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    Nosferatu Fantôme de la Nuit
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    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    690 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 février 2019
    Herzog relit le mythe du vampire à la lumière d’un crépuscule de désespoir : tout ici semble pris de décrépitude, et les êtres mi humains mi spectraux et les décors faits tantôt de ruines ranimées par la nuit tantôt d’un urbanisme pictural qui rappelle les plus belles toiles des maîtres hollandais. Ici pas la moindre goutte de sang : les corps sont morts ou se meurent dans une agonie bruyante : les rats pullulent, les loups hurlent, la cascade gémit une mélodie imperceptible. En suivant notre protagoniste principal, interprété par Bruno Ganz, règne une impression d’étrangeté où l’homme se trouve raccordé à son isolement premier dans la nature. Et qui dit nature dit temps et fuite du temps : une horloge vient sonner minuit, l’eau coule sans entrave, le sable est soufflé à rebours des pas du vampire, comme symbole d’une vie éternelle source de solitude, de profonde tristesse et de mort intérieure. Les visages sont plaintifs, pâles ; ils incarnent ces plâtres initialement exhibés en guise de générique. Pourtant Werner Herzog les change en âmes tourmentées d’une profondeur émotionnelle troublante, incarnées par des acteurs au sommet de leur art. Nosferatu, Fantôme de la nuit narre de la plus envoûtante manière qui soit la transmission d’un fléau à l’origine du mythe du vampire : l’immortalité.
    Alasky
    Alasky

    350 abonnés 3 405 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 octobre 2018
    Mise en scène extrêmement lente et sans aucune énergie, on a l'impression que le film dure une éternité. C'est dommage, car les décors sont pourtant là, la brume, les forêts, même la musique. Ce film contient beaucoup de longueurs, on est très très loin de l'oeuvre de Friedrich Wilhelm Murnau.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    121 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 juillet 2018
    Nosferatu, on l'appelle aussi Dracula ; c'est un remake d'un film de 1922 qui avait dû renommer le célèbre vampire pour une histoire de droits, et Herzog n'a pas su faire de choix entre les deux patronymes, alors il a pris les deux en vrac. Et ce n'est pas tout à fait son seul défaut puisque le monstre est supposé avoir des serviteurs, mais ils ne sont pas là, mais ils sortent de nulle part quand il en a besoin. On peut aussi arguer que son château, supposé fantômatique, apparaît à l'issue d'une scène qui, elle, est tout à fait fantôme ; ni brutalement, ni dans une douceur suggestive. Il est là, bien réel, avec peu de nuances.

    Mais à part ces petits cahots, Nosferatu reste une des grandes créations de Herzog, qui lui est permise par sa collaboration avec l'inquiétant Klaus Kinski ; le gars apporte quand même son pesant d'interprétation. Le régisseur sait tirer toute la valeur esthétique des montagnes allemandes et des villes hollandaises, où il règne un automne épais et une humidité pénétrante dignes des plus fantastiques aventures. Dommage que ces morceaux d'images constituent la seule beauté et la seule raison de véritablement se plaire devant ce film.

    La folie latente du style de Herzog s'exprime parfaitement dans ces décors, et dans l'esprit du héros que la peur envahit petit à petit. Autant le jeu de Bruno Ganz peine-t-il à percer la stratosphère, autant celui d'Adjani est-il aussi raffiné que sa maîtrise de l'idiome germanique. L'histoire tourne au cauchemar d'une manière délicate qui nous fait oublier la lugubrité ambiante – on ne peut au moins pas en dire qu'elle est hors-sujet.

    Quand la peste débarque dans le scénario, une alchimie digne la pierre philosophale est mystérieusement mise en œuvre jusqu'à nous faire ressentir de l'empathie pour le vampire, que ni le personnage ni l'acteur ne nous prédestinent pourtant à apprécier... Mais on peut ressentir son besoin viscéral de se faire souffrir à la longueur de ses pensées, de se cacher du soleil, d'être craint sans se faire craindre, de semer la mort. Si seulement je pouvais déterminer d'où ce miracle émotionnel provient, je pourrais en créditer l'auteur avec justesse, mais peut-être est-le le résultat spontané d'expériences involontaires.

    Jeu d'acteurs et climat ; deux ingrédients bénins mais qui font tout le charme de ce remake. Non, « charme » n'est pas le mot, mais je ne crois pas qu'il existe de mot pour définir un attrait glauque.

    septiemeartetdemi.com
    Matthias T.
    Matthias T.

