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2,0
Publiée le 8 mai 2023
Elie Chouraqui n'a jamais ètè un grand cinèaste! Là où Chouraqui passe...Vous connaissez la formule! Mais à l'arrivèe, ces films n'èvitent pas toujours les poncifs ni la mièvrerie! Son sujet n'est pas nouveau et se trouve presque dèvitalisè par une approche statique! La bonne nouvelle, c'est la prèsence de Barbara Schulz, rayonnante et très à l'aise avec son corps! Celle que l'on aime dans ce film, c'est elle! Marc Lavoine, lui, surjoue! En dèpit de cette absence totale d'innovation, cette comèdie dramatique se distingue avant tout pour le jeu naturel de son actrice principal et pour les scènes hommage à Jacques Demy! On y voit brièvement Anouk Aimèe ("Lola") dans un cafè parisien, par contre on passera sous silence la scène ridicule de la fraise! C'est donc sans passion qu'on suit cette trentenaire cèlibataire qui donne le meilleur d'elle-même! Dommage que la relation beau-père / enfant ne suive pas...
Dans "Celle que j'aime", Marc Lavoine et Barbara Schulz incarnent avec finesse des personnages pris dans un tourbillon émotionnel. Isabelle, jouée par Schulz, est une femme complexe, charismatique et déterminée à la tête d'un journal, mais aussi déchirée entre son fils obsessionnel et ses amours passés et présents. L'histoire explore habilement les dynamiques familiales et amoureuses, soulignant les conflits intérieurs d'Isabelle et les tensions entre les hommes qui l'entourent. Malgré des performances solides, le film peine parfois à approfondir ses personnages secondaires et à éviter certains clichés. Néanmoins, il offre un regard sincère sur les défis de la maternité et de la reconstruction après un divorce. Ma note : 3/5
La "romance" à la française, illustrée platement par Elie Chouraqui, qu'on a connu (un peu) plus en verve. Une énième histoire de famille décomposée, qu'Achille, 10 ans (petit interprète très mauvais), voudrait voir se recomposer façon papa/maman/moi, alors que sa génitrice cherche à officialiser son nouveau couple avec le séduisant Antoine (Marc Lavoine). Le rejeton rétif applique divers scénarios pour tenter de discréditer le "fiancé" auprès de sa mère (Barbara Schulz, fort prodigue de ses appas de pré-ado, pour étoffer un scénario indigent). Cela se veut enlevé et "tendance" - c'est en fait lourdingue le plus souvent (mention spéciale aux copains !), et déjà démodé (forme et fond). Seul Darmon s'en sort avec les honneurs, dans son rôle secondaire d'ex (nutritionniste et cinéphile), en faisant des tonnes en géniteur cool d'Achille (tenté par ailleurs par un petit "revenez-y").
Un arrière goût vient plomber cette comédie kitch et clichés. Alors que la première partie se déroule dans les meilleurs conditions, la seconde vient complètement flinguer le film ! Du grand n’importe quoi, que ce soit les situations trop exagérées ou les dialogues qui sonnent faux. Elie Chouraqui ne parvient jamais à satisfaire et ennui inlassablement. Fort heureusement, les acteurs de premier plan (Marc Lavoine, Barbara Schulz & Gérard Darmon) sauvent le film comme ils peuvent (on évitera de s’attarder sur les acteurs/figurants de second plan). Enfin, mise à part la plastique de rêve de Barbara Schulz (qui s’exhibe de la tête au pied durant tout le film), il y a pas vraiment grand chose à retenir ici !
Avec cette comédie bien dans l'air du temps,Elie Chouraqui veut exploiter le côté léger et coloré ancré en lui.Le thème de la famille recomposée et monoparentale est ici central.Toute les complications pour une mère seule d'élever son enfant,avec les risques des dérives oedipiennes et freudiennes.C'est incontestablement moderne et frais.Dommage dès lors que ce soit abordé par dessus la jambe,avec une insistance gênante à dédramatiser toute situation,même scabreuse,ou à faire du Paris estival,le lieu du bonheur fugace,qui va et vient.Les répliques,dialogues et rebondissements sont d'une banalité affligeante.Un tel manque de talent sidère.Marc Lavoine retrouve son éternel rôle de séducteur écorché vif.Gérard Darmon est juste parfait,en sexagénaire bourré de regrets.Quant à la sublime Barbara Schulz,elle force un peu trop sur l'hystérie de son personnage de mère battante,mais elle est d'une beauté et d'un charme époustouflant,ce qui compense bien des choses!"Celle que j'aime" réserve tout de même de beaux moments d'émotions,concernant la détresse de l'enfant de 10 ans,et sur la difficulté à accepter un beau-père.Juste pour se détendre alors.
