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    Brooklyn Affairs
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    William Dardeau
    William Dardeau

    33 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2019
    Brooklyn affairs est un splendide hommage au film noir "classique", dont on citera quelques oeuvres emblèmatiques : Le grand sommeil, Le faucon maltais pour les films fondateurs, puis entre autres: Adieu ma jolie, Chinatown, LA confidential. Edward Norton a manifestement vu et revu ces films et bien d'autres, et il respecte les fondamentaux: un privé désabusé, une femme un brin fatale, une intrigue tarabiscotée, de la corruption dans les hautes sphères, une musique jazzy nostalgique: tout est là. Norton situe même son film dans les années 50, et bien sûr à New York. La photo est grandiose et mérite à elle seule la vision du film. Mais Brooklynn affairs n'est pas seulement un hommage et un exercice de style c'est aussi une oeuvre profonde et intelligente sur le pouvoir, l'Amérique et la manière dont elle s'est construite. Norton cite d'ailleurs Chinatown comme inspiration majeure: Brooklyn affairs serait une sorte de pendant new yorkais à Chinatown qui se déroule à Los Angeles. Les deux films en disent long sur la manière dont se construit une grande métropole aux états unis. Norton reconnaît que l'élection de Donald Trump donne un coup de jeune à son scénario (imaginé bien auparavant). Le film n'est pas politique, mais il aborde la politique. D'aucuns estiment qu'il y a quelques longueurs, ce n'est pas du tout mon avis : au contraire l'ensemble est d'une rare fluidité. Mention spéciale à l'acteur Norton qui joue magnifiquement un privé atteint du syndrome de la tourette , maladie neurologique (celui qui est atteint a de nombreux tics et parfois profère des insanités). On pouvait craindre qu'un tel film soit désormais réservé à Netflix; il faut absolument voir ce polar crépusculaire sur grand écran, et remercier Edward Norton d'avoir tenu bon pour réaliser cette oeuvre majeure.
    zorro50
    zorro50

    117 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2019
    C’est un bon polar à l’ancienne et, comme j’ai pu le lire dans la presse, ce film fait penser à l’excellent « L.A. Confidentiel », un film que j’ai dû revoir 2 ou 3 fois afin de vraiment tout comprendre tellement c’est confus, mais cela en valait la peine. Pour celui-ci, je ferai de même car je suis sûr qu’il faut être au courant du dénouement et de tous les méandres pour y arriver, afin de le savourer davantage
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 5 décembre 2019
    Plutôt déçu !...Oser faire la comparaison avec le "Chinatown" de Polanski est clairement hors de propos: le caractère falot des personnages et de l'intrigue - qui frise l'improbable à force de vouloir s'affirmer complexe - nous ramène au niveau d'un honnête "club des cinq" et d'une "bibliothèque verte" version new-yorkaise !! Et avoir insisté aussi lourdement, au point d'en devenir ridicule, sur la compilation de tics du "héros" casse complètement la dynamique de ce film qui se veut "noir". Heureusement que l'image, les séquences Jazz et les décors sont soignés pour entretenir l'illusion du polar "fifties"... Polanski peut dormir tranquille, l'intensité parfois brutale de son histoire habile et retorse, l'épaisseur des caractères et l'atmosphère poisseuse et vénéneuse d'un "vrai" film noir tourné dans le style "kodachrome" n'ont rien à craindre de cette copie pâlotte !!!
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 5 décembre 2019
    Depuis 1998, je collectionne toute la filmo sur Bruce Willis et vais voir tous ses films en salle,

    donc j’ai été voir ce film que pour lui. Ça ne m’étonne pas que Edward Norton ait mis 20ans pour trouver les financements pour monter un énième film de gangsters années 1950 qui n’intéresse plus personne,

    on a vu le bide énorme du film de Ben Affleck là-dessus il y a 2ans qui l’a replongé en dépression…

    On voit peu Bruce en salles vu que ses films de série Z finissent depuis quelques années soit en direct DVD soit en téléfilm sur les chaines de la TNT !

