Derniers Avis : Survival Of the Dead - Page 7

Grosse déception que ce film. Je ne savais pas trop s'il est censé être drôle ou faire peur mais c'est raté dans les deux cas. Romero devrait prendre une retraite bien méritée.

Je viens de regarder cet opus en vod et je suis enchanté.C'est drôle. Beaucoup de gens râlent contre l'indigence du scénario ? Mais qu'on me dise combien des ouatmille films de zomblards dont on est abreuvés en ce moment on un scénario autre que l'abattage en chaîne de zombies ? Pensez à la horde ou aux minables House of the dead et relativisez...Et si c'était fait exprès pour mettre fin à la vague de nanards zombiesques faite par les émules de Romero ? Il est le créateur du genre : il en a peut-être assez de voir ce que c'est devenu et s'en est approprié les nouveaux codes pour l'enterrer lui-même. Ce n'est peut-être pas son meilleur mais je vois là un film au second degré assumé : outré, avec un humour débile et des dialogues dignes d'un Chuck Norris, certes, mais combien de films de zombis en font autant mais au premier degré et tombent par là dans l'humour involontaire et par là même dans l'authentique zederie (pas toujours drôle en plus) ?
En fait, je crois surtout que Romero a tout simplement décidé de faire un simple film de divertissement. Je crois que c'est ça qui dérange et qui en décoit. Mais, je le répète, je suis sûr qu'il en a fait exprès pour bien montrer que le genre a été dénaturé et n'est devenu qu'une course au gore souvent sans grand intérêt. Le message est d'autant plus fort que c'est le Père des zombis qui le dit.
Mais bon, j'ai quand même bien rigolé !

Bouzi Bouzouf aime « Survival of the Dead » de George Romero, film d'horreur qu'il est pertinent d'évoquer car il est sorti il y a une dizaine de jours (en vidéo), mais aussi parce que nous sommes en plein week-end d'Halloween (apprenez, lecteurs, que Bouzi Bouzouf n'a pas besoin de se grimer pour cette fête puisque son apparence naturelle provoque chez les autres une terreur instantanée avec laquelle aucun déguisement ne peut rivaliser ; sinon, il se réjouit du fait que, demain, d'innocents enfants vont venir frapper à sa porte dans le but d'obtenir quelques friandises sucrées ; ne vous étonnez pas si, par la suite, vous voyez des panneaux « Alerte enlèvement » se multiplier sur les écrans de vos télés). « Survival of the Dead » est le dernier épisode de la saga des zombies, qui regroupe en tout six films dans lesquels Romero s'efforce, en plus des proposer des spectacles sanglants de qualité, de faire passer des messages sociétaux et politiques. Ainsi, dans le premier opus de 1968 (le fameux « La Nuit des morts-vivants »), la guerre du Viêt Nam et le mauvais traitement réservé aux minorités ethniques étaient épinglés à travers certaines séquences. Dans le deuxième (le non moins fameux « Zombie »), Romero passait à la moulinette la consommation de masse en la comparant à un processus de « zombification » des êtres humains (il suffit de se rendre aujourd'hui dans n'importe quel Carrefour ou Leclerc pour voir à quel point ce processus a superbement bien progressé). Le quatrième (« Land of the Dead », 2005) commentait le 11 septembre en peignant une société dominée par une petite caste de riches et de privilégiés mettant de coté avec mépris tout le reste de la planète (les laissés-pour-compte étaient les zombies, et ils prenaient leur revanche à la fin). « Survival of the Dead », lui, s'en prend à la campagne profonde américaine, archaïque et repliée sur elle-même, que symbolise un patriarche tyrannique, limite intégriste, qui fait penser bien sûr à George W. Bush.

09 / 20 C'est claire désormais a mes yeux bien sur romero est un très mauvais réalisateur ! Persos j'en ai marre des shooter de zombie ! De la violence gratuite ! Du gore a gogo ! Ca commence a devenir serieusement gavant ! A voir une fois et encore ! JE regrette de l'avoir acheté ! C'est pas un navet mais le scénario fait trop débile a mon goût parfois . Les personnages sont tous inintérrésants . MAis bon j'ai pas detesté ce film ! Mais Ca reste pas terrible par contre un gros clin d'oeuil surprise a diary of the dead ! Je m'y attendais pas du tous ! A voir une fois ou pas ... C'est pas super bien fait ! C'est presque inachevé ! C'est bien dommage pour moi ça reste un film très limite par moments ! PAs terrible comme film .

