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framboise32
157 abonnés
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2,5
Publiée le 21 octobre 2013
The way, way back est un film sympathique. On hésite entre se moquer du jeune ado renfermé sur lui même ou détester tout ceux qui se moque de lui ! Il est assez facile de s’identifier à ce jeune ado, ayant tous eu (sûrement) des périodes de vie ou on ne se sent pas vraiment à notre place.
Le scénario est peu fourni mais on prend tout de même plaisir à regarder évoluer le jeune Duncan. Certes, un peu cliché mais plaisant.
Le jeune Duncan est interprété par Liam James avec beaucoup de sincérité. On ressent son malaise puis son bonheur à pouvoir s’intégrer et communiquer avec les autres. Sam Rockwell interprète Owen, un homme qui s’intéresse à Duncan. Il amène un grain de folie dans ce film et donne ce ton léger au film. Steve Carrell interprète l’ami de la maman de Duncan, un type imbuvable que l’on ne peut que détester. Quant à Toni Collette elle est toujours aussi attachante.
Même si le film ne décolle vraiment jamais, on passe un très bon moment. Un joli divertissement
Au premier abord, on pourrait prendre ce film pour un téléfilm "de luxe" vu son casting, mais plus les minutes passent et plus on se laisse absorber par ce scénario basique, une histoire qui pourrait être celle de monsieur et madame tout le monde. Ce film raconte les déboires d'un adolescent mal dans sa peau, sentiment véhiculé par un beau père des plus détestable et un père absent. Les acteurs, connus ou inconnus, sont justes, les émotions passent parfaitement dans chaque scène, rien n'est inutile. Sam Rockwell nous sort un jeu d'acteur parfait, comique et plein d'émotions à la fois. Toni Collette est excellente, comme à son habitude, quand à Steve Carell, ce rôle de beau père il le tient sur le bout des doigts, un petit mot quand même pour l'ado qui s'en sort bien. Au final, voilà un petit film qui ne paye pas de mine et qui est généreux et criant de vérité.
Doté d'un scénario intéressant, "Cet été-là" emmène le spectateur dans une histoire assez simple à comprendre. Néanmoins, la réalisation se montre plus comme un téléfilm qu'un vrai long-métrage. En effet, on est pas totalement entraîné. Par ailleurs, les acteurs sont intéressants surtout les deux jeunes. Ainsi, le film est un simple divertissement ne parvenant pas à captiver plus que cela.
The Way Way Back est un "coming of age" movie somme toute assez classique mais qui procure un plaisir indéniable car tout fonctionne à tous les niveaux. Une profonde sincérité se dégage du scénario, pas révolutionnaire pour un sou, mais où tout est bien traité: les situations, les dialogues sonnent très justes, et tous les axes sont développés avec finesse à l'image de la relation entre Duncan et son beau-père. L'ensemble du casting a rendu une très bonne copie, notamment l'excellent Sam Rockwell, déconcertant de facilité, et Steve Carrel qui livre une prestation à contre-emploi très intéressante, prouvant encore une fois qu'il a vraiment un potentiel dramatique fort. Faxon et Rash, intelligents dans leurs démarches, ont donc réussi leur pari malgré un sujet casse-gueule et relativement éculé.
J'ai beaucoup aimé c'est un film drôle, frais et même touchant même si un peu plus d'émotion aurait été pas mal. Les personnages sont vraiment attachants j'ai adoré Sam Rockwell qui amène beaucoup d'humour et aussi Steve Carell à contre emploi qui est lui aussi très bon. Ils ont par contre un peu exagéré sur le synopsis avec le coup du "beau père brutal" mais bon...
Cet été-là où comment sombrer dans une banalité de haut niveau, le film emprunte des ficelles vu et revu depuis les années 80 que ce soit dans les téléfilms ou même les comédies dramatiques . Ça raconte l'histoire d'un gamin qui vit dans une famille recomposée et qui va passer les vacances d'été avec son beau père et sa belle soeur . Il n'a pas d'ami, il est blasé, il s'ennuie et son beau père très autoritaire n'arrange pas les choses . Puis un jour il va tomber sur un parc aquatique et va être embauché dedans et fera la rencontre de Owen qui lui redonnera plus ou moins gout a la vie .