    L’année dernière j’avais adoré 'Death Wish' qui n’a pas du tout marché en France alors qu’il était excellent puis il y a quelques mois la suite de Incassable, excellente prestation et grand film… Mais là sa photo et son nom marqué en second sur l’affiche et dans le générique final du film c’est une arnaque : son personnage meurt au bout de 10mn ! comme le film est beaucoup trop long avec la durée incroyable de 2h25 on a donc 2h15 de film à se farcir sans Bruce ! même si 3-4fois on a une scène de flashback avec lui mais de quelques secondes seulement et qu’on parle de lui tout le long du film et à la toute fin encore mais il aurait fallu resserrer le film à 1h45 !


    je prédis un four épouvantable pour ce film : on était 6 personnes dans la salle et 3 ont quitté la salle en cours de film !
    traversay1
    traversay1

    3 638 abonnés 4 875 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 décembre 2019
    Il a fallu attendre près de 20 ans pour voir Edward Norton revenir à la réalisation. C'est bien trop long mais pas surprenant tellement les films "adultes" dans l'industrie américaine sont devenus secondaires. Brooklyn Affaires est visuellement somptueux, très référencé évidemment mais cela n'empêche pas de trouver certains plans admirables, celui dans la gare,en particulier. Sans oublier l'atmosphère soyeuse des clubs de jazz où l'on écoute religieusement la musique sans se préoccuper outre mesure de l'intrigue du film. Parce qu'il y en a une, bien tarabiscotée et opaque dont on comprend cependant les grandes lignes sans pour autant se passionner pour son déroulement malgré le plaidoyer humaniste en faveur des petits et des sans grade contre la corruption et les malversations des nantis. Assez classique, en définitive, le récit, et un peu trop centré sur le personnage principal et ses tics oraux et comportementaux. Le héros, joué par l'acteur/réalisateur, est atteint du syndrome de Gilles de la Tourette, ce qui n'est certes pas banal dans un film noir, mais a tendance à prendre toute la place en suscitant parfois le rire, au détriment des autres personnages si riches de potentialités. C'est un peu dommage vu la qualité de leurs défenseurs : Willem Dafoe, Alec Baldwin ou encore Gugu Mbatha-Raw, tous remarquables mais trop peu présents. Il n'est pas question de remettre en question l'excellence de l'interprétation de Norton, que nenni, mais son handicap finit par être l'attraction principale d'un film qui a pourtant bien d'autres atouts dans sa manche.
    benoitG80
    benoitG80

