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Elo-A-Vu
2 abonnés
59 critiques
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0,5
Publiée le 27 juin 2020
Très mauvais film qui met mal à l'aise et qui n'est ni profond ni émouvant... Je n'ai vraiment pas du tout aimé le côté presque malsain que le couple cultive et ce point de vue glauque de la grossesse et de la vie de couple/familiale.
Je ne sais pas par où commencer, il y a tellement de choses à dire sur ce film magnifique. J'ai eu de pures moments de fou rires et de larmes. Je ne sais pas si le titre du film décrit bien la situation, c'est tellement difficile de passer par là. On se met facilement à la place des personnages principaux qui d'ailleurs jouent sublimement bien. Pio Marmaï est super sexy et j'ai adoré la sage femme Pirmine Richard avec son accent antillais. Je me note à moi même de regarder ce film plus tard avec la personne avec laquelle je souhaiterais partager ma vie car c'est un film très réalise sur la construction d'une famille. Ce film est époustouflant, plein d'émotions.
un grand film boulversant !!! j'ai beaucoup aimer , un film captivant , et surtout bien joué tout dans l'excellence et l'élégance , j'adore ce film ce film ma beaucoup boulversé , bravo a toute l'equipe !!!!
Une comédie douce/amère, sur l'arrivée d'un enfant dans un couple. Peut-être pas le meilleur film pour promouvoir la maternité, mais un drame bien fait et bien joué.
On attendait avec envie le nouveau film de Rémi Bezançon, surtout après le très beau "Dernier jour du reste de ta vie" mais cette nouvelle production propose une qualité moindre. "Un heureux événement" a au moins le mérite d'aborder la maternité sans la fioriture habituelle et d'en proposer une image plus sincère. Celle-ci prend même les allures de véritable cauchemar. Avoir un bébé, c'est également faire une croix sur sa vie sociale, augmenter les chances de tensions dans un couple. Mais ce propos est servi dans un scénario assez bancal et sans étoffe, enchainant une foule de situation qui auraient mérité d'être abordées plus en profondeur. On retiendra néanmoins une bonne interprétation de Louise Bourgoin. On retrouve donc une certaine justesse caractéristique de son auteur mais dans l'ensemble, c'est un bon cran en dessous.
Le début nous laisse entrevoir une comédie romantique française sympathique, avec Pio Marmai et Louise Bourgoin qui savent nous faire apprécier les débuts de leur couple. Mais l'accouchement marque une rupture: on quitte le domaine de la comédie pour entrer dans un drame (les problèmes liés à la maternité/paternité) trop sombre, trop négatif, sans aucun optimisme, donc trop tranché. Les deux comédiens continuent d'être bons mais paradoxalement on accroche moins à cette partie psychologique-dramatique...
Une présentation réaliste et lucide mais non dénuée de tendresse et d'humour des bouleversements liés à la maternité. En prime, un casting alléchant et des seconds rôles dynamiques. Plus qu'un simple divertissement.
Un heureux Evénement est pour moi un bon film sur les réalités de la maternité, tantôt drôle, tantôt tragique. Pour celles (comme moi) qui ne sont pas (encore) mères, il peut aller jusqu'à vous convaincre d'éviter de vous reproduire. De toute façon la planète est surpeuplée... Mais bien sûr, ce film nous montre aussi en quoi cela reste la plus belle aventure humaine, sans en oublier tous les passages bien crados, durs, parfois à vous transformer en une personne que vous n'êtes pas. N'évitant pas malgré tout quelques clichés, ce film ne laissera aucune femme indifférente. Une belle surprise.
Il est étrange qu’Un heureux événement soit réalisé par un homme (même s’il est une adaptation d’un roman écrit par une femme et que le scénario soit cosigné par une autre femme). En effet, ce film raconte la découverte de la maternité d’un point de vue essentiellement féminin. On aurait pu penser, surtout en voyant Josiane Balasko jouer la grand-mère, que le film serait traité sur le ton de la comédie, un peu comme Joséphine s’arrondit de Marilou Berry, la fille de… Josiane Balasko (où elle apparaît dans le même rôle). Cette impression reste au début du film qui raconte la rencontre du couple et la gestation (contenant des passages assez drôles) mais disparaît avec la découverte de la vie avec un bébé et la disparition progressive de l’amour entre les parents. Le film devient finalement une comédie dramatique très réaliste : on se dit que le roman d’Éliette Abécassis doit être très autobiographique mais qu’en même temps son histoire est extrêmement banale. Un heureux événement peut donc être vu comme une sorte de dictionnaire sur les bouleversements qu’entraîne l’arrivée d’un bébé mais hélas ne va pas beaucoup plus loin. Un heureux événement est donc un film regardable mais dont l’aspect de déjà-vu enlève toute envie de multiples visions.
