Derniers Avis : Scream 4 - Page 26

Celui qui m'a fait découvrir la saga. Digne des trois premiers, une suite parfaite qui montre comment la célébrité peut monter à la tête de certain. Le twist final est grandiose, le meilleur de la saga à mon goût.

Mal joué, mal interprété, réalisation datée et peu novatrice, là où le premier film innovait à sa sortie. Il n'y a dans Scream 4 aucune bonne surprise, j'y ai pourtant cru jusqu'à la fin, malheureusement... Les films "dans l'air du temps" où on ne peut s'empêcher de nous montrer des MAC, des Iphone et parler de facebook, je trouve ça ringard, lourdingue et surtout, dans 10 ans on se demandera qu'est-ce que c'étaient que ces gadgets. Le plus mauvais Scream de la saga.

le meilleur scream que j'ai eu l'occasion de voir, pour une fois la fin surprend, ce n'est pas complètement stupide...bref un film à voir.

Je suis de la generation des premiers scream et je dois dire que cet ultime episode est tres mediocre.

Qu’est-ce-que le réalisateur Wes Craven aime se répéter ! Scream 1 était sympa, le premier d’une série à faire pâlir le public, avec du suspense, des attaques semi-sanglantes ainsi qu’un final drôle. Scream 2, une suite pas trop mal, les soi-disant tueurs qui veulent tuer Sid car elle est la cause de leurs problèmes familiaux passent encore, un final pénible et déjà-vu. Scream 3, le tournage du film « Stab » était une idée séduisante mais un final très décevant. Scream 4, Wes Craven ne sait plus quoi inventer, reprendre l’idée du 1 était un peu trop facile pour ma part, une nouveauté dans ce film, le tueur filme ses meurtres et sont diffusés dans la seconde sur net, original et innovant. Côté acteur la seule qui joue véritablement bien est Hayden Panettiere, elle a un second rôle mais c’est réellement la seule qui sort du lot. Par moment, le suspense est suivit d’un « Booooooo » et par moment on rigole aux éclats. Wes Craven devrait se piquer ou snifer « de la nouveauté », qu’il trouve une solution quoi. J’espère que dans Scream 5, un des trois personnages principaux va enfin être tués, il y en a marre qu’ils vivent ces trois-là !!!

Scream 4. Un classique, un très bon classique. J'ai tout simplement adoré ! Mélangeant comédie, épouvante et gore. Ce film est génial ! Le sang est très bien géré et pas trop exagéré !

Le scénario est très mauvais, les scènes caricaturales. C'est un massacre ni plus ni moins.

EXCELLENT! une franchise qui sait se réinventer qui suprend meme apres 14 ans merci a Wes Craven qui instaure une ambiance et un mythe encore maintenant.Bien agreable ce film une ambiance melant humour,intrigue

Malgré quelques longueurs, Scream 4 reprend et/ou parodie avec suffisamment de brio chaque code que son ancetre a pu instaurer en son temps. Par une mise en scène efficace, et des meurtres relativement gores et originaux SCRE4M est finalement une très bonne suite, pas indispensable, comme beaucoup de suites, mais pas ratée. Bravo Wes Craven, à voir (si on aime le genre, bien entendu)

excellent! ce film rattrape allègrement son précédent qui a fait chuter la réputation de la série! un véritable bijou qui revient à l'égal du premier! il y a d'ailleurs de bonnes références dans celui ci, ce que l'on retrouve dans le 4, mis dans le contexte de notre époque! fabuleux!

En trois ans à peine, Scream est passé de référence instantanée à formule éculée. Il serait malhonnête d'ôter au volume 2 sa bonne première heure ou sa cohérence dans la carrière de Wes Craven (très fournie au rayon satire méta). Seulement, arrivé au troisième volet, le concept tourne à vide jusqu'à flirter avec le délire tragi-comique. Ajoutez la prolifération de décalques plus ou moins embarrassants ou carrément de parodies (Scary Movie),...Le phénomène a été largement exploité jusqu'à plus soif. Dix ans après sa mise en sommeil, la licence fait son grand retour. Dans une relative indifférence. Logique mais est-ce mérité ? Non. Étonnamment, Craven livre la meilleure suite à l'original ici. Scream 4 donne le ton avec une séquence introductive en forme de poupées russes, véritable doigt d'honneur aux franchises horrifiques enquillées sans inspiration doublé d'une scène en miroir au premier opus où le réalisateur envoyait une pique aux suites des Griffes de la nuit.

On zappe sans le dire les précédents pour se glisser dans les pas du premier. Kevin Williamson réactualise certains codes, s'amuse à en tordre d'autres sans jamais jouer les vieux bougons. Bien au contraire, le scénariste intègre certains bouleversements sociaux opérés sur les dix dernières années pour redessiner certains contours de sa franchise. Culte de l'instantanéité, normalisation d'internet sous de nombreuses formes (vidéos, blogs, smartphone,...) et course à la célébrité ; autant de nouvelles choses que vont devoir appréhender Sidney, Gale et Dewey pour faire face à ce tueur nouvelle génération. Scream 4 prend donc plaisir à feindre la répétition pour mieux prendre à revers le spectateur trop sûr de lui. Sauf qu'il assume un registre ouvertement satirique jusqu'au renversement final, véritable coup de force pour le moins glaçant. Dommage qu'un épilogue aussi consensuel amoindrisse ce choix osé. Un peu la synthèse d'un film pas très adroit pour faire frémir.

