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    Brooklyn Affairs
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    Pauline R.
    Pauline R.

    7 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 décembre 2019
    Un bon film policier, une enquête qui tient en haleine tout du long, de très bons acteurs (chapeau bas à Edward Norton, excellent dans son rôle), un décor et des costumes très chouettes, qui nous ramènent dans le Brooklyn d'auparavant… J'ai passé un bon moment et le film remplit sa mission. Cependant, j'ai trouvé quelques éléments de l'intrigue un peu alambiqués et il manque un petit quelque chose pour que le film soit très bon à mes yeux...
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    365 abonnés 1 814 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 décembre 2019
    J’ai beaucoup aimé ce film policier. Je trouve qu’Edward Norton est un excellent acteur, et je suis ravi de voir que derrière la caméra il assure aussi. Son idée de mettre ce récit dans les années 50 est géniale. Si vous me suivez un peu, vous savez déjà que je suis fan de cette période. Elle a un cachet superbe. L’atmosphère est parfaitement retranscrite notamment grâce à des costumes authentiques et de super décors. Au-delà de la forme, le fond aussi est travaillé. L’enquête est vraiment prenante et bien menée. Elle a pas mal de retournement afin qu’on reste attentif. Je dois cependant dire que je suis un peu déçu de la chute et surtout que le rythme est peut-être trop intense. Durant 2h20 ça n’arrête pas, et par moments ce n’est pas facile d’emmagasiner non stop toutes les informations. Malgré cela, ça n’empêche pas d’être à fond dedans. Il faut dire que le casting joue beaucoup dans cette facilité à l’immersion. En plus de faire le film, Edward Norton tient l’affiche de manière remarquable. Son personnage a le syndrome de Gilles de la Tourette ce qui n’a pas dû être facile à jouer. Pourtant il le fait parfaitement, en mettant pile la bonne dose. Ses réactions entrainent par moments des petites séquences de rire apportant un brin de légèreté bienvenu. Pour l’accompagner, il y aura la rayonnante Gugu Mbatha-Raw que j’avais découverte dans MISS SLOANE. Et surtout les monuments que sont Alec Baldwin, Bruce Willis et Willem Dafoe, même si ce dernier m’a un peu déçu.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 354 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 décembre 2019
    Eh bah ça fait du bien.
    Ça fait du bien de sentir dès le générique d’un film qu’il va y a voir une patte, une atmosphère, un style aisément identifiables.
    Dans la musique comme dans les cadres, dans la rythmique comme dans l’utilisation si caractéristique de la voix-off, Edward Norton mobilise tout un imaginaire cinématographique, toute une histoire faite de codes et de références, qui font que ce film s’est tout de suite installé dans mon esprit.
    Dès la première minute, j’étais acquis à la cause.
    Je n’attendais plus qu’une seule chose : qu’on me dévoile ce qui allait faire le sel de ce « Brokklyn Affairs »…
    …ce qui allait lui donner son identité.

    Or, de l’identité, ce film en a. Incontestablement.
    Au-delà de sa mise en scène méticuleuse et parfois vraiment inspirée, Edward Norton a su construire son New-York à lui. Un New-York des années 50 qui rappelle le Chicago de « Party Girl », mais ce coup-ci en n’oubliant pas le caractère cosmopolite des métropoles américaines. Ainsi les cabarets sont-ils remplacés par des buis-buis de jazz, tout comme certains quartiers aujourd’hui gentrifiés retrouvent leurs couleurs d’antan.
    C’est une image à la fois familière et singulière qu’on nous propose là. Une image qui sait tirer parti d’un regard contemporain sur une époque révolue, mais sans pour autant travestir l’époque ni tomber dans un sombre moralisme anachronique.
    Autant dire que c’est autant de bons points dont ce « Brooklyn Affairs » peut se voir crédité.

    Seulement voilà, si ce film peut se vanter d’être élégant, maitrisé et bien mené, il est aussi quelque-peu prisonnier de ses propres intentions.
    Car au-delà de son univers, un film est aussi une intrigue, une démarche, un propos.
    Or, sur ces points, j’avoue que ce « Brooklyn Affairs » a su se faire efficace sans pour autant être capable de dépasser le simple exercice de style.
    Oui, l’intrigue est globalement bien ficelée, sachant ménager quelques bons rebondissements tout en parvenant à entretenir le mystère. Cependant, j’avoue avoir nourri un léger regret de constater qu’au final ce film se concluait sur une résolution tout ce qu’il y a de plus conventionnelle. Une intrigue qui, au fond, n’a pas grand-chose à part, peut-être, le fait que…
    spoiler: …eh bah que les grands capitalistes qui se croient tout permis sans respecter les gens et les institutions, bah c’est quand même pas très gentil quand on y réfléchit bien.


