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Un visiteur
0,5
Publiée le 4 juin 2012
Quand George A. Romero, le célèbre réalisateur de films exceptionnels tels que "Night of the Living Dead" ou "Zombie", s'attaque aux séries Z, ça fait mal ... Extrêmement mal. On a vraiment du mal à y croire, même Diary of the Dead est plus réussi. Même si j'apprécie de temps en temps un bon nanar, ce n'est pas ce à quoi je m'attends quand je visionne un film de Romero, le père du genre.
Si George A.Romero a pour ainsi dire inventé le film de zombies,son talent n'aura pas survécu au passage de l'an 2000.La saga des zombies en est ici à son sixième tome,et quel dommage d'en arriver là.D'autant qu'il perd ce qui faisait toute la saveur de ses charges gore:la critique du système américain à une époque donnée.Après le racisme(1968),le consémurisme(1978),le nucléaire(1985),le totalitarisme(2004)et la télé-réalité(2008),Romero n'a plus à proposer,à part si c'est une révélation de voir des militaires bas du front tirer sur tout qui bouge...Cette histoire de familles qui s'affrontent,sur fond de western sombre dans le ridicule le plus total.On comprend aisément qu'on ne vît jamais "Survival of the dead" dans les salles.Dialogues consternants,mâtinés de vulgarité.Acteurs de série Z au charisme d'huître.Effets visuels datés d'au moins 20 ans.Une construction bancale.Un script inexistant.C'est un carnage à tous les étages,même sous la forme d'un "visionnage entre potes".Passe à autre chose George!On t'aimera toujours,mais les temps ont changés...
Plus que moyen ce film ça se laisse regarder mais sans plus, on a presque l'impression que les zombies ont été choisi pour remplir le scénario et que l'idée de base ne les impliquaient pas.
Je n'avais déjà pas aimé l'avant-dernier, diary of the dead, mais celui-ci est pire encore. Tout se passe sur une petite île, la réalisation est mollassonne, on se fiche plus ou moins de l'histoire, vu que l'on s'ennuie trop pour s'y intéresser, bref, cette guerre des clans entre deux patriarches aux idées opposées sur le sort des zombies donne un gros navet. Je pense que l'heure de la retraite a sonné pour le maître, d'autant que la relève est assurée.
Très grosse déception. Je n'ai pas réussi à voir plus de 30 minutes de ce navet. Comment Romero a t-il fait pour nous infliger ça ? A l'heure des films et séries hyper réaliste, il nous sort ça... Tout est raté dans ce film, mais le plus affligeant reste sans contexte la direction d'acteur et leur jeu... Un film épouvantable, réalisé par un (ancien)maître du genre...
Bon film, interressant à voir car c'est un nouveau style de film de Zombis et ça change un peu. Le film ressemble à un Western et l'histoire est bien. Il y a de bonnes scènes gore, amusantes et originales, les zombis sont bien. De plus il ne fait pas trop penser à un film d'action mais bien a un mélange horreur/western. A voir si on aime les zombis.
Et un nouvel opus de la célèbre saga chère à Romero. Ici, au-delà du film de zombies classique auquel il nous a habitué, Romero se penche davantage sur le destin, forcement tragique d'une petite communauté recluse sur une ile au large des côtes américaines et qui voit s'affronter deux clans: ceux pour l'extermination systématique des zombies et ceux qui veulent à tout prix les garder en l'état afin d'essayer de trouver un remède hypothétique. Se greffe par dessus ce conflit, un groupe de soldats esseulé reconvertis en mercenaires et qui vont débarquer sur l'ile pour y mettre leur grain de sel..... Si le film est plutôt pas mal par rapport au désastreux Land of the dead, on a davantage l'impression de suivre un téléfilm tant Romero a lisser son discours et semble fatiguer ou avoir perdu de sa ferveur et hargne habituelle. Mais très déçu par le fameux Land of the dead, celui-ci est plutôt une bonne surprise et on est étonné de constater que les protagonistes auxquels on s'était attacher résisteront finalement au massacre final.... Il est tant que Romero passe vraiment à autre chose et nous rappelle qu'il est le réalisateur de ZOMBIE (son chef d’œuvre absolu), INCIDENT de PARCOURS (intense) et de LA PART DES TÉNÈBRES (excellentissime adaptation du roman de Stephen King alors à son apogée de création)
Difficile de croire que le grand George Romero est le réalisateur de ce film minable. La critique sociale des opus précédents laisse ici place à un « western zombie » ennuyeux et réalisé sans aucun brio. La performance pitoyable des acteurs et la profonde indigence des dialogues n’arrangent rien à l’affaire.
Je suis un très grand fan de Romero ! Mais là franchement .... quelle déception ! Ce film est très mauvais. Alors la critique sociale est assez intéressante, elle peut laisser réfléchir effectivement, mais alors les acteurs ne sont pas bons et le scénario est bidon ! La magie de Romero n'opère pas dans ce film, elle est présente certes, mais on la distingue à peine !
