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Votre avis sur 93, rue Lauriston ?
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Fils de Pierre Granier Déferre, Denys mit en scène ce film pour la télévision qui traite de la gestapo française ( la carlingue) dont les locaux étaient situés rue Lauriston ( Paris 16 ème Arrdt).
Tiré de faits réels, le film est voisin de celui réalisé par Louis Malle (" Lacombe Lucien"). Le rôle de Jolinet incarné par Samuel Le Bihan trouve quelques correspondances avec le personnage de Lacombe Lucien.
Certes, " 93..." est moins accompli mais sa vision mérite le coup d'oeil et en dit long sur les compromissions de personnalités du tout Paris avec cette bande de malfrats collaborateurs.
Beaucoup d'entre eux se convertiront à la libération et s'en tireront sans payer pour leurs responsabilités, même si les responsables principaux n'échapperont par à la plus lourde des condamnations.
C''est un film de télévision très intéressant à suivre mais peu réjouissante sur ce qu'est la Real politique.
Tiré de faits réels, le film est voisin de celui réalisé par Louis Malle (" Lacombe Lucien"). Le rôle de Jolinet incarné par Samuel Le Bihan trouve quelques correspondances avec le personnage de Lacombe Lucien.
Certes, " 93..." est moins accompli mais sa vision mérite le coup d'oeil et en dit long sur les compromissions de personnalités du tout Paris avec cette bande de malfrats collaborateurs.
Beaucoup d'entre eux se convertiront à la libération et s'en tireront sans payer pour leurs responsabilités, même si les responsables principaux n'échapperont par à la plus lourde des condamnations.
C''est un film de télévision très intéressant à suivre mais peu réjouissante sur ce qu'est la Real politique.
Film qui sert de propagande pour la synergie du martinisme juif qui était un gros complot de l'époque .le vrai nom c'est pas la Gestapo le vrai nom c'était la Carlingue et Averell de Gaulle les a piéger .force et honneur au riche cultivé de l'époque la carlingue des gens plein de justesse pour la croyance en France .malheureusement ils ont perdu et comme dans toutes les guerres les perdant ont tous les torts selon les médias .
un film sur un épisode douloureux de la guerre relatant le 93 lieu géré par un ancien voyou et un ancien flic célèbre dans les années 30, mais que l'on voit très peu et c'est bien là le problème, on survole, on touché du bout des doigts, cette collaboration et on cherche à de montrer que tout le monde, un jour ou l'autre à peut être participé.
les acteurs font le boulot en étant un peu trop stéréotypés, mais c'est un épisode s connaître et faire sa propre opinion
c'est peut être dans l'actualité de ce moment
les acteurs font le boulot en étant un peu trop stéréotypés, mais c'est un épisode s connaître et faire sa propre opinion
c'est peut être dans l'actualité de ce moment
Mon père est passé par le 93 rue Lauriston en 1943 sur dénonciation. Il y a été interrogé par Bonny en personne. Il n'a pas été torturé. Il connaissait par son père député sous la IIIeme République le passé sinueux de ce personnage qui avait notoirement trempé dans l'affaire Stavisky et était un ancien gros bonnet de la police parisienne grand ami du radical Camille Chautemps et de l'opportuniste Pierre Laval. Bonny, à l'instar de Bousquet, Doriot et compagnie était notoirement de gauche et franc maçon canal affairiste. Ceci n'est pas rendu dans le film qui véhicule en fait le mythe national de la Résistance et passe sous silence le caractère ordurier de toute cette époque où la France n'avait plus d'Etat. Il n'est pas authentique à cet égard.
Pour mémoire, le meilleur ami de mon père, également arrêté, est mort en déportation à Mathausen. Leur autre acolyte avait réussi à s'échapper du train qui l'emmenait de Drancy vers Auschwitz. Lui après 6 mois d'internement à Fresnes a été libéré faute de preuve. Tout cela l'a marqué à vie.
Pour mémoire, le meilleur ami de mon père, également arrêté, est mort en déportation à Mathausen. Leur autre acolyte avait réussi à s'échapper du train qui l'emmenait de Drancy vers Auschwitz. Lui après 6 mois d'internement à Fresnes a été libéré faute de preuve. Tout cela l'a marqué à vie.
Pas mal un inspecteur blot (Michel Blanc)et un capitaine ss (Daniel Russo) nous font revivre la période très sombre de la rue Lauriston et ceux qu'il à fallu récupérer après guerre
Ça fait froid dans le dos toutes ces atrocités
Ça fait froid dans le dos toutes ces atrocités
Caine78
Un bon téléfilm français, évoquant sous un angle original la Seconde Guerre mondiale, loin des fictions "résistantes" habituelles. À découvrir.
Mais que c'est bon de voir ça ! Il n'y a pas de mot..... pour décrire cette partie qui donnerait envie de s'intéresser de plus près à la seconde guerre mondiale, ce genre de film issu du petit écran est du grand cinéma français.
Un téléfilm incroyable, un chef-d'œuvre incontesté, une semi-fiction basée oh combien malheureusement sur des faits réels, on a que de bons acteurs présents, pas de fausses notes, que de l'implication dans les rôles qui s'enchaînent.
Michel Blanc annonce la couleur de la mise en scène, investigation contre ce passé criminel contre l'humanité, Samuel Le Bihan remarquablement prodigieux dans ce jeu du vilain canard ingrat, qui ne rend pas fier, ne l'oublions pas, jamais dans nos mémoires et les consciences, c'est poignant, fort, magistral.
