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    Visage
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    20 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 novembre 2009
    Ce film prend le prétexte d'une commande du Louvre pour se livrer à un puzzle sensé recomposer un une mise en scène picturale que l'on serait sensé voir au moins à la fin du film dans les galeries,seul intérêt à ne pas quitter la salle, hélas.
    Ainsi de nombreux tableaux plan séquences méthaphoriques d'une lenteur sans égal finissent par procurer un ennui phénoménal. Exercice stylistique vain et coûteux pour le Louvre
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 19 juillet 2010
    D'un niveau de nullissisme rarement obtenu.
    Pas d'histoire, pas de dialogue, que des plans interminable ou l'enchainnement est dificile à comprendre.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 24 avril 2011
    Ce film est dure a suivre avec ses changement soudain d'époque et d'endroit. Si je me fierais juste a ce film pour connaître l'histoire de Gengis khan, je dirais que c'est ¨un débile léger entouré d'une troupe de débile profonds¨.L'étoile que je lui donne est seulement pour les serieux ou le ridicule n'a vraiment aucune limite.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 novembre 2009
    L’érotisme glacial de l’irrésistible monstre Salomé, animale aux tentaculaires mains féminines effleurant le corps de Laetitia Casta aux sons de mugissements rauques et métalliques, fait perdre la tête à saint Jean Baptiste dans un baiser d’une extrême tendresse, face contre face sous un voile d’étoiles qui ne masque en rien la douleur de la jeune femme. A l’instar de Lewis Carroll, Tsai Ming-Liang plonge dans un rêve féerique en WonderLouvre sous terre plus proche de sa mère disparue. Entre Taipei inondé de chagrin et la demi-lune des Tuileries enneigées, Laetitia chante Historia de un Amor avec une sensualité sublimée jusque dans la voix. Tout n’est qu’illusion ! De l’autre côté du miroir, l’actrice obscurcit calligraphiquement le cadre avec le noir papier collant de ses névroses. La déchirure est irritante quand elle ne supporte plus son propre reflet jusqu’au moment où le clap d’un briquet ou d’une trappe secrète rallume l’amour, celui du cinéma de Truffaut.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 31 décembre 2014
    Si vous vous plaisez dans une représentation cinématographique où l'aventure côtoie un érotisme à peine voilé, si votre cœur palpite au son d'une musique tonitruante dans une cavalcade d'actions au beau milieu des explosions d'un monde au main des aliénés, si une certaine romance dont les propos teintés de cet humour délicat et raffiné vous fait frémir, si il vous faut de ce cinéma politique et social qui alimentera votre verve et les fleurs de la compassion en fustigeant cet égoïsme qui ne connaît d'autre joie que jouir, ne courrez pas immédiatement voir "Visage", vous risqueriez de vous essouffler et de décevoir l'attente.

    Car sans courir ou en marchant vous serez à même de comprendre par le seul biais de la sagesse que cela fait beaucoup de si pour un seul individu signifiant. Avouez de par l'usage de la raison que pour un spectateur c'est un conditionnement un peu pesant autant de si réunis sur la table de dissection de nos goûts esthétiques.

    Mais en revanche et néanmoins sans passer par le si ni le sinon et dans une pirouette vertigineuse vous pourriez atteindre une surprise, une expérience cinématographique propre à déconditionner ces automatismes du corps et de l'esprit dont se gavent nos végétaux adorateurs de l'excitation lumineuse en couleur.

    Il est vrai que l'expérience est un terme bien neutre pour recouvrir tout un tas de bidouilles plus ou moins suspectes. Pour tant quel mot employer : cinéma expérimental, lucidité onirique, architecture intérieure ouverte ... Moins de mots et place à l'image.

    L'image est son propre miroir. Salomé se met en avant (pro stature) et vous l'aimez. Cet effeuillage technique, onirique, lucide et novateur contient quelques perles en pure lévitation dans une psyché ravie encore par l'amour. Il ou Elle est comme les traces verticales d'un code barre qui ondulerait devant des lecteurs optiques enchantés. Il est de ces plans d'une sur-réalité ancrée dans la réalité ordinaire, dans ce miracle classique de la vie quotidienne. Le modeste prix d'une place de cinéma pour voir un tableau de Magritte animé et vivant. L'image est assez grande pour une interaction très privée, impudique et révélatrice dans la conscience même de chaque spectateur. Une percée et des trouvailles qui demain seront copiées par nos premiers spectateurs, vous savez ceux des si nombreux si qui seront toujours en train de chercher à décrypter dans un système régénéré ce que peut bien être une matrice cinématographique signifiante.

    David
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