Sans doute l'un des plus mauvais films de Romero en matière de film de Zombi . Le scénario est assez mal lancé et dure de rentré dans le film , puis le tout prends un tournant pour rentrée dans une histoire de guerre de clans sur une ile et de questionnement sur le dressage de zombis possible ou non . Le tout ne tiends pas spécialement haleine et on ressort assez déçue du film ( par rapport a ce dont on s'attend face a un romero ) . A voir pour les fan de film de zombis , les autres choisissez une autre oeuvre de romero qui dévoile tout son talent a la place .

pour moi romero est le meillleur réalisateur de film de zombie mais la il faut reconaitre que ce film est lent et que le scenario laisse à désirer avec par exemple la fin ou la femme mange le cheval rapelle la fin du jour des morts vivant avec la "morale" qui fait penser que l'on peut "dresser" les zombies

Bof Bof Bof. Il est le loin le temps de la nuit des morts vivants et de zombie .... très loin.
Je me suis même endormi. Si vous avez du temps à perdre, pourquoi pas ....
J'ajoute 1/2 point pour la scène où apparaît la militaire ...

Romero, un nom qui résonne dans les esprits des plus grands fans de Zombie, fan dont je fais parti. Inconditionnel nostalgique de la trilogie originale et plus particulièrement de l'éternel Dawn of the Dead (Zombie). Craintif devant le tournant prit par le maitre du genre depuis Land of the dead et plus récemment par le naufrage de Diary of the dead, il paraissait légitime de s'inquiéter quant à la qualité de ce Survival of the dead. Inquiétude malheureusement confirmée suite au visionnage du métrage. C'est bien simple, rien, absolument rien ne semble pouvoir être sauvé : ni le jeux d'acteurs insipides, ni la psychologie incompréhensible des personnages (pourquoi tuer un groupe qui se repose au coin du feu et ne pas tuer un homme qui vous tire dessus? Pourquoi proclamer s'en sortir mieux seul et embarquer un ado insupportable dans la seconde qui suit? ). Le film est ainsi remplit de ces nombreuses d'incohérences. Truffé d'effets spéciaux digitaux qui ne provoquent qu'un rire moqueur (la scène avec les têtes sur les pieux, celle avec la cigarette allumé sur le zombie pour brule). Aussi drôle qu'une mauvaise série B. Indigne d'un Romero. D'ailleurs, depuis quand Romero est il un réalisateur de comédie d'horreur? Chacun de ses films cachant un discours politique, dénonciateur de l'Amerique et de sa société. Toujours subtillement inséré dans le récit. Et bien ici ne cherchez pas de subtilité. La dénonciation de la société conservatrice (le racisme, la violence au travers des armes à feu, le sectarisme...) tout est mis en avant, mais dans l'exagération, frôlant parfois l'écœurement.
Mais parlons un peu des zombies. Ils sont quant à eux, aussi à l'aise en voiture, qu'à cheval.
Précisons que le doublage de la version française est digne d'une série Z (la vo est bien au dessus).
Les critiques presse l'on descendu lui et notre international. Il est cependant malheureux de constater qu'elles avaient raison. C'est bien simple, en visionnant la pellicule, rien ne permet de dire que nous sommes en présence d'un Romero. Rien hormis son nom au générique. Le film se termine comme il a commencé, c'est à dire comme une parodie risible d'une très mauvaise série B, voir Z. Et Romero apparait alors comme le réalisateur incapable d'avancer dans son temps, prisonnier de sa trilogie initiale, au combien culte. Romero rejoint donc Dario Argento et Tobe Hooper au panthéon des anciens grands réalisateurs de films d'horreur ayant bien mérité une bonne retraite. Alors pour la première trilogie merci, pour l'autre tant pis, car de toute façon on ne lui en tiendra pas rigueur.

..je comprends pas les mauvaises critiques; moi dès le début (qui attaque direct) j'ai bien aimé. Fidèle aux autres opus, survival of the dead est d'abord un film de zombies ou le message (si il y a) n'a pas tant d'importance. L'essentiel est là; divertir et franchement ça l'fait. les trucages sont bons meme si on peut distinguer le numérique (quand les têtes sont sur les pieux) mais sinon dans l'ensemble le film, les acteurs, le thème sont comme d'ab; Zombien. Moi, je conseil ce nouveau Romero et le regarde à nouveau tout à l'heure car j'adore !!!!!
fast45