La période sombre de l'histoire de ce pays, la collaboration à l'extrême opposée de la brave résistance maquisard au prix de leur vie tant dans la mort d'être capturé, torturé et fusillé, que l'on a énormément vu souvent dans les cinémas français, américains, britanniques, allemands et autres nationalités.
Le débarquement, les GI sur la plage normande, la victoire des alliés, la libération ainsi de suite, l'histoire écrite par ces derniers, on connaît tous par cœur, ceci est de l'autre camp, une intrigue honteuse où des truands de cette adresse assistent la Gestapo, c'est l'une des pierres angulaires de la collaboration ennemi.
Leur ami police nazi à pourchasser les juifs, c'était terrible..., mon dieu..! Et ce sont surtout des lâches, répétons-le, il n'y a pas de quoi être fier de la délation au sein de cette population prise au piège d'une machination infernale.
Un téléfilm incroyable, un chef-d'œuvre incontesté, une semi-fiction basée oh combien malheureusement sur des faits réels, on a que de bons acteurs présents, pas de fausses notes, que de l'implication dans les rôles qui s'enchaînent.
Michel Blanc annonce la couleur de la mise en scène, investigation contre ce passé criminel contre l'humanité, Samuel Le Bihan remarquablement prodigieux dans ce jeu du vilain canard ingrat, qui ne rend pas fier, ne l'oublions pas, jamais dans nos mémoires et les consciences, c'est poignant, fort, magistral.
La période sombre de l'histoire de ce pays, la collaboration à l'extrême opposée de la brave résistance maquisard au prix de leur vie tant dans la mort d'être capturé, torturé et fusillé, que l'on a énormément vu souvent dans les cinémas français, américains, britanniques, allemands et autres nationalités.
Le débarquement, les GI sur la plage normande, la victoire des alliés, la libération ainsi de suite, l'histoire écrite par ces derniers, on connaît tous par cœur, ceci est de l'autre camp, une intrigue honteuse où des truands de cette adresse assistent la Gestapo, c'est l'une des pierres angulaires de la collaboration ennemi.
Leur ami police nazi à pourchasser les juifs, c'était terrible..., mon dieu..! Et ce sont surtout des lâches, répétons-le, il n'y a pas de quoi être fier de la délation au sein de cette population prise au piège d'une machination infernale.
Je suis passionné d'histoire notamment sur la période de l'occupation, et j'ai donc bien aimé cette retransmission que j'ai trouvé bien faite pour un téléfilm. Un film noir et dur pour une partie sombre de notre histoire. Il y a plus d'un truc à reprocher, comme au début le peu de crédibilité qu'a Michel Blanc en dégainant son arme, la scène grossière avec Samuel LeBihan
spoiler:
en Rambo
, il y a souvent le même profil de victimes alors qu'il aurait été intellectuellement intéressant d'avoir un ensemble plus varié, mais bon... En résumé c'est un bon film noir sur un sujet d'histoire et autour de personnages réels, il m'a bien plu, à voir sans hésiter!
, il y a souvent le même profil de victimes alors qu'il aurait été intellectuellement intéressant d'avoir un ensemble plus varié, mais bon... En résumé c'est un bon film noir sur un sujet d'histoire et autour de personnages réels, il m'a bien plu, à voir sans hésiter!
tres bon acteurs periodes tres troubles de notre histoire il existe enormement de livres sur ce sujet et sur ces personnages
Dur de faire un film sur cette triste époque , dur pour des acteurs de jouer cette période honteuse , et pas facile de faire un film sans mettre en valeur Lafont et Cie .. Michel Blanc est là en tant que lien pour parler des cochonneries que ces personnages ont fait , je voulais le voir et j'ai vraiment pas regretté
Film intéressant sur la Gestapo française, "93, rue Lauriston" souffre néanmoins d'une réalisation bas de gamme. Même le casting ne s'avère pas aussi bon qu'il aurait dû l'être puisque seul Daniel Russo se montre à la hauteur dans le rôle d'Henri Laffont. Vite vu, vite oublié.
Bof... Très conventionnelle, mais cela ne devrait pas choquer vis à vis du propos. Pourtant ça choc. Les grand nom, M. Blanc, D. Russo, sont ombragés, presque bridés sans le vouloir. G. Laroche par contre, donne un petit élan supplémentaire mais pas de quoi en faire un moment mémorable.
Ce n'est pas parce qu'on fait un film pour le petit écran qu'il faille autant figer la caméra et se targuer de gros plans sur les portraits pour au final faire d'une question intéressante une sorte de solennelle théâtralité. Une fois la crapulerie d'une France collaborationniste énnoncée à son paroxysme en ces gangsters devenus miliciens qui vendaient deux fois les gens qu'il était recommandé de dénoncer que penser d'une caméra qui ne bouge pas si ce n'est ça qu'était venu chercher l'inspecteur Blot dans ses interrogatoires avec les protagonistes d'un sombre commerce : les traces d'une France qui ne bouge pas dans ses manières de spolier et de truander l'histoire.
Un téléfilm intéressant sur l’une des pages les plus sombres de l’Histoire de France (la collaboration dans ce qu’elle a de plus infecte) qui brille par son formidable casting avec le strict Michel Blanc, Samuel Le Bihan en taupe, Gérald Laroche en tortionnaire, Christian Charmetant dans le rôle du tristement célèbre Bony mais surtout le phénoménal Daniel Russo dans un rôle de fumier particulièrement inhabituel pour lui. On ne peut pas en dire autant de la mise en scène qui ne brille ni par son originalité ni par son sens du rythme.
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