Sinon, il faut bien avouer que l'angoisse est timide. Les gimmicks sont connus, les mises à mort peu inventives et la prépondérance de l'humour joue contre le film. Quand on se marre pendant les moments où le tueur montre le bout de son masque, il y a un problème quelque part. La réinvention n'était pas loin, si seulement Wes Craven avait imaginé de nouvelles manières pour scénographier la terreur. Ce numéro 4 se montre chiche à ce niveau, entre la photographie surexposée qui nuit aux scènes nocturnes ou la bande originale très moyenne. Les idées étaient là, et la distribution se régale. On pense bien sûr aux vétérans Neve Campbell, Courteney Cox et David Arquette, excellents. Les nouvelles têtes ne sont pas en reste, la petite bande composée avec Emma Roberts, Hayden Pannetière, Rory Culkin et Erik Knudsen ne manque pas de goût. Encore une fois, les arguments en faveur de ce retour sont nombreux, plus que pour les deux précédents. Manque un meilleur équilibrage entre horreur et pastiche, ce qui aurait fourni la clé pour s'élever à la hauteur du tout premier Scream.

Fan du premier, un peu mois 2ème et 3ème, j'attendais le 4 avec impatience. Tant de bruit pour pas grand chose, énorme déception, au bout e 10 minutes, j'ai compris, la mayonnaise ne prend plus. Histoire vraiment moyenne, jeu d'acteurs pas terrible, aucune surprise, aucun sursaut. Un direct-to-vidéo aurait été suffisant pour une série B. Le seul point positif pour ma part, c'est de voir que malgré les années qui passent, Courteney Cox reste toujours aussi charmante.

Sans aucun doute le meilleur Scream depuis le premier.
Difficile de bouder un tel plaisir, jouissif de bout en bout.
Autant dire qu'on ne se fait pas avoir sur la marchandise.

Avec Scream 4, Wes Craven prend tout le monde à contre-pied en proposant une parodie de sa propre trilogie.
Mieux encore, il propose une réflexion sur les films d'horreur en général.
Du coup, Scream 4, en plus d'être une parodie, devient à la fois un remake, la parodie d'un remake, et le remake d'une parodie.
Un mélange des genres explosif qui transforme ce film en "méta-film".

1h50 de plaisir suprême, où chaque clin d’œil est jouissif, où chaque ligne de dialogue se boit comme du petit lait, où chaque meurtre respecte la tradition des précédents films. C'est ce qui fait de Scream 4 une véritable réussite.

Le réalisateur rend également hommage aux classiques des films d'horreur (Halloween, Saw, Massacre à la tronçonneuse, Jason, Amityville...), et n'hésite pas non plus à s'envoyer quelques fleurs en citant ses propres œuvres telles que La dernière maison sur la gauche, La colline a des yeux, Freddy.

C'est aussi avec grand plaisir que l'on retrouve notre trio culte David Arquette, Neve Campbell et Courteney Cox, qui n'ont pas pris une ride et qui n'hésitent pas à user d'auto-dérision pour notre plus grand bonheur.

Enfin, si Scream 4 est si génial, c'est parce qu'il n'oublie pas le principal : proposer un scénario fichtrement intelligent en l'intégrant à une atmosphère de peur primitive.
Bref, dans la plus pure tradition des précédents opus.

Un Scream 5, vite !

Quand Wes Craven réalisa Scream dans les années 90, il renouvela le genre. Ce petit chef d’œuvre gore permit au film d'horreur de trouver un nouveau souffle et de lancer d'autres franchises à succès. Dix ans après le 3ème volet de la trilogie originale, Wes Craven et son scénariste Kevin Williamson remettent le couvert, mais la sauce ne prend plus. En effet, les Saw et autres Hostel sont passés par là, allant toujours plus loin dans l'angoisse, le gore et la surenchère d'hémoglobine. Wes Craven semble ne pas avoir vu les années passer. Il nous propose exactement la même chose qu'il y a 10 ans. Car contrairement à ce que nous promet l'affiche du film, les règles n'ont pas changé. Neve Campbell pleure et hurle toujours de la même façon, le tueur court toujours derrière de jeunes étudiantes apeurées avec son couteau de Rambo, la musique de Marco Beltrami nous prévient à l'avance qu'à l'instant suivant nous allons sursauter... Bref, aucune nouveauté, tout est prévisible, "téléphoné", y compris le dénouement. Scream 4 n'innove en rien une formule qui a fait recette. Le réalisateur s'autoparodie avec humour mais nous laisse sur notre faim. Si bien qu'on en vient à regretter que ce 4ème volet poussif soit le premier d'une nouvelle trilogie.

Sidney Prescott retourne à Woodsboro pour le lancement de son premier roman. Ses retrouvailles seront de courtes durées : Ghostface est de retour mais cette fois-ci les règles vont changer...

Après onze année Ghostface renoue l'arme blanche coup sur coup distractif, macabre et réfléchit s'organisant avec virtuosité.

Wes Craven et son scénariste Kevin Williamson renouvelle en 1996 le slasher movie sous le pseudonyme de Scream. Depuis ce succès, une quantité de copies et de sous genre du cinéma horreur sont nées, d'où un tandem envieux de nouvelles règles.

Redondances est-il ! Cantonné au slasher pur et simple joué de ses propres codes. Le remake s'auto-dénonce par une copie conforme à l'original bien entendue appauvrie et usée.
A contrario ce quatrième volet rallie une pertinente mise en abîme du genre, et des qualités narratives habilement orchestrée.

Craven réinvente-t-il un tueur "nouvelle génération" ? ou simple fait d'un ridicule classicisme ?