George A. Romero, l'infatiguable (a 69 ans) et l'insatiable cinéaste réalise ici le sixième opus de sa saga sur les morts-vivants !! Après La Nuit des morts-vivants (1970), Zombie (1983), Le Jour des morts-vivants (1986), Land of the dead - Le territoire des morts (2005) & Diary of the Dead - Chronique des morts vivants (2008), il revient un an plus tard avec la suite du précédent volet, avec Survival of the Dead (2009), dans lequel le réalisateur signe bel et bien une piteuse Série B horrifique. Lui qui avait su si bien laisser son empreinte dans le cinéma d'horreur des 70/80, prouve qu'il y a une fin à tout, avec ce DTV au combien décevant et résolument inutile. Scénario inexistant, humour volontaire décevant, lenteur de la mise en scène, du gore injustifié, George A. Romero ne parvient pas une seule fois à renouer avec ce qu'il savait faire de mieux. Le plaisir coupable que l'on éprouvait devant ses films sanguinolents est bel et bien révolu, dommage car on en attendait beaucoup de sa part !

non non, 0,5 et je suis catégorique, c'est même pas sous le coup d'une grande déception, "survival of the dead" est un total de chez total de chez total navet. Même pas nanar, navet! Pourtant fan de romero depuis mes 14 ans, ayant même fait des rêves avec Romero dedans, ayant même rendus des exposé portant sur le cinéma de Romero en cours! Romero et le coup de la série B volontaire par amour de la série B livrant une satyre politico-social (zombie consumériste, zombie post-11 septembre) c'est finie. Il y a série B et foutage de gueule. Autant "Diary of the dead" portait un message lourd et sur-lourd sur la sur-présence des médias dans nos sociétés modernes, autant ici on ne cerne ni les tenant ni les aboutissant et Romero n'exploite en rien l'art de faire passer un message par les zombie, un art qui lui est propre. Le film, sa trame, ses acteurs, les dialogues... Je n'ai même pas envie d'en parler, tout est à jeter et c'est la première fois que je vois un budget (aussi petit soit il) gâché autant . Aux tentatives d'humours du film je répond CACA BOUDIN. Voila l'agonie d'un petit Romero qui aurait du s'arrêter après Land of the dead.

Pas le meilleur de la série mais plutôt distrayant dans le genre.

Du Romero à l'etat pur! J'ai beaucoup aimé ce 6e volets de la saga meme si ce n'est pas le meilleur car plus le temps passe plus on a droit à des effets speciaux computeurisés,fini donc les effets mithyques artisanal bien gore qui semblaient si reels.Deux familles en guerre ,des vilains militaires qui tentent d'echapper aux zombies en se barrant sur une ile,j'aime l'idée meme si on aurait préféré un contexte plus grand (une ville,des magasins...)Par contre on avait pas encore eu droit au zombie qui monte à cheval..là Roméro est allé trop loin,ça devient ridicule..Ahhhh l'epoque des premiers Romero....

Un mauvais Romero. Il faut le dire, c'est un Romero de basse qualité. Il n'a rien à dire sur la critique sociale, car on peut toujours trouver des éléments qui font que ça ou la il y a des références à une satire sociale : les deux clans qui s'opposent sur l'île sont la caricature parfaite de deux castes d'irlandais pure souches qui se "chamaillent" pour leurs îles et qui sont allergique aux étrangers, non pas racistes, mais très méfiants. Le scénario ? il est assez bon, il y a même un passage au début ou l'on voit "la rencontre" entre les militaires et les "apprentis journalistes, cameraman" de Diary of the Dead (qui était un très bon opus, sur la presse, les médias), e qui permet au spectateur de poursuivre une certaine chronologie, ce qui n'est pas déplaisant. Là où le bas blesse, c'est dans la réalisation, la mise en scène et les dialogues. La réalisation est mollassonne, il n'y a guerre de mouvements, ça traine en longueur indéfiniment. Les zombies ont l'air un poil moins bien faits que dans les autres films et ils sont eux aussi très mous, voir parfois inutile (on en arrive même a se demander comment ces abrutis arrivent à se faire "attraper" par les zombies, vu la lenteur et la mollesse avec laquelle ils font toutes leurs actions ...). Les dialogues sont dénués de sens, bourrés de stéréotypes, sans aucune saveur ni rien du tout. Ajoutez à cela, le fait que tout est quasiment prévisible et qu'il n'y à aucun suspense, on arrive à quelque de très moyen, voir nul. Les acteurs sont fades et on ne retiendra pas vraiment leurs performances moyennes. Le film mérite surement 1,5/5 mais je mets la moyenne car c'est quand même le maestro du genre, Georges Andrew Romero. Bref si vous êtes fan de lui, regardez ce film mais sinon passez votre chemin car vous risquez de vous faire une mauvaise opinion sur le maestro du genre alors que ce film ne représente pas du tout son oeuvre et est une erreur comme les réalisateurs en font parfois.

Romero vieillit et tourne en rond selon certains. Ce n'est pas de mon avis. Ce nouvel opus bourré d'humour est excellent et apporte une nouvelle réflexion à l'univers des morts-vivants. La mise en scène est irréprochable et l'interprétation très bonne.