Le titre colle pas...En fait tout tourne autour du vilain p'tit garnement. Sinon p'tite comédie romantique agréable grâce à la charmante Barbara Schulz, un Marc Lavoine qui se défend, un Gérard Darmon pas très crédible en nutritionniste et des collègues de boulot plus qu'exaspérant...
AAHHHH barbara Schulz... Avec ses longs cheveux bruns, elle est craquante ! Bon, M Couraqui a monté une bande (piqué à M Esposito ?) Lavoine Darmond ??? Quand est-ce que l'un jouera le fils de l'autre ? Ils jouent bien, juste la voix de Lavoine qui s'ennerve, c'est drôle quand même! Non, vous trouvez pas ? Bon, le môme joue bien dans le registre je fais la moue il est très fort, laid mais fort. Une jolie histoire d'amour bobo, des familles recomposées et tunées c'est si beau. Au cinéma, mettez du fric dans le couple, tout coule plus facilement. On peut faire une super déco d'intérieur ! Mais personne ne pète un câble hormis la crises d'hystérie de Barbara, y'aurait pourtant de quoi le lapider le môme et rien, on lui pardonne tout.. C'est donc ça les nouveaux parents ? et le gamin qui est content que Lavoine l'engueule enfin... Prenez nous pour des débiles tant que vous y êtes... Ou alors il existe des familles qui vivent dans un autre monde, je ne sais pas...
Dans la famille monde des bisounours le film de Chouraqui aurait une place de haut niveau si on additionne la mére hysterique qui se proméne a poil et qui change d'avis extrême de je divorce a je me marie en 5 minutes et pardonne tout a son fils et le beau pére qui est carrement sous l'emprise du môme de 10 ans ce qui dans notre monde existe je pense peu (c'est trés souvent le beau pére qui a logiquement l'emprise sur l'enfant). M'enfin aprés ses défaults de scénario le film réussi a être correct passer les 15 premiéres minutes grâce au duo Lavoine-Darmon efficace , a la BO anglaise qui est certes omniprésente mais très bonne , a des scènes sympa (préservatifs a la fraise) . Le pitch du film était bien vu celui de parler de l'arrivée d'un beau pére et l'impact sur l'enfant , mais a l'arrivée c'est un peu trop brouillon .
Une assez bonne comédie sur le thème de la famille recomposée en partie grâce à la fraîcheur de Barbara Schulz que je découvre pour la première fois dans un film. Toutefois on peut trouver quand même que les situations critiques engendrées par la jalousie sont un peu trop poussées pour être totalement crédibles.
Ce film reste un petit divertissement , sans plus. Plein de clichés et sans grande pretention, il nous raconte l'histoire d'un couple recomposé et d'un enfant qui rejette son beau pére en usant de tous les stratagémes. Le scénario est banal, sans grands rebondissement voir quelques incohérences et le happy end est fort prévisible. Mais si on aime Darmon (qui apporte indéniablement un plus) et Lavoine, cela passe. A noter que B. Sculth est bien souvent dénudé, ce qui n'est pas toujours désagréable mais ne sert à rien
Celle que j'aime est une comédie bruillante sur la recomposition d'une famille. Le ton n'est pas juste, les personnages idiots donnent aucunes émotions dans des clichés déjà vus. Les dialogues sonnent faux... à oublier.
Très beau film, les musiques accompagnants ce film sont juste sublime. J'ai trouvé les 2 acteurs principaux très bon, surtout Marc Lavoine qui déroule encore plus son talent, même après son jeux dans le film "Toute la beauté du monde". Pas mal de rebondissement dans le film, je ne me suis pas ennuyé une seule seconde
marc lavoine je trouve est meilleur en tant qu'acteur. l'histoire est bien struturé le gosse est pourri, gérard Darmon est très bien très cool dans son rôle de papa trop par moment.