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Un visiteur
0,5
Publiée le 24 juillet 2011
Oh mon dieu ! George Romero , notre maitre à tous en matiére de films de zombies a chuté lourdement avec ce "Survival of the dead"... Des acteurs pathétiques , des dialogues débiles et des zombies moisis... Je suis extremement decu de Romero sur ce coup la , incroyable....
Je n'arrive même pas à croire que Survival of the Dead est réalisé par l'Homme qui a réalisé les merveilleux Zombie et Land of the Dead. Je pense que ce cher George Romero devient sénile... Ce film est d'une platitude hors-normes, les personnages sont caricaturaux à souhait (les militaires durs à cuir très bas boys, le méchant très méchant) et sans aucune saveur, je ne m'étendrai même pas sur les effets gores numériques (très mal faits soit dit en passant) utilisés à l'excès (Land of the Dead les utilisés plus astucieusement et sans en abuser), et la fin du film... franchement. J'ai beaucoup de respect pour George Romero mais il y a des moments où il faut savoir dire stop; j'ignore si le cinéaste a pété un plomb, s'il faut prendre SOTD au second degré, si c'est un délire ou s'il est bel et bien sérieux. Quoi qu'il en soit c'est un film ringard qu'il faut (très) vite oublier. (1,5 par pur respect pour le Maître Romero).
« Survival of the Dead » n'atteint pas, et c'est rien de le dire, le niveau des films de la première trilogie des morts-vivants. Il est vrai que le film est parfois mal joué, brouillon, et un peu ridicule dans son aspect de simili-western zombiesque. Le 6ème film de zombies de Romero n'est pas mauvais, il marque juste l'incapacité de son auteur, inventeur du genre, à le renouveler. Il n'y a finalement rien de honteux à cela, mais Romero ne semble pas l'accepter. A ce titre, on pourrait s'amuser à noter toutes les références aux 5 précédents films de la saga : la xénophobie de « Night », la tendance des morts à refaire la même chose que de leur vivant (« Dawn »), l'impasse scientifique (« Day »), la possibilité d'une intelligence zombiesque (« Land ») et même les nouveaux médias de « Diary ». C'est finalement cette impuissance et cette obstination de Romero qui donne un certain charme au film ; pour le reste, le conflit entre deux familles sur une île déserte, sorte de Troisième Guerre Mondiale miniature, convainc moins : Romero n'a pour la première fois rien d'intéressant à raconter avec ses zombies.
Ce film nous pousse à croire que Romero a enfin atteint le stade ultime de sa carrière... Il s'est lui même transformé en Zombie. Difficile dans ces conditions de réaliser un bon film, original et intéressant.
Je vais pas rajouter un pavé .tout a été dit. Quelque part ,je suis content que papi Romero ,aussi respectable soit il pour sa trilogie originelle ,descende enfin de son piédestal .injustifié depuis land of the dead ,série b poussive. Diary of the dead était aussi très bancal mais possédais un certain charme ...en cherchant bien . Mais là vraiment .......? il n'y a rien a sauver . Une réalisation catastrophique .Une série Z d'un autre age .et quel jeu d' acteurs ! quels dialogues sensés !. J'ai vraiment lutté pour arriver jusqu'à la fin. Plus que navrant .honteux.
Je suis un peu maso mais j'aime beaucoup rigoler devant un film de zombies. Alors je me suis dit regardons un film de ce tâcheron de Roméro. Comme je l'ai dit dans une autre critique, le réalisateur le plus surévalué du cinéma de genre horreur. Mais enfin une bonne rigolade ne se refuse pas. Mais c'est tellement nul, a part des zombies qui m'ont quand même fait un peu sourire...Mais malheureusement on n'accroche pas à cause du scénario et des dialogues bidons (VF). Sur le même sujet, les zombies, mieux vaut regarder Shaun of the Dead qui lui est vraiment marrant !
Un film qui manque de romero!!Mon idole en film d'horreur ferait bien mieux de prendre sa retraite car ces films sont de pire en pire...