    44 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 décembre 2016
    Après Friedrich Wilhelm Murnau en 1922, Werner Herzog se réapproprie le mythe de Dracula, à partir du bouquin de Bram Stocker. Il parvient surtout à restituer l'histoire de façon simple, limpide: Jonathan Harker quitte son épouse à Wismar, pour partir dans les Carpates afin de négocier la vente d'une maison avec le Comte Dracula. Sur la route, on prévient le voyageur qu'un sort funeste l'attend; mais celui-ci s'obstine, et continue sa route malgré tout, à cheval, et même à pied. Le Comte Dracula se rendra ensuite, caché dans un cercueil parce qu'il ne peut, en tant que vampire, supporter la lumière du jour, à Wismar, ville natale de Jonathan Harker, pour y semer la peste et y rencontrer la femme de Harker, dont la blancheur de nacre et le cou l'ont séduit sur un portrait... Voilà ce qu'on peut apprécier chez Herzog sur ce travail d'adaptation littéraire et de réactualisation d'un mythe: il ne se perd pas dans les méandres d'un récit trop chargé, va dans la simplicité ("J'ai des histoires à raconter et du spectacle", confie-t-il ainsi dans une interview des Cahiers du Cinéma), tout en respectant les points majeurs de l'intrigue, et allant à l'essentiel.

    En bien des points, le réalisateur d'Aguirre reste fidèle au Dracula dans la tradition instaurée par Bram Stocker, puis perpétuée par Friedrich Wilhelm Murnau. Cependant, il opte pour un parti-pris et apporte tout de même quelque chose de nouveau: insistant moins sur le potentiel horrifique du personnage du Comte que sur sa solitude - et pour cause il vit reclus dans son château des Carpates, paraît en singulier manque d'affection physique: en témoigne la position dans laquelle il se trouve à sa mort - celle d'un embryon...
    Bien qu'on ne le voit que 17 minutes sur 147, Klaus Kinski impose une impressionnante présence. La force inimaginable de sa présence est d'autant plus forte qu'il se contente d'être là, fixant Harker de son grand regard brun sans ciller un seul instant, articulant son texte comme une longue mélopée douloureuse, campant le personnage de Nosferatu sans jamais cabotiner un seul instant, incroyable gageure qui mérite, pour le coup, d'être citée... Il suffit de voir son regard lorsque Harker se coupe le doigt avec un coupeau de pain, à table ("-Die Dienerschaft steht ihnen augenblicklich nicht zur Verfügung; gestatten, dass ich selbst für ihre Bequemlichkeit sorge...").
    A cette incroyable performance s'ajoute une maestria visuelle et sonore qui fait revivre dignement le mythe de Dracula. Plusieurs plans, proches de tableaux de Füssli ou de Kaspar David Friedrich, exercent ainsi une imparable fascination: celui qui voit Lucy Harker, sublime Isabelle Adjani, hululer dans la nuit, blanche comme un linceul; ou les séquences qui voient Jonathan Harker alias Bruno Ganz chevaucher dans les Carpates... A la beauté sans époque des images s'allie l'impact que peut avoir un morceau de Wagner ou de Charles Gounod lorsqu'il est bien mis en valeur...
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    195 abonnés 2 511 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 novembre 2016
    Nosferatu est un film pas mal, même si la plus-value par rapport au film original n'est pas si importante.
    J'ai en revanche été très perturbé par le jeu des acteurs. Klaus Kinski ne m'a pas plus séduit que ça, surtout si on compare sa performance à celles de Bela Lugosi, Christopher Lee ou Max Schrek (acteurs ayant interpréter le même personnage). J'ai été très désagréablement surpris par le jeu d'Isabelle Adjani (alors que j'aime beaucoup cette actrice). Elle a le regard dans le vide durant tout le film. Bruno Ganz était correct mais sans plus.
    Le maquillage est franchement bon pour l'époque. Klaus Kinski est franchement assez monstrueux, il est vachement plus intimidant que le maquillage / costume du premier film Nosferatu.
    Toutefois, au final, le film ne fait pas franchement peur, comme beaucoup de films « d'horreur » de l'époque. Il a pris un coup de vieux.
    L'histoire est assez peu surprenante, puisqu'elle suit le même récit que le livre, repris plus d'une fois au cinéma. Donc, si on a lu le livre de Bram Stocker ou vu d'autres films sur le personnage, les péripéties sont connues. spoiler: En revanche, le final se détache complètement du livre et des précédents films. C'est très original comme idée de finir le film avec Dracula et Mina Harker morts, Van Helsing emprisonné et Jonathan Harker transformé en vampire pour poursuivre l'héritage de Dracula.

