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Votre avis sur Scream 4 ?
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Craven montre qu'il sait maitriser son domaine, en réutilisant les clichés et clin d'oeil pour une auto-dérision et des références jubilatoires. Et en plus, il réussit à filer quelques frissons, à surprendre avec un bon scénario, et à installer un excellent suspens. Remise en bouche de Scream très savoureuse !
Franchement, il y a encore des gens qui ont peur ??? mais quel navet, il est temps que la série s'arrête !! aucun frisson, juste de l'hémoglobine gratuite, quelques instestins à l'air, beaucoup d'invraisemblance, bref une bonne série pour les ados en mal de frisson. Autant le prmier était surprenant dans son dénouement et son ambiance, autant les autres sont de plus en plus débiles.
Tout en regardant, j'étais mort de rire, alors je me dis que je n'ai peut-être rien compris !!! en fait c'est une comédie. Ah qu'il est loin Vendredi 13 !!!!!!!
Tout en regardant, j'étais mort de rire, alors je me dis que je n'ai peut-être rien compris !!! en fait c'est une comédie. Ah qu'il est loin Vendredi 13 !!!!!!!
Au même titre que les précédents opus, Sream 4 reste décevant, malgré un défilé d'acteurs plus ou moins renommés. La production joue sur la caricature, mais le suspence inexistant et l'abscence de suspense réel nous amène à trouver le temps long.
On prend les meme et on reconmmence.
Pas original pour un sous mais sa fait toujour plaisir de retrouver les personnages connu des autre épisode.
Grosse deception.
Pas original pour un sous mais sa fait toujour plaisir de retrouver les personnages connu des autre épisode.
Grosse deception.
15 ans ont passé depuis le premier opus, et Wes Craven prend le risque de sortir le 4ème épisode d'une saga culte. Pour moi, ça reste le moins bon. Néanmoins, il n'a pas eu tort de réunir Neve Campbell, David Arquette et Courteney Cox. En effet, avec beaucoup de second degré et de recul, Craven livre un bon petit film d'horreur à l'image d'une introduction parfaitement réussie. Le scénario et la chute sont toujours à la hauteur. Au final, Wes Craven évite le piège sans pour autant apporter beaucoup de sang frais à la saga, mais le divertissement est bel et bien assuré, et c'est là tout l'essentiel.
"Just Watch". Flics gras et jeunes filles en chaleur, femmes hystériques ignorant le sens du mot 'scrupule', tous posent pour Craven, le peintre, qui, d'un coup de pinceau rouge VIF éclabousse la société pourrissante, vieille hystérique hantée par cette new génération débile qui ne pense qu'à tapoter sur ses smartphones, plus apte à faire l'amour virtuellement qu'à chevaucher la fille de ses rêves sur le canapé le plus proche, ouais, j'envoie une jolie photo de mes abdos pour mieux te déchirer l'abdomen avec un long couteau, luisant, saignant. Mis à part Campbell qui campe, impuissante et pas belle, telle un parasite perdu, amorphe et édifiante d'ennui, les autres s'en tirent foutrement bien. Puis cette 'avant dernière' scène.. Sondez son esprit, gamine possédée et magnifique, ma folie s'éclate en mille pupilles, la mise en scène est grandiose, minutée, limite cartésienne: pas mal!
Si le film gagne sur la durée malgré sa logique de surenchère (plus de meurtres, plus de renversements, plus de " méta "), c'est que le scénario de Williamson et la mise en scène de Wes Craven se renvoient constamment la balle, le premier jouant la carte d'une théâtralité maximale quand le second, au contraire, en revient dès qu'il le peut aux puissances d'une horreur viscérale. La plastique des meurtres, dans " Scream 4 ", peut ainsi être vue comme un remède à la gadgétisation sadique dans laquelle se sont enfermés le slasher et le torture porn au fil des ans (imaginer les dispositifs les plus tarabiscotés pour mettre en scène la mort, comme dans la série des " Saw "). Les massacres ne sont ici que pure démonstration de brutalité, les coups de poignards pleuvant dans un déchaînement cathartique qui ramène à une dimension préhistorique de l'horreur assez peu explorée au cours des années 2000 (sinon chez les fracs-tireurs Rob Zombie et Marcus Nispel).