Un film que je qualifiré de chiant a regardé manque de tout vraiment dommage a coté diary of the dead merité 5 oscars je comprends mieux pourquoi le film n'est pas sorti au cinéma!
Ce film est la preuve que Romero perd la boule. Comment un homme de sa trempe peut se complaire d'une infamie pareille si ce n'est preuve d'une démence dégénerative déjà bien avancée ou d'une transformation en zombie? On reste difficilement jusqu'au bout tant c'est mal joué et monotone. Et ce n'est pas le scénario qui tient sur une feuille de PQ qui sauvera cette série Z. Je ne parle même pas des effets spéciaux ou du doublage qui ne montrent que la cruelle absence de financement et donc de confiance des studios envers ce projet. Pourtant, Romero n'a jamais creusé son propos mais il partait de constat valide et légitime, et surtout livrait des films de qualité. Malheureusement et depuis quelques temps, il filme comme ça vient et sa pseudo-reflexion sur l'origine des guerres est digne d'un candidat des Anges de la téléréalité. Pas d'un grand cinéaste. Pas du maître qu'il a été.
Je l'annonce tout de suite, je suis un admirateur du cinéma de G. A. Romero: La nuit des morts-vivants, Zombie, même Martin et Creepshow, je prends un plaisir évident à les revoir. Autant dire que j'attendais son nouveau film avec délectation. Voilà donc ce Survival of the dead, qui se voit comme une suite de Diary of the dead (que j'avait été voir deux fois au cinoche), où l'on suit les militaires qui arrêtaient les jeunes héros du précédent opus. Le scénario aurait pu être sympa, puisque Romero reprends la thématique typique des westerns et des deux clans se battant pour le contrôle d'un territoire à coups de Winchester et de calibres .12, mais en y ajoutant des morts-vivants, je trouvais ça marrant. Donc cette fois-ci plus de caméra à l'épaule, on revient au style de Land of the dead, avec un character design assez semblable, mais cette fois-ci il ne fonctionne absolument pas, à part Richard Fitzpatrick (photo) très marrant, les autres sont plus agaçants les uns que les autres et surtout absolument lisses. Et puis ces gags, voir le roi des zombies s'auto-parodier comme ça fait réellement pitié, les effets spéciaux sont cheap et mal mis en scène, et la fin est réellement décevante. Juste l'arrivée au port qui est vraiment sympa, j'avais l'impression de voir une partie de Left 4 Dead en vrai et c'était assez marrant, mais à part ça pas grand chose à sauver. Non, vraiment, on oublie, mais si ça se reproduit j'ai bien peur de devoir prononcer cette terrible phrase, la même que j'avais prononcée à l'extinction de Dario Argento: ce soir, un roi est mort.
Romero nous sert de nouveau ses fameux zombies, à la sauce western cette fois, dans un film plutôt fauché, avec un scenario pas terrible qui se laisse tout juste suivre. En bref, sur la petite île de Plum au large des côtes du Delaware, l'apocalypse zombie cristallise les tensions entre les patriarches de deux familles : faut-il faire des morts-vivants des morts-morts, ou faut-il essayer de les "domestiquer" ? Débarquent alors des militaires (brièvement croisés dans Diary of the dead) dont on va suivre les péripéties. Bon, ce film a de quoi faire grincer des dents, on était en droit d'attendre mieux de la part du maître ès zombies. Déjà, les acteurs sont peu convaincants. Ensuite, les effets spéciaux et les maquillages sont particulièrement immondes (c'est fait exprès ou bien ?). Dommage que Romero ne nous fasse pas davantage profiter des beaux panoramas de l'île de Plum. Dommage aussi qu'il n'ait pas introduit ses zombies dans un "vrai" western en mode red dead redemption undead nightmare, c'eût été franchement plus intéressant. Dommage encore que la critique sociale présente dans ses précédents films soit quasiment inexistante ici. Heureusement, Romero ne se prend pas au sérieux en agrémentant son film d'un humour cartoonesque et potache (perso ça m'a fait rire), et en se moquant gentiment des conventions des films d'épouvante et de série B. Ça permet de sauver son film de la débâcle, mais c'est tout.