    Un film pas mal, mais ce n'est pas le plus mémorable film du genre.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 405 abonnés 4 439 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 octobre 2016
    Nosferatu, version Herzog, c’est un film qui, pour les amateurs du réalisateur, ne déconcertera pas ! Sans doute son film avec Kinski le plus accessible, mais un métrage très inégal.
    Très inégal, car déjà, l’interprétation l’est ! Kinski était tout trouvé pour jouer Dracula, et même si son look est discutable (les dents, hum !), le faciès de l’acteur et son jeu borderline fonctionne très bien, et sa première apparition reste un moment fort. Face à lui Bruno Ganz est plutôt bon, moins dans la seconde partie cependant. Mais il y a aussi les gros ratages ! Je passe sur le bras droit de Dracula, personnage ridicule qu’on se supporte heureusement peu, pour m’attarder sur une Isabelle Adjani transparente ! Décidément, ses incursions dans le genre fantastique peinent à convaincre, et ici, hormis des airs éthérés parfois appréciables, elle est monolithique ! Pas de vie, même avant de se faire séduire par Dracula, elle se traine mollement ! Quand à Van Helsing il ne joue qu’un rôle très secondaire ici !
    Cette interprétation inégale se retrouve dans l’histoire. J’ai apprécié la fidélité à l’histoire originale, avec quelques belles touches comme les hésitations sur la peste, des petits détails qui viennent donner un certain réalisme à l’intrigue, l’ancrant davantage dans le quotidien d’une ville. Après, c’est tout de même assez longuet, la dernière partie est loin de valoir la première, sûrement aussi car on se coltine la fadasse Adjani ! En fait c’est le souci habituel du cinéma d’Herzog, il faut toujours qu’il fasse peu concis, même quand il n’a pas la matière pour faire des films longs, et là il y a bien un quart d’heure de trop, tant Herzog se complait dans des passages trop contemplatifs, nous faisant vraiment perdre le rythme de l’histoire. Nosferatu avance parfois sur un faux rythme assoupissant dans la seconde partie.
    Alors c’est vrai, les plans sont travaillés, l’ambiance est froide à souhait, les séquences en Valachie sont très belles. C’est le point fort de ce film qui, s’il souffre des longueurs d’Herzog, bénéficie aussi, en retour, de la finesse de son travail d’ambiance, et de la qualité de ses cadrages qui magnifient certaines scènes (le bateau). A noter une bande son signée Popol Vuh ! Référence un peu bizarre, et je dois dire que ça m’a convaincu qu’à moitié ! Très planante, c’est idéal à petite dose, mais si ça traine trop sur des images déjà assez molles, alors c’est le sommeil presque assuré !
    Nosferatu est un film poétique, glauque, qui étrangement m’a rappelé quelques films de Jean Rollin comme La Rose de fer ! Reste que je suis resté sur ma faim, découvrant un film trop plat, trop contemplatif, pas assez bien interprété pour prétendre à figurer dans le top du genre. 3.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 mai 2016
    Loin d'être fan des réalisations de Herzog, son style se prête cependant très bien à cette réadaptation de Nosferatu, l'atmosphère pesante et angoissante étant prépondérante dans cette histoire. Il reste donc fidèle au classique de Murnau.
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 février 2016
    Tout comme le Dracula de Francis Ford Coppola, ce remake du film de Murnau (que j'ai désormais hâte de voir) par Werner Herzog est un film baroque, à la limite du gothique. Pourtant, il met largement moins l'accent sur sa dimension mythique que le film de l'américain, en y mêlant une lenteur sépulcrale et une très forte atmosphère aux accents surannés de la période romantique. La raison de ce hiatus est très simple : si Coppola se servait d'une ambiance prégnante au possible, c'était pour écraser ses personnages sous la menace du Mal et raviver leurs sentiments et leur désir de survivre. Son ambiance était donc mortifère, alors que celle que ménage Herzog est tout simplement morte. Le Monde, dans Nosferatu Fantôme de la nuit, est lui même une relique spectrale de ce qu'il a été, ravagé qu'il est par la peste et les rats qui accompagnent Dracula. Lent et inexorable, il parait se jouer sur un rythme bien à lui qui n'est plus celui de la vie telle qu'on l'avait connue. Les hommes résignés et complètement aliénés, réduits à enterrer leurs morts et danser en attendant de mourir, paraissent avoir enfin cédé à un penchant naturel ; celui de s'abandonner à la mort sous la tutelle de la figure apparemment toute puissante du comte, comme si c'était un soulagement que d'être débarrassé de la nécessité de vivre. Le comte, pourtant, est lui-même toujours aussi désarmé et impuissant à contrer son destin, condamné pour l'éternité à raviver sa faim par l'acte même de se nourrir. Artistiquement, pas grand chose à dire, mais le parti pris est forcément assez repoussant par moments, puisque tous les personnages sont antipathiques et que les enjeux sont inexistants - non seulement on connait l'histoire mais on devine directement devant le ton irrémédiablement funeste que les variations apportées à l'oeuvre de Bram Stoker iront dans le sens de la mort et de la désincarnation. Beau mais pas vraiment inspirant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 février 2015
    Un remake du grand film de Murnau. La photographie et la réalisation sont superbes, Klaus Kinsky y montre une fois de plus son génie. Reste que malgré la couleur, un travail soigné sur le Story-Board et la prise de vue, le film ne possède pas la magie et l'inventivité de son illustre prédécesseur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 octobre 2014
    Remake trés libre du film de Murnau, Herzog signe là un de ses meilleurs films. Même si celui-ci a un peu daté (on sent l'esthétique des années 80), il reste un des plus beau film de vampire, nostalgique et tragique, qu'on ait réalisé.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 avril 2014
    Ce Nosferatu est un chef d'oeuvre avec de très grands acteurs et une musique de Popol Vuh sublime. C'est un film comme on en trouve plus aujourd'hui
    Benjamin A
    Benjamin A

