, l'acteur interprétant Robocop est impeccable mais l'ensemble est un peu longuet et manque de folie par rapport à l'original de Paul Verhoeven.

Belle surprise, un scénario très intéressant. On i trouve une histoire vraiment noir et un robocop rapide et nerveux. Des effet spéciaux juste titanesques avec des robot et des androïdes juste diabolique. Le casting est super sympa. Bref je vous le conseil vivement c'est sûrement un bien meilleur film que la trilogie originale.

wahouuuuuuuuuuuuuuuu !!!!! j'ai adoré de super effet speciaux une bonne histoire et de trés bone scenes d'action

Verhoeven m'avait séduit il y a 25 ans de cela. Mais il y a un truc que ce réalisateur accompli ne maîtrise pas, c'est filmer les sentiments humains. Un défaut que l'on retrouvera quelques années plus tard dans l'excellent "Starship Troopers", le jeu des personnages souvent froid peu parfois dérouter.
Ce nouveau cru dépoussière bien l'ancien. Le jeu des acteurs reste correct avec une" mention spéciale " au toujours inattendu Gary Oldman.
D'un point de vu de l'image, c'est esthétiquement bon. Le scénario, légèrement remanié apporte une nouvelle lecture à l'aventure Robocop, et c'est un bon point. Seul défaut, le personnage de Samuel L Jackson tout juste excessif m'a fait sortir du film.
Bref, une nouvelle génération qui a sa place dans cette mode de revisiter les anciens standards de la SF.

Est-ce que ce remake du mythique "Robocop" est un mauvais film ? Honnêtement : non.
Le réalisateur, qui ne débarque pas du milieu des "clippeurs" (genre ce tâcheron de Michael Bay), sait tenir une caméra, diriger des acteurs et monter un film correctement. Ce qui n'est pas rien à notre époque.
La photographie est bonne et les acteurs se divisent en deux groupes : les acteurs chevronnés (et les guests) qui assurent et les petits nouveaux (dont le rôle titre, sig) qui sont là plus pour leurs gueules que pour leur charisme ou leur talent.
Alors pourquoi une seule étoile ?
Parce que toucher à une grande réussite, tant sur le fond que sur la forme, comme le "Robocop" de 1987 est périlleux et que ce remake ne lui arrive pas à la cheville.
Tout d'abord, dépeindre un futur plus ou moins désenchanté et sécuritaire ou tout est beau et propre avec des oiseaux qui gazouillent est aussi ridicule qu'idiot, surtout si l'on prend en compte l'état désastreux de l'économie américaine. On voit mal comment les soldats US pourraient être remplacés en partie par des robots sans que cela n'impacte sur le budget, sur le chômage et donc sur la consommation et les revenues des ménages... De plus, là où l'original montrait une société en perdition en proie à une criminalité ultra-violente et un système capitaliste opprimant, des rues sales, des gens désabusés et abrutis pas les mass médias ce qui justifiait aisément le recours à la voie sécuritaire et la création de Robocop (d'un point de vue social et, surtout, économique), le monde de ce remake est trop lissé, trop gentillet. Le cortège d'actionnaires et de cadres sup' défoncés à la coke est remplacé par un gentil docteur qui œuvre pour le bien et pdg façon Steve Jobs, dynamique et innovateur, donc sympa en fait. Et tout est du même tonneaux avec la transformation en cyborg qui est bien moins brutal et donc moins percutante. Une bombe ? Sérieux ? C'est ça la violence au sein de la société moderne pour les privilégiés ? Ouvrez les yeux, put%#§ ! Faut sortir de sa tour d'ivoire des fois ! Le massacre de Murphy par Boddicker et ses hommes en 1987 ne serait pas exagérer dans un journal télévisé à l'heure actuelle ! On aurait même droit aux images et aux détails croustillants !
En fait, on se rend bien compte à quel point la société est devenue quasi-totalitaire puisque la violence n'est plus expliqué, elle est bannie. Ainsi, on n'éduque plus, on se contente de bourrer les crânes avec de belles images qui donnent envie d'acheter et non plus des messages pour pousser à réfléchir. Réfléchir, le premier pas vers la subversion et donc la non-consommation de masse. C'est drôle comme le remake est devenu l’anti-thèse de l'originel...
Et tout le reste est du même tonneaux puisque l'on a remplacé le message sur les graves dérives du capitalisme (on l'imaginait en 1987, on le vit aujourd'hui ! Sauf pour les bisounours privilégiés...) par de la bouillie mielleuse sur la condition de l'Homme devenu Machine... Un thème classique de la SF mais bêtement survolé ici quand d'autres l'ont transcendé. Les méchants uniquement bons pour des séries TV. Des robots qui n’impressionnent (ni n'émeuvent) pas car trop présents et en trop grand nombre. De faux enjeux. Un scénario qui se cherche. Une musique fadasse.
"Robocop 2013" est à l'image du leitmotiv de la société actuelle : tout dans la forme, rien sur le fond. L'exact opposé du "Robocop" de Verhoeven...

Robocop , un film sortie sur nos écran en 1987 sous la direction de Paul Verhoeven ( ayant également réaliser Basic Instinct et Total Recall , qui lui même a bénéficier d'un remake avec Colin Farell ) débarque à nouveau dans nos salle pour un remake qui se veut atypique , impressionnant mais mon coter nostalgique penche plutôt pour l’ancien Robocop même si le nouveau est bon . Les acteurs sont très crédible sans être non plus exceptionnel . Ce qui ma le plus plus dans ce film est la relation entre le personnage principal et sa famille . Devenu machine à la suite d'un attentat contre sa personne , il ne lui reste plus que ses partie vital maintenu par une épaisse armure pour le garder en vie . Ses fait et gestes sont contrôler par Omnicorp , l'organisation ayant mit en place le programme . Malgré tout cela , il ne perd pas son coeur et son esprit humain et nous prouve que ce n'est pas la machine qui importe le plus , c'est l'homme qui se trouve à l'intérieur .