Jeune maman d’un bébé ce film m’a vraiment émue et marquée. Au départ la rencontre un peu trop romancée m’a fait croire à un film un peu trop léger sur la vie de couple, puis au fil du film tout devient de plus en plus réaliste, moins « rose ». La narratrice met des mots sur toutes les émotions qu’une jeune maman peut ressentir avant, pendant et après l’arrivée d’un premier enfant. La déprime post-natale et les chamboulements pour le couple sont parfaitement abordés. On se sent moins seule d’un coup, alors merci !
ce film est déprimant à voir surtout pour les futurs papa et maman, la grossesse est perçue d'un point de vue négatif et tout ce qui en suit l'accouchement , le fait d’élever son enfant de le nourrir....on n'a pas vu le papa attentionné et doux bref le papa n'a aucune personnalité un fils à maman ...Louise une jeune fille qui prends tout à la légère qui décide de devenir maman sur un coup de tête....trop de blabla bla avoir un enfant c'est le plus beau cadeau au monde...à mon avis le problème de ce couple n'est pas survenu avec l'arrivé de l'enfant ils était déjà là ils refusent juste de le regarder .....c'est très ballot
Merci pour cette prise de conscience, cette vérité que les jeunes ou futurs jeunes parents n'ont pas. Ce chamboulement personnel. Merci à ce film de casser le tabou de tout va bien alors que non. Film à voir et à revoir juste avant de faire un enfant afin de bien se préparer :)
"Un heureux évènement (2011) la une (RTBF) le 16.07.2017
Futures mamans, ne regardez pas cet intox et vivez votre maternité comme vous l'entendez sans écouter les délires d'Eliette Abecassis, aveuglée par sa déformation de féministe à tout crin, et dont le pitoyable bouquin a malheureusement servi de fil conducteur à Remi Bezançon, qui, pas plus que moi, ne sait ce qu'éprouve une future maman lors de sa gestation ! Un heureux évènement ? Ce n'est pas franchement ce qu'on ressent en voyant ce film truffé de poncifs : la scène du futur papa qui tombe dans les pommes est complètement éculée et ne présente aucun intérêt ! Pas plus que l'accouchement qui s'éternise tout comme le film bien trop long (100 mn) , bien trop lent et dans lequel je n'ai trouvé qu'une seule bonne chose : les comédiens. Louise Bourgoin nous fait un numéro de grande comédienne : peut-être même parce qu'elle n'a pas encore elle-même été mère lors du tournage. Il était donc facile de lui faire avaler toutes les couleuvres de ce script de bas étage. Elle joue très bien un rôle infect ! Pio Marmaï le futur papa, lui n'est pas en reste avec un rôle forcément plus en retrait : il incarne à merveille cette nouvelle génération de pères qui s'investit beaucoup plus dans la gestion matérielle plutôt désagréable d'un nouveau-né (pipi-caca) que ne faisaient pas ou peu leurs propres pères issus du baby-boom d'après-guerre ! Enfin, Balasko est superbe et incarne la voix de la vérité : il n'y a pas de "prix de la meilleure mère" mais sauf déséquilibrées psychologiques ou mentales, toutes font pour le mieux en fonction de leur propre vécu, mais aussi de celui du papa ! Eliette Abecassis (qui a eu deux enfans et qui est divorcée) semble considérer le corps d'une femme comme un conteneur destiné à enfanter, bref une mécanique ! A contrario, au bout d'un certain temps, une vie de couple sans enfant engendre monotonie, repli sur soi aussi, sûrement que le fait de rester "vieille fille" ou" vieux garçon" Le fait pour une femme de donner la vie est le plus merveilleux des miracles dont on se demande encore aujourd'hui comment c'est possible. Le fait aussi pour le papa de constater le courage de sa femme à un moment difficile, de concrétiser ainsileur amour, ne fera qu'attiser son désir et son respect pour elle, et non le dégoût post-opératoire comme certaines femmes le redoutent ! Au contraire, la venue d'un enfant solidifie un couple et constitue un nouveau départ dans la vie de don de soi à un petit être totalement désarmé à la naissance ! Ce film ne m'a donc aucunement convaincu : il n'a d'ailleurs fait que 462 000 entrées ! Un échec de plus pour Abecassis ! willycopresto
Un heureux évènement ? Ce n'est pas vraiment ce qu'on ressent en voyant ce film réalisé par Rémi Bezançon. Que peut-il savoir du ressenti d'une mère, sinon au travers d'une romancière qui s'est plantée tant comme réalisatrice que comme scénariste éphémères sans succès, et déformée pare son aveuglement à la cause féministe ? Je n'ai retenu qu'une seule chose favorable dans ce film bourré de poncifs et de philosophie de bazar (voir ma critique) Futures mamans, ne regardez pas cet intox !
Le film offre une belle vision des côtés les moins réjouissants de la maternité qui sont souvent passés sous silence pour ne pas décourager les futurs parents. C’est un peu comme les guides touristiques étrangers sur la France : on y décrit tout ce qui fait le charme de notre pays mais pas la piètre qualité de l’hospitalité française. De plus, le film jouit d’une interprétation de très bon niveau et offre certaines trouvailles originales dans la réalisation spoiler: (je pense entre autre à la scène de séduction dans le vidéo-club) . Néanmoins, le film laisse un sentiment partagé : à côté de ses nombreuses qualités, le film sombre un peu trop dans le négativisme, accentué par une héroïne un peu caricaturale spoiler: : elle ne se prend pas beaucoup en mains et ne fait rien pour être aimée . Les deux précédents films de Rémi Bezançon - « Le Premier jour du reste de ta vie » (2008) et « Ma vie en l’air » (2005) – étaient bien au-dessus en terme de qualité et de plaisir éprouvé par le spectateur.