On nous vends le film comme une comédie dramatique mais il faut savoir que ce n'est ni drôle ni "dramatique" ou touchant, c'est comme vide, on suit l'histoire assez sympathique certes mais sans ressentir la moindre émotion . L'humour ne tourne qu'autour du personnage "d'Owen" qui s'amuse toute les 3 secondes ( et c'est vraiment 3 secondes ) a faire une blague d'ahuri bien lourde, sur la durée ça en devient un personnage a la limite du supportable digne d'un gros gamin, lourd lourd et LOURD je vois pas d'autre mot ce mec m'a tellement saoulé c'est indescriptible . Steve Carrell lui est dans le rôle du père autoritaire c'est pas ce qu'il y a de mieux mais il reste plus que correct, son personnage ne jouera donc pas avec de l'humour et c'est bien dommage .
On se concentre sur le personnage du gosse, il va se trouver des points commun avec sa voisine la bimbo et a coté il va subir ses parents qui ne font que se défoncer, boire comme des alcooliques, ou voir leurs amis dépravés . Le soucis c'est qu'on ne s'attache pas la moindre seconde aux personnages . On sait tout ce qui va se passer a l'avance et le film ne dégage aucune originalité .
Bref vous voulez du soleil, des piscines, des parents irresponsables qui couchent a tout va et se défoncent comme des ados, un gamin tellement blasé qui rend le spectateur aussi dépressif que lui et un un mec aussi drôle que les sketchs de Danny Boon ? Regardez ce film sinon passez votre chemin .
Dans le même esprit très "folk" que JUNO et LITTLE MISS SUNSHINE. C'est un petit film assez sympa à regarder, surtout pour les prestations de la fabuleuse Toni Colette et le très surprenant Steve Carell qui incarne ici un personnage relativement detestable , en tous cas à 1000 lieues de ses rôles de gentil benêt habituels ... Une histoire familiale avec ses hauts et ses bas, ses contrariétés et ses bons moments . Le décors et les musiques sont super, l'ambiance parfois un peu pesante mais ça reste un bon film de divertissement, avec quelques noirceurs ...
Cet été-là (The Way Way Back en anglais) est un drame réalisé par Jim Rash et Nat Faxon. Un an et demi après leur victoire aux Oscars pour le scénario de The Descendants, les deux réalisateurs traitent ici des dysfonctionnements qui peuvent parfois survenir au sein des familles recomposées. Tous les sujets sont abordés, de l’égoïsme à l’adultère en passant par la responsabilité...
Très bon comédie , émouvante , qui fait sourire et pleurer, en tant qu'adolescent je me met dans la peau du personnage et j'ai vraiment beaucoup aime ce film même si il n'est pas original et qu'on s'attend aux retournements de situation c'est quand même une très bonne comédie pour moi avec un jeune ado qui , comme beaucoup , manque de confiance en lui et n'a pas une vie facile.
Mauvaise surprise, je viens de le voir au cinéma, j'adore Steve Carell, mais la c'est ni comédie, ni drama, on est perdu entre les deux, le début passe bien, mais le film ne décolle jamais.
La problématique est tout de même bien posée mais on rigole pas assez.
très bon jeu d'acteur. la simplicité de réalisation réussie, des personnages attachants et drôles. on ne tombe pas dans le mélodrame. c'est une bonne réussite
Normalement ce n'est pas vraiment mon genre de film spoiler: parce que les films sans vraiment de fin pertinente, simplement le départ (donc on reste un peu sur sa fin), ce n'est pas mon genre et parce qu'il y a Steve Carell que je n'aime pas trop, pourtant j'ai vraiment adoré ce film ainsi que Liam James et AnnaSofia Robb dans leur rôle. spoiler: Je préviens ceux qui ne sont pas du genre "histoire d'amour" qu'il n'y en a pas vraiment, pratiquement rien à vrai dire (même si certains le croient). Un bisou et c'est tout. Donc ce n'est pas "gnangnan". Il est vraiment à voir.