    3 428 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 décembre 2019
    « Brooklyn Affairs », un excellent film aux images magnifiques, bourré d’humour, d’humanisme et de tendresse...
    Un comble pour un film qui obéit aux codes du policier noir américain, mais qui trouve évidemment son explication dans la personnalité étonnante et hors normes de ce héros si particulier, qui à lui seul, fait toute la différence !
    Quel phénomène en effet ce Lionel Essrog qu’interprète avec tant de justesse, de virtuosité et de finesse... Edward Norton lui-même !
    Son syndrome de la Tourette aussi surprenant qu’il soit, apporte à son personnage quelque chose de très touchant et même curieusement, de très drôle en fonction des situations dans lesquelles il se trouve !
    Quelle performance d’acteur que de pouvoir exprimer ce handicap à l’écran et de s’en expliquer aux yeux des autres, avec autant d’humilité et d’autodérision, et de trouver juste quelques mots simples pour en parler, pour imager ce qui se passe dans cette tête a l’envers ou à l’endroit !
    Plus d’un instant magnifique de sensibilité nous est alors révélé, pour ponctuer cette enquête de purs moments de douceur et de poésie...
    Et le voir mener ses multiples investigations tel un pied nickelé idéaliste, tout en étant particulièrement intuitif et extrêmement malin, est un vrai régal...
    Alors bien sûr, en étant adapté du roman « Les orphelins de Brooklin » de Jonathan Lethem, l’intrigue et ses rebondissements ont leur importance, de même que ce rapprochement avec la belle et énigmatique Laura (Gugu Mbatha-Raw), mais on se laisse prendre surtout par cet énergumène peu commun et son allure débonnaire !
    Les dessous de cette triste affaire durant les années 50 a NewYork, sont cependant riches de révélation et d’enseignement, et entendre le mode de pensée de cet effrayant urbaniste Moses Randolph, au bord d’une belle piscine décorée de mosaïques, prononcée dans la bouche même de cet homme d’affaires corrompu et sans scrupule, fait froid dans le dos en nous renvoyant à des procédés et un discours trop entendu par nos banquiers et politiciens sans état d’âme, qui nous gouvernent malheureusement aujourd’hui.
    Et donc pour conclure, on retiendra beaucoup de points très positifs à cette brillante réalisation, dont la musique jazzy très ciselée et la photographie sublime par sa composition et ses éclairages sont lors de chaque scène, une véritable merveille, de quoi avoir envie de peindre des toiles tout en clair obscur, un peu à la manière d’Edward Hopper, pour ne pas dire Edward Norton bien sûr !
    Superbe et envoûtant tout simplement...
    Bravo !
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    535 abonnés 953 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 décembre 2019
    Deuxième fois que Edward Norton déniche un projet lui permettant de retrouver la double casquette d'acteur/réalisateur.
    Et on voit bien ce qui a pu le convaincre d'occuper ces deux rôles. En premier lieu, il lui permet de tenter la performance à haut risque d'un personnage hors-norme (un détective atteint du syndrome de La Tourette). Puis, c'est l'occasion de se mesurer au film d'époque. Le livre dont le film est tiré n'appelait pas forcément à ce voyage dans le temps, mais la moelle du polar tel qu'il fut gravé dans l'imaginaire collectif si.
    Nous voilà donc transposé dans le New York des années 50/60 (aucune date mentionnée). L'Amérique post-2nde guerre mondiale se modernise, les inégalités restent, le jazz prend son envol et les détectives privés arpentent les bars enfumés lors de leurs enquêtes souterraines. Lionel Essrog est de ceux-là. Cherchant à expliquer la mort de son mentor, il se retrouve au centre d'une sombre affaire dont les enjeux sont tout aussi obscurs que les protagonistes qu'elle implique.
    La principale limite de ce type de long-métrage se situe dans l'anachronisme qu'il peut entretenir. Mais Edward Norton choisit de retourner cette faiblesse en force en révélant subtilement plusieurs ponts avec le présent : lutte des classes intemporelle, racisme et orgueil régissants les relations entre les puissants et les délaissés. Pas besoin d'aller plus loin, la réalité est juste au coin. Pour enfoncer le clou, Norton s'est adjoint les services du toujours merveilleux Alec Baldwin, toujours prêt quand il faut s'en prendre à certains hommes occupant de hautes fonctions...
    Bref, ce contexte à l'effet boomerang sied à merveille au film sans mettre de distance par rapport à son audience. Pour le reste, on peut compter sur l'ultra-compétence d'un metteur en scène qui a eu tout le temps d'observer ces collègues (David Fincher, Spike Lee, Wes Anderson) pour en retenir les bonnes leçons.
    L'œil d'Edward Norton est affuté : les plans sont élégants, le rythme soutenu, et la photographie de Dick Pope est très belle (notamment pour les scènes nocturnes). Autre point attendu au tournant : comment montrer la particularité de son personnage principal sans tomber dans la caricature ? Le même Norton rassure tout le monde avec une prestation qui ne tourne jamais ce handicap en dérision (bien qu'il apporte un soupçon d'humour). Au contraire, il rend compte avec grand talent des difficultés relationnelles qu'il peut créer mais aussi de la grande beauté qui s'en dégage (notamment lors d'un long plan circulaire, lors d'une scène dans un bar Jazz).
    Le reste de la distribution est à l'avenant, bien que le rôle de Gugu Mbatha-Raw soit finalement limité (dommage pour l'actrice, convaincante). Les vieux briscards à l'honneur ai-je envie de dire, entre Alec Baldwin, Willem Dafoe et Bruce Willis, tout trois en grande forme.
    Brooklyn affairs n'entendaient subvertir ou dévisser les archétypes ou intrigues inhérentes au genre. Juste les utiliser au mieux pour en rappeler la pertinence. Et c'est plutôt réussi, la structure en puzzle trouve petit à petit sa cohérence et le propos est intéressant. Manque un poil de surprise pour dynamiser davantage le film. Mais c'est un écueil sur lequel bon nombre trébuche aussi. Donc, je ne serai pas plus sévère avec Edward Norton qu'avec un autre.
    Francoise H.
    Francoise H.

    26 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 décembre 2019
    Assez déçue. Je me faisais une joie de voir le New York des années 60 mais un peu long pour pas grand chose. Très bons acteurs of course mais cela ne suffit pas. On se demande ce qu'apporte le syndrome de Gilles de la Tourette. Bonne musique jazzy mais pas plus que çà.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 décembre 2019
    Meilleurs films de 2019.
    Edward Norton est vraiment le meilleur acteur du monde et un réalisateur du feu de Dieu.
    spoiler: Bruce Willis meurt...
    Cool_92
    Cool_92

    289 abonnés 483 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 décembre 2019
    Un bon petit polar qui se laisse suivre agréablement. Edward Norton réussit son film: ambiance, réalisation, enquête, casting et message sont au rendez-vous. Et ça fait plaisir de retrouver ce genre au cinéma.

