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Votre avis sur Survival Of the Dead ?
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On navigue soit disant entre l'humour et l'horreur. Sauf qu'ici aucun des deux buts n'est atteint.
Bouzi Bouzouf aime « Survival of the Dead » de George Romero, film d'horreur qu'il est pertinent d'évoquer car il est sorti il y a une dizaine de jours (en vidéo), mais aussi parce que nous sommes en plein week-end d'Halloween (apprenez, lecteurs, que Bouzi Bouzouf n'a pas besoin de se grimer pour cette fête puisque son apparence naturelle provoque chez les autres une terreur instantanée avec laquelle aucun déguisement ne peut rivaliser ; sinon, il se réjouit du fait que, demain, d'innocents enfants vont venir frapper à sa porte dans le but d'obtenir quelques friandises sucrées ; ne vous étonnez pas si, par la suite, vous voyez des panneaux « Alerte enlèvement » se multiplier sur les écrans de vos télés). « Survival of the Dead » est le dernier épisode de la saga des zombies, qui regroupe en tout six films dans lesquels Romero s'efforce, en plus des proposer des spectacles sanglants de qualité, de faire passer des messages sociétaux et politiques. Ainsi, dans le premier opus de 1968 (le fameux « La Nuit des morts-vivants »), la guerre du Viêt Nam et le mauvais traitement réservé aux minorités ethniques étaient épinglés à travers certaines séquences. Dans le deuxième (le non moins fameux « Zombie »), Romero passait à la moulinette la consommation de masse en la comparant à un processus de « zombification » des êtres humains (il suffit de se rendre aujourd'hui dans n'importe quel Carrefour ou Leclerc pour voir à quel point ce processus a superbement bien progressé). Le quatrième (« Land of the Dead », 2005) commentait le 11 septembre en peignant une société dominée par une petite caste de riches et de privilégiés mettant de coté avec mépris tout le reste de la planète (les laissés-pour-compte étaient les zombies, et ils prenaient leur revanche à la fin). « Survival of the Dead », lui, s'en prend à la campagne profonde américaine, archaïque et repliée sur elle-même, que symbolise un patriarche tyrannique, limite intégriste, qui fait penser bien sûr à George W. Bush.
Un mélange de gore et aussi une parodie, le réalisateur hésite et nous laisse en retrait. L'humour est assez moyen pour un film tres vite oublié.
Un film de zombie de plus. C'est ainsi que Romero semble avoir filmé Survival of the dead. Ce film est effectivement un film de série B et rien de plus. Il est même à plusieurs reprises assez parodique. On a l'impression que Romero est financièrement obligé de tourner des films de morts-vivants et que cela ne le passionne plus guère. Il choisit donc la parodie et méprise ses personnages. La série semble arriver à bout de souffle mais se laisse regarder.
Yannickcinéphile
Bon, un film franchement pas terrible de Romero, qui avec ce Survival of the Dead a clairement hésité entre l’humour franc et le sérieux, faisant de son métrage une espèce de nanar peu réjouissante.
Le casting présente quelques têtes intéressantes, et quelques acteurs au physique de l’emploi. On appréciera notamment les deux patriarches, qui toutefois évoluent dans deux registres très différents. Un assez sérieux du côté Muldoon, un franchement second degré du côté de O’Flynn, ce qui surprend assez, et à mon sens défini bien le contraste du film. Il y a quelques seconds rôles sympathique aussi, dont une Athena Karkanis, qui encore une fois, malgré une place secondaire, me surprend en arrivant à se faire remarquer. J’espère qu’elle aura peut-être dans l’avenir des rôles un peu plus consistant.
Le scénario est laborieux. Le film avance assez vite, et on ne s’ennuie pas, mais alors, qu’est-ce que c’est creux et vain. Honnêtement il n’y a pas grand-chose. L’action est assez risible, l’émotion ne transparait que très rarement, l’humour est assez mal amené et ça ressemble plus à de la nanardise involontaire qu’à de l’humour clairement voulu. Survival of the Dead ne ressemble pas à grand-chose, et je ne sais pas trop où Romero a voulu aller avec ce film, qui pourrait tout à fait être une vilaine production The Asylum. Il y a en plus des incohérences crasses, et des poncifs énormes (la scène d’ouverture est très parlante).
La réalisation est médiocre. Romero a perdu les pédale, en offrant un film plat, avec des scènes de zombis ratées (les attaques sont assez foireuses quand même, il faut le dire), et une incapacité totale à faire monter la tension. J’ai le sentiment qu’il a plus voulu se concentrer sur l’humour, mais il est réellement incapable de monter un gag et de le mettre en scène de façon réussie, alors il aurait mieux fait de rester sur ce qu’il sait faire de mieux. Le film n’est par ailleurs pas gagnant non plus au niveau de la photographie, assez vilaine, qui ne met guère en valeur une ambiance prenante, et que des décors, en revanche assez attrayants, ne parviennent pas pleinement à compenser. On regrettera aussi, et là de façon plus appuyé, des maquillages nuls, et des effets sanglants au rabais. Vous verrez ainsi souvent des gerbes de sang numériques mais aucune blessure apparente sur la peau, et si vous êtes pantois avec la scène d’ouverture, alors il vaut mieux ne pas poursuivre plus loin votre visionnage. Je note aussi une bande son médiocre.
En conclusion oui, ce film est un ratage. Alors par complétement, car j’ai pour ma part trouvé les acteurs plutôt corrects, et il y avait des idées sympathique. On peut dire aussi que le film est assez solidement rythmé, Romero parvenant au moins à nous offrir des rebondissements, même si ceux-ci n’ont rien de géniaux. Mais il n’empêche, c’est une grosse déception, et surement un des métrages les plus faibles de Romero. 1.5.