    Et puis il y a cet autre souci.
    Il y a le personnage de Lionel interprété par Edward Norton.
    Pas de problème sur l’interprétation en soi mais…
    …le syndrome de Gilles de la Tourette, c’était vraiment nécessaire ?

    Alors je me doute que cette caractéristique devait déjà être présente dans l’ouvrage dont ce film s’inspire. Peut-être même que dans le livre d’origine, ce syndrome prend du sens.
    Mais là, sur la toile, je ne lui en trouve aucun.
    Alors OK, je comprends l’idée qui consiste à égratigner le personnage afin qu’il soit dénigré de la même manière qu’on dénigre dans ce film les gens de peu. Mais autant je peux saisir l’intérêt de malmener Lionel par le verbe quand on lit une œuvre exclusivement constituée de mots, autant j’ai plus de mal à percevoir la pertinence de la chose une fois que celle-ci se retrouve transposée au cinéma.
    Lionel qui vrille en permanence, moi ça me perturbe, et je ne vois pas ce que le film y gagne.
    Pour le coup j’ai vraiment l’impression qu’Edward Norton a repris l’idée du livre sans oser l’adapter et ça me pose problème.
    Et ça me pose d’autant plus problème du fait que ce soit Edward Norton qui l’interprète.

    Parce qu’en effet, Edward Norton ce n’est pas n’importe qui.
    C’est une gueule et une identité dans le cinéma américain des années 2000, quoi qu’on en pense.
    Choisir un acteur pour INCARNER un personnage, ce n’est pas anodin. Ce n’est pas prendre de la matière neutre. Cette matière, elle a déjà été malaxée préalablement par d’autres films. Elle a une charge identitaire dont on peut jouer, dans un sens comme dans l’autre.
    Or, dans le cas de Lionel, je pense qu’on a affaire ici à un personnage beaucoup trop singulier pour qu’on puisse se risquer à prendre un acteur trop connu.
    Or, moi, quand j’ai vu Lionel à l’écran. Je n’ai vu un personnage qu’il fallait que je découvre. J’ai vu Edward Norton qui était en train de jouer un gars qui avait le syndrome de Gilles de la Tourette. J’ai vraiment eu du mal à passer le cap.
    Et ça, pour moi, ce fut un vrai problème.

    Mais bon, encore une fois, malgré ça, ce « Brooklyn Affairs » est pétri de bonnes qualités.
    A défaut de m’avoir bouleversé, il m’a fait passer un bon moment.
    Et franchement, je pense que c’est le genre de film que je pourrais revoir sans souci et avec plaisir.
    Donc merci Edward Norton.
    Voilà un début de carrière en tant que réalisateur qui a au moins le mérite d’être prometteur…

    Mais bon… Après ça ne reste que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    Puss D
    Puss D

    17 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 décembre 2019
    Dans Brooklyns affairs un détective enquête sur le meurtre de son chef et mentor qui lui a tout appris..on va de surprise en surprise et l'enquête révèle une série de faits inattendus certes mais nous fait surtout découvrir l'étendue du pouvoir avec bien entendu son côté si destructeur..le film est interprété par d'ecellents acteurs dont le réalisateur lui même dans le rôle du détective ..un film très prenant à voir absolument
    manuC51
    manuC51

    4 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 décembre 2019
    Une histoire insipide traitée de façon inutilement compliquée. Cela devient même pénible à suivre et quand on fini enfin par comprendre le dénouement. On ce dit qu'on a perdu sont temps. Les personnages sont caricaturaux : le handicapé génial, les méchants politiciens véreux, les bons blacks jazzmen, les gentils bigots de quartier...
    Dommage, on a toujours pas retrouvé la série noire qu'on aimait tant !
    Le Popcorn critique
    Le Popcorn critique

    15 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 décembre 2019
    Des acteurs super, surtout Edward Norton impressionnant dans ce rôle, des images et une ambiance des années 50 sublime. Mais pour ce qui est de l’histoire et de la gestion des rebondissements de ce policier, cela reste léger et très calculé.
    C’est dommage je pensait que ça aurait pu être un immense film, vu les acteurs présents et l’ambiance du film.
    Elisabeth G.
    Elisabeth G.

    185 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 décembre 2019
    Un polar noir parsemé d'humour aussi élégant qu'attachant malgré sa longueur un peu exagérée, sans doute à l'image de son réalisateur, Edward Norton.
    Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
    Rudy M
    Rudy M

    66 abonnés 910 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 décembre 2019
    Un film policier esthétique avec un fond sonore très classe ! Le rythme est peu élevé et pourra décevoir certains spectateurs . Pour le reste les acteurs sont très bons dont un edward Norton atteint du syndrome de gilles de la tourette qui est excellent .
    Un film qui divisera au niveau de l'opinion
    Arno M.
    Arno M.

    10 abonnés 295 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 décembre 2019
    Edward Norton signe un polar noir à l'ancienne à l’instar du cultisime LA CONFIDENTIAL. Dans l’Amérique d’après guerre, et