    Mais ce film a aussi des défauts:bcp trop long, des scènes inutiles pour nous enfumer mais malheureusement on comprend très vite qui est le méchant de l'histoire. Les rebondissements sont un peu clichés aussi: le héros qui se rend compte à la fin du film qu'il a mal regardé une photo ou qu'il porte sur lui un indice important c'est dépassé.

    Bref un bon film noir mais pas le grand film survendu sur les affiches. Il ne vaut pas le grand L.A. Confidential.
    Joce2012
    Joce2012

    208 abonnés 592 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 décembre 2019
    Très déçue par ce film, c'est confus et brouillon, on se demande ce que vient faire le syndrome de Gilles de la Tourette où l'acteur l'a que par moment et pas à d'autre selon comment ça arrange le scénario, c'est long et pas très intéressant. ...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 14 janvier 2020
    Edward Norton n’est pas étranger aux rôles de schizophrènes. À vrai dire, les personnages atteints de troubles mentaux correspondent même à la majeure partie de sa filmographie (Peur primale, Fight Club, American History X, L’incroyable Hulk, etc…). Il n’est donc pas étonnant de le voir endosser avec une facilité flagrante le rôle de Lionel Essrog, le protagoniste du roman Motherless Brooklyn de Jonathan Lethem. Personnage schizophrène dans le film, Edward Norton semble aussi l’être sur le plateau, endossant les rôles d’acteur, scénariste, réalisateur et producteur pour s’attaquer au genre très prisé du film noir.

    Si le film est la preuve d’un travail esthétique et scénaristique indéniable, il n’en demeure pas moins inégal. Le scénario devient rapidement laborieux et s’encombre de quelques répétitions. En voulant donner vie à un thriller complexe et malin, Norton se perd dans des complications peu nécessaires et qui donnent au film un rythme bancal. Si certains moments ennuient, d’autres captivent pourtant. La réalisation est intrigante et recherchée. Chaque plan est minutieusement mis en place et s’inscrit dans un hommage évident aussi bien à d’autres films noirs qu’à de grands peintres américains, notamment Hopper. Inspiration géniale qui permet réalisateur et à son directeur de la photographie Dick Pope de créer une ambiance esthétique reflétant parfaitement le New York des années 50. Malheureusement, à l’image de son scénario, la réalisation de Norton se retrouve parfois victime d’effets stylistiques un peu lourds. Ces séquences, même peu nombreuses, viennent dégrader ce travail sur le cadre et la recherche picturale en donnant à l’œuvre un caractère essentiellement disparate dans sa mise en scène. (lire la suite : https://cultureauxtrousses.com/2019/12/03/brooklyn-affairs/)
    Claudine G
    Claudine G

    207 abonnés 495 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 décembre 2019
    Edward Norton n'a pas son pareil pour nous entraîner dans un film noir, violent et machiavélique à souhait. Avec une pléiade de bons acteurs, il nous montre à quoi l'on peut s'attendre quand un homme plein de pouvoir est aux manettes. Quelques longueurs à déplorer, mais le scénario est conçu de telle sorte que l'on s'accroche tout de même à l'histoire. En fait Lionel et son syndrome de Gilles de la Tourette est un homme fidèle en amitié qui ne recule devant rien pour que la vérité explose. Quant à la fin, un peu trop prévisible.
    DanDan
    DanDan

    87 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2020
    Film noir de Edward Norton..quelque longueurs dans la narration. Les années 30 avec les voitures sont réalistes bien que neuves et brillantes. NY et Brooklyn sont décris avec précision par un NY lover. les seconds rôle de Bruce Willis , Willem Defoe, Alec Baldwin et Fisher Stevens sont super! Merci les copains de Mr Norton...mais le film est trop long et prévisible. Pas de surprises bonnes ou mauvaises. Du travail bien fait mais le film aurait été mieux avec plus de suspense et moins de bla bla pour nous amener à une conclusion prévisible. C'est dommage. Un petit mot Mr Norton est un démocrate et il n'aime pas Donald Trump car en la personne du méchant joue par Alec Baldwin on ne peut que penser encore une fois pas seulement que sur Saturday Night Live aux États Unis que Alec Baldwin est un méchant Donald. Bref ça aurait pu être mieux mais Edward Norton s'en sort quand même. un dernier mot sur les tocs du caractère joue par Norton..mais à quoi ils servent? À moins que je n'ai rien compris à l'histoire je ne vois pas l'intérêt sauf pour montrer le jeu d'acteur du directeur de Monsieur Edward Norton. Ed t'avais pas besoin on sait que tu es un bon acteur!!!!!
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