    713 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 janvier 2015
    Projet bien compliqué et risqué de la part de Werner Herzog de s'attaquer à une relecture du roman "Dracula" de Bram Stoker mais surtout à un remake du "Nosferatu" de Murnau. Il nous fait donc suivre la rencontre entre le comte Dracula et Jonathan Harker dans le but de négocier une maison.

    Pari risqué mais relevé par Herzog qui nous envoie d'abord dans les Carpates pour suivre la rencontre entre les deux protagonistes. Il met en scène un Dracula solitaire, intriguant et ambigu et met en avant son errance dans ce monde et dans cette région où il a apporté la mort et la maladie. Il insiste même plus sur sa solitude que sur la véritable incarnation du mal. Créature sur laquelle il laisse toujours planer l'incertitude et à qui il donne un côté fascinant et intrigant.

    La réussite du film vient surtout dans la manière dont Herzog arrive à créer une atmosphère glaciale, tragique et funeste avec ce sentiment de mort planant au-dessus du récit. Tout est bien maîtrisé par Herzog et use d'effets plutôt sobres, se contentant de quelques bruits de portes et de bien mettre en avant les décors et paysages, donnant lieu à de magnifiques plans et à des scènes aussi lugubres que fascinantes (notamment dans le château de Dracula ou son arrivé à Londres).

    Alors, c'est dommage que la deuxième partie ne garde pas la même puissance et ambiguïté que la première et perd un peu en fascination, puissance, terreur et émotion même si ça reste toujours captivant et intéressant. C'est d'autant plus dommage que Klaus Kinski campe un vampire très convaincant et tourmenté, bien aidé par un excellent travail sur le maquillage.

    Bref, une oeuvre imparfaite, qui perd un peu en émotion et puissance dans sa seconde partie mais qui reste fascinante par son aspect glacial et ambigu avec des scènes de toute beauté, une excellente reconstitution qui nous emmène au plus près des personnages et un très bon Kinski. (thanks to Jurassic).
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 7 mars 2014
    nul, je me suis rarement ennuyé sur un film mais la c´est le top de l´ennuis...
    MoktarSesf
    MoktarSesf

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 novembre 2013
    On a là un bon remake de ce chef d'oeuvre de 1922. Il retranscrit la même atmosphère parfaitement, en gardant cet esthétique si efficace et dérangeant. Pour ma part, je lui reprocherai de trop surfer sur la vague expérimental des années 70. On y trouve quelques idées saugrenues, dont l'introduction, qui est des plus perturbantes. Heureusement, la bande-son est simple et superbe, transcendante à certains points.
    Ce film est une réussite, certes, les jeux d'acteurs font très "vieux cinéma" : lent dans les mouvements, puissants dans les regards. Mais ce film reste un Nosferatu, pas aussi passionnel qu'un Dracula mais plus original. Quant aux libertés prises dans le scénario, il y en a toujours eu, il y en aura toujours, j'ai beau les répugner, je ne pourrai pas les éviter. Même le Dracula de Coppola qui se vantait d'être un des plus fidèles au livre, n'a pu s'empêcher de s'égarer loin, très loin même. Bref, un must-see !
    Une ambiance qu'on a pas tout les jours à l'écran. A vous faire aimer les Carpates !.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 15 septembre 2013
    Film sans âme et sans saveurs, voguant sur les mêmes mers que le film d'origine mais si perdant parfaitement. Le gros problème de se film était de trop vouloir reprendre l'ambiance de l'original mais à trop vouloir y ressembler il en devient une copie soporifique.
    Pourtant, il y avait tout pour que se film soit un bon remake de Nosferatu: de très bons acteurs ( le couple Klaus Kinski/ Isabelle Adjani), de beaux paysages et de bons séquences plans.
    Mais malheureusement, tout celà ne prend pas, on s'ennuie ferme et pour tout ceux qui admire le ''Nosferatu'' de Murnau, le Vrais film, on s'amuse même à deviner chaque scènes du film, toutes inchangés, toutes reprises sans touche personelles.
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