Le casting présente quelques têtes intéressantes, et quelques acteurs au physique de l’emploi. On appréciera notamment les deux patriarches, qui toutefois évoluent dans deux registres très différents. Un assez sérieux du côté Muldoon, un franchement second degré du côté de O’Flynn, ce qui surprend assez, et à mon sens défini bien le contraste du film. Il y a quelques seconds rôles sympathique aussi, dont une Athena Karkanis, qui encore une fois, malgré une place secondaire, me surprend en arrivant à se faire remarquer. J’espère qu’elle aura peut-être dans l’avenir des rôles un peu plus consistant.
Le scénario est laborieux. Le film avance assez vite, et on ne s’ennuie pas, mais alors, qu’est-ce que c’est creux et vain. Honnêtement il n’y a pas grand-chose. L’action est assez risible, l’émotion ne transparait que très rarement, l’humour est assez mal amené et ça ressemble plus à de la nanardise involontaire qu’à de l’humour clairement voulu. Survival of the Dead ne ressemble pas à grand-chose, et je ne sais pas trop où Romero a voulu aller avec ce film, qui pourrait tout à fait être une vilaine production The Asylum. Il y a en plus des incohérences crasses, et des poncifs énormes (la scène d’ouverture est très parlante).
La réalisation est médiocre. Romero a perdu les pédale, en offrant un film plat, avec des scènes de zombis ratées (les attaques sont assez foireuses quand même, il faut le dire), et une incapacité totale à faire monter la tension. J’ai le sentiment qu’il a plus voulu se concentrer sur l’humour, mais il est réellement incapable de monter un gag et de le mettre en scène de façon réussie, alors il aurait mieux fait de rester sur ce qu’il sait faire de mieux. Le film n’est par ailleurs pas gagnant non plus au niveau de la photographie, assez vilaine, qui ne met guère en valeur une ambiance prenante, et que des décors, en revanche assez attrayants, ne parviennent pas pleinement à compenser. On regrettera aussi, et là de façon plus appuyé, des maquillages nuls, et des effets sanglants au rabais. Vous verrez ainsi souvent des gerbes de sang numériques mais aucune blessure apparente sur la peau, et si vous êtes pantois avec la scène d’ouverture, alors il vaut mieux ne pas poursuivre plus loin votre visionnage. Je note aussi une bande son médiocre.
En conclusion oui, ce film est un ratage. Alors par complétement, car j’ai pour ma part trouvé les acteurs plutôt corrects, et il y avait des idées sympathique. On peut dire aussi que le film est assez solidement rythmé, Romero parvenant au moins à nous offrir des rebondissements, même si ceux-ci n’ont rien de géniaux. Mais il n’empêche, c’est une grosse déception, et surement un des métrages les plus faibles de Romero. 1.5.
Franchement j'ai passer un bon moment,, j'ai plus prit cela comme un film d'aventure ou les survivant chercher un endroit meilleur pour y vivre enfin bref ça nous change du résidence evil avec ces super pouvoir la.
Harf ! Ce film est une bouse ! Les dialogues sont incroyablement nazes :
"les petites villes crée de petites gens. Pourtant tu es grand, au moins 1.8 m, et plus tard je pourrai meme te depasser !" loool
Des acteurs franchement neuneux, et des scenes bourrés d'incoherences.
"les petites villes crée de petites gens. Pourtant tu es grand, au moins 1.8 m, et plus tard je pourrai meme te depasser !" loool
Des acteurs franchement neuneux, et des scenes bourrés d'incoherences.
Film moyen , pour moi c'est le moins bien de la saga
Napoléon
Des acteurs absolument mauvais avec une histoire totalement absente pour un film n'ayant aucun rythme, un Romero pas du tout inspiré.
AMCHI
Niveau gore on ne peut pas dire que l'on soit très servi mais sinon mise à part ce point Survival of the Dead est un bon film de Romero qui sait toujours nous offrir un film intelligent sur le thème des zombies. Ce film court est bien rythmé au style nerveux se regarde avec plaisir.
Ca se laisse regarder, logiquement inscrit dans les thématiques de plus en plus redondantes du grand Romero et - forcément - cela s'oublie vite. La portée métaphorique dudit survival est intéressante en elle-même, parfois assez surprenante mais beaucoup trop ténue dans sa récitation pour réellement convaincre. Les acteurs ( et ils sont nombreux ! ) sont souvent franchement mauvais et/ou mal dirigés par le cinéaste et les effets de manche finissent par lasser la plupart du temps. En revanche la première partie de Survival of the Dead est tout à fait prometteuse, installant intelligemment les multiples personnages du récit tout en agrémentant l'intrigue de rebondissement faciles mais efficaces. C'est davantage le dernier quart d'heure qui déçoit véritablement, sorte de débâcle sans grâce cherchant définitivement à boucler la boucle amorcée par l'ouverture. On pense moins à La Nuit des morts-vivants qu'à l'étonnant Zombie, notamment dans la manière d'appréhender la mort de l'être aimé... Bref, pas si mal mais sans éclats.
Romero vieillit et tourne en rond selon certains. Ce n'est pas de mon avis. Ce nouvel opus bourré d'humour est excellent et apporte une nouvelle réflexion à l'univers des morts-vivants. La mise en scène est irréprochable et l'interprétation très bonne.
et si Romero arrêtait de faire des films de zombies ?
jen ai vue des bouze mais des comme sa jamais comment peut on gaspiller son fric pour sa pfffff on ma toujours dis pour etre scripte ou producteur faut avoir une imagination débordante et bien j'assiste a une belle farce un film a éviter d'urgence Nul, une grooosse mer***.....
Du Romero, rien de bien nouveau mais la patte du maitre du zomblard y est et c'est bien là l'essentiel :-)
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