SURVIVAL OF THE DEAD se base sur un personnage que l'on aperçoit dans le précédent film de Romero, Diary of the dead. Il s'agit d'un soldat déserteur aux allures de gros durs. Qui devient pourtant au bout du premier quart du film un personnage aussi inoffensif que les autres. Le grand créateur des zombies nous livre une sorte de série B, qui semble constituée d'un faible budget, pourtant après la grosse production de Land of the dead, qui marchait à la perfection. On subit donc tous les inconvénients des séries B : un casting faible avec des acteurs qui semblent amateurs, des effets spéciaux faibles, des dialogues inefficaces et un rythme lent. Les costumes semblent êtres tout juste sorti d'une boutique de farce et attrapes, les zombies sont tout sauf terrifiants. La plupart du maquillage se limite au teint pâle. Romero partait pourtant d'une bonne intention et d'une bonne idée de base. Il a décidé de changer quelques codes de sa saga et d'innover. Le film jongle entre le western et le film de zombies, l'action se situant dans la campagne. George A. Romero intègre également l'humour, qui est mal dirigée. Pour ce qui est des scènes de "sursauts", où un zombie surgit devant la caméra, Romero s'en sort plutôt bien, j'avoue avoir sursauté à plusieurs reprises. Mais ce n'est pas cela qui rend le film saisissant et rythmé. Le film dispose cependant de quelques beaux plans de la nature. Romero est loin d'être à la hauteur de ses premiers films, comme son Zombie, pour moi meilleur film de morts-vivants de nos jours ou encore le très perfectionniste land of the dead, qui bénéficiait d'excellents acteurs et d'effets spéciaux. J'espère que le maître des zombies saura remonter la pente et nous livrera un septième opus à la hauteur de son incroyable talent.
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Après le très moyen mais néanmoins pas si mauvais Diary of the Dead, Romero signe un second film de ce qui s'avèrera probablement être une trilogie. Incroyable mais vrai, mais il semblerait que le maître ait perdu son fameux mojo... Impensable !!
Après l'exelent "Diary of the dead" George Romero nous offre sa suite avec des personnages apercue dans son precedeur: les militaires. Les genre de personnages qui ne cessent de se vanter et de se prendre pour un super-héro lors d'une situation apocalyptique, on peut donc deja savoir que dans "Survival Of the dead" les protagonistes seront loin d'etre attachants. Quant aux effets gore je pense qu'on est très loin de la performance des opus precedents, c'est très mauvais ce qui ne permet pas au film de le sauver. Le jeu d'acteur est très moyen, on dirait, donc, que dans ce volet des "morts-vivants" Romero s'est laissé aller et s'est plus amusé que d'avoir travailler son film pour satisfaire les fans. Certains seront très deçu, si vous ne vous attendez pas à un grand film pour aprecierez sans doute. Car rien de nouveau dans cette suite mis à part un mélange de western et d'horreur ainsi qu'une question assez interressante: "Les zombies peuvent-ils dévorer une chaire qui n'est pas humaine ?" mais cela ne nous apporte pas grand chose après avoir eu la réponse à la derniere seconde du film. Dans l'ensemble "Survival of the dead" reste le moins bien de la saga et nous montre que Romero devrait se remettre en main et se rattraper très vite avant qu'il soit oublié par ses spectateurs. Malgré tout on regarde tranquillement et parfois avec amusement le film sans trop etre outré, certains aprecierons et d'autre y veront que des clichés et des effets completement ratés. Car, ici, le scenario ne fait guère mieux. A vous de voir et à vous d'en juger. Pour ma part 2.5/5 est genereusement attribué à ce dernier volet grace à son divertissement malgré ses erreurs.
En voyant Survival of the Dead j'ai bien vérifié plusieurs fois si je ne m'étais pas trompé de film et avait mis un téléfilm Nrj12 par erreur , j'ai donc encore vérifié et oui c'est bien un film de Romero , dur a croire tant le niveau du film est mauvais . Les acteurs ne sont absolument pas convainquant si ce n'est pour dire mauvais , le scénario est bidon pour ne pas être méchant , dur donc de se dire que c'est bien un film de Romero , faut savoir que Romero fut le maitre des films de Zombies ... mais ça c'était bien dans les années 70 , elles est loin l'époque de Zombie ou Night of the living dead ou avec un budget minimaliste il faisait mieux . Bref un film bidon a éviter c'est même pas digne d'un téléfilm .
Là c'est confirmé, le roi est mort. Le thème de la domestication avait été abordé dans Fido, sorti 2 ou 3 ans avant, donc il n'y a plus de doute sur qui a inspiré qui. Bon il est toujours possible qu'il règne une franche camaraderie entre les réalisateurs de films de Z, qu'ils s'envoient des clins d'oeil et que les petits jeunes se jettent la bave aux lèvres sur les idées lâchées par le maitre lors de soirées trop arrosées. Mais historiquement c'est plutôt l'inverse qui se produit. Bref je comprends ce qu'il a voulu faire dans ce film, se pencher sur les communautés très hermétiques et leurs liens très serrés avec leurs proches, dans la vie ou dans la mort, le genre de communautés qui mangeaient leurs morts pour les garder parmi eux. Le problème c'est que même sur le papier, l'intérêt est assez limité. En outre, les liens affectifs entre les vivants et les Z ont déjà été joliment exploitées, notamment dans la Nuit des MV. Psychologiquement, je ne vois pas pourquoi les membres d'une communauté fermée aimeraient plus leur famille que tout être humain, ni pourquoi le simple instinct de survie, à priori tuer ce qui essaie de vous bouffer, serait plus étouffé dans les communautés sus-citées. Niveau domptage des Z, les soi-disant fermiers de l'ile semblent également bien ignorants de la moindre technique de conditionnement, pourtant pour élever des animaux... bon bref je digresse trop. Le roi est mort, vivement un roi.