Le jeu de démasquage progressif auquel se condamne le scénario du long-métrage joue in fine en faveur du cinéaste. L'ultime subterfuge de l'intrigue dans la séquence finale (le monstre démasqué qui tente de se déguiser en victime), comble de la théâtralité et de l'artificialité, est aussi le moment où la mise en scène de Craven se durcit le plus, blanchie dans la lumière froide d'un hôpital et brutalement mise à nu. Coupée de tout relai, alors que le film entier a joué de la démultiplication des regards via réseaux sociaux et caméras DV, la mise en scène se réduit alors à un face-à-face entre le monstre et le spectateur, dans une montée de tension qui est à la fois le sommet de la série et la négation même du principe d'abstraction qui la gouverne. Que Craven triomphe ainsi de ses démons - une intrigue qui, sous son ludisme, renvoie aussi au mépris qu'a toujours affiché l'auteur pour le genre qui l'a fait roi - en revenant vers les délices d'une terreur à la pureté hitchcockienne est presque inespéré. Du bâclage de " Scream 3 " à ce quatrième et dernier volet, une décennie de déceptions aura été nécessaire pour que l'aigreur laisse place à une élégance sauvage et souveraine.
Le jeu de démasquage progressif auquel se condamne le scénario du long-métrage joue in fine en faveur du cinéaste. L'ultime subterfuge de l'intrigue dans la séquence finale (le monstre démasqué qui tente de se déguiser en victime), comble de la théâtralité et de l'artificialité, est aussi le moment où la mise en scène de Craven se durcit le plus, blanchie dans la lumière froide d'un hôpital et brutalement mise à nu. Coupée de tout relai, alors que le film entier a joué de la démultiplication des regards via réseaux sociaux et caméras DV, la mise en scène se réduit alors à un face-à-face entre le monstre et le spectateur, dans une montée de tension qui est à la fois le sommet de la série et la négation même du principe d'abstraction qui la gouverne. Que Craven triomphe ainsi de ses démons - une intrigue qui, sous son ludisme, renvoie aussi au mépris qu'a toujours affiché l'auteur pour le genre qui l'a fait roi - en revenant vers les délices d'une terreur à la pureté hitchcockienne est presque inespéré. Du bâclage de " Scream 3 " à ce quatrième et dernier volet, une décennie de déceptions aura été nécessaire pour que l'aigreur laisse place à une élégance sauvage et souveraine.
Allons bon, encore un quatrième opus 10/15/20 ans après la trilogie originale... Après le terrible Crâne de cristal et le passable Retour en enfer, c'est maintenant à Scream de s'y coller. Et, surprise, la recette fonctionne toujours. Dès le départ, le ton est donné : Wes Craven joue à fond la carte de la mise en abyme auto-parodique, qu'il développe sans cesse depuis les débuts de la saga. On nous promet de "nouvelles règles", mais dans le fond, c'est bien le même plaisir sadique de voir des jeunes crétins se faire étriper à la sauce "haha va voir dans le placard si j'y suis, hé non j'tai eu, chuis juste derrière toi !".
Toujours gore, toujours drôle, toujours bourré de références, le petit plus cette année réside en une fine satire des réseaux sociaux et autres technologies modernes.
Wes Craven et Kevin Williamson ont toujours la main (au couteau).
Toujours gore, toujours drôle, toujours bourré de références, le petit plus cette année réside en une fine satire des réseaux sociaux et autres technologies modernes.
Wes Craven et Kevin Williamson ont toujours la main (au couteau).
Bon film, quelques sursauts même si on s'attend très souvent à ce qu'il va se passer. Je le conseille à tout ceux qui aiment les films d'horreur pas trop "gore".
Mouais, je n'ai pas accroché, c'est du déjà vu, ça sent le réchauffé. Wes Craven reprend les bases des autres épisodes sans y incorporer une once de nouveauté, que ce soit dans les meurtres ou les lieux par exemple. Ils vont faire un 5 apparemment, qu'ils s’arrêtent là ça devient lourd, l'humour ne passe plus et les scènes sont prévisibles ; bref la sauce ne prend plus.
Caine78
Je reconnais que je l'attendais de pied ferme ce dernier volet de « Scream », et je ne le regrette pas tant celui-ci a su en définitive combler mes attentes. Après une introduction réjouissante ou Wes Craven se plaît à jouer brillamment sur la mise en abyme, la suite a beau plus ressembler à la routine, elle n'est pas moins très agréable. C'est vrai que cela fait un peu remake des précédents, tant par le retour des personnages emblématiques que l'intrigue et certains rebondissement se ressemblant étrangement. N'empêche, Craven n'a pas son pareil pour livrer un suspense efficace, le tout avec humour et recul, ce qui n'empêche pas quelques scènes bien flippantes, même si on devine un peu la manière dont elles vont être amenées. De plus, le papa des « Freddy » n'oublie pas de moderniser son propos, Internet (Facebook en particulier) faisant son apparition pour la première fois, preuve de moyens techniques encore plus grands pour le « Ghost Face », qui ne manquera d'ailleurs pas de s'en servir. Et puis je ne sais pas vous, mais alors que je suis habituellement plutôt bon pour deviner l'identité du tueur, l'ami Wes a encore réussi à me flouer, et ce pour la quatrième fois en autant de films. C'est suffisamment rare pour être signalé et ne fait que renforcer mon idée qu'une saga capable de vous tirer par le bout du nez avec autant de facilité ne peut être froncièrement manquée. Sans doute pas le meilleur épisode donc, mais un divertissement de très bonne facture et remplissant son contrat haut la main : dans son genre, une réussite.
Je suis une fan des trois premiers volets et il est naturel, après 10 ans, de se rendre compte que le ton a changé. Je l'ai visionné deux fois à quelques semaines d'intervalle, car j'aime bien regarder un film une première fois sans savoir qui sont les tueurs, et le revoir en le sachant. Comme beaucoup j'appréhendais, je n'ai pas été déçue même si je placerai ce 4ème volet après les 3 autres. Il est fidèle aux trois premiers. Déjà au niveau du casting, il y a eu de bons choix, j'ai trouvé les jeunes assez crédibles.
spoiler:
Les scènes de meurtre sont réussies, notamment les premières qui sont un ensemble de séquences, et surtout celle du placard "J'ai jamais dit que j'étais dans TA penderie"^^. Il y a pas mal de suspens et de rebondissements. Ce que j'aime aussi dans Scream, c'est que les personnages débattent du sujet (les films d'horreur) et parlent justement de l'attitude à adopter (au début notamment, ou quand les flics parlent dans la voiture : ne pas dire "je reviens tout de suite", etc..). Après c'est vrai que c'est dangereux car certains peuvent avoir l'impression d'être dans une comédie alors que le but est de faire peur.. Le choix de la cousine de Sidney pour incarner le nouveau tueur et ainsi nous faire plonger dans un "remake" était une bonne idée selon moi, mais je pense que certains auront deviné dès le départ ! Il y a quelques incohérences aussi.. Par exemple, il est assez invraisemblable que Jill ne se soit pas assurée que Sidney était morte (ah mais oui j'oubliais, c'est un film ! Sidney doit rester en vie), ou qu'il y ait une scène aussi énorme dans une chambre d'hopital (où est le personnel ?!), pas très réaliste mais bon..
Ca fonctionne, il y a pas mal d'action, ça clashe de tous les côtés, et puis Gale a toujours son foutu caractère qui me fait rire, dommage qu'elle n'apparaisse que trop peu ! Pas la peine d'avoir vu les trois premiers volets pour découvrir celui-ci, mais je trouve ça dommage !
Ca fonctionne, il y a pas mal d'action, ça clashe de tous les côtés, et puis Gale a toujours son foutu caractère qui me fait rire, dommage qu'elle n'apparaisse que trop peu ! Pas la peine d'avoir vu les trois premiers volets pour découvrir celui-ci, mais je trouve ça dommage !
Un film d'horreur qui se prend qu'a moitier au serieux,de bon acteur,un scenario un peu bizzare mais c'est fait exprés.En gros c'est un film sympa a regarder.
Très déçu, une intrigue qui pouvait être plus prenante si jeu d'acteur et atmosphère meilleur.
Wes Craven n'a jamais était le maitre de l'épouvante comme cela se dit beaucoup sur le net. Ce "Scream 4" est une bouse monumentale, tout comme ces précédents épisodes. Craven ne s'est vraiment pas foulé, il nous a resservi la même histoire que dans les autres. C'est prévisible, les acteurs sont nuls et les dialogues catastrophiques. J'ai dépenser 3,50€ en location pour cette daube et je le regrette franchement. Wes, arrête le cinéma et ouvre une boucherie, c'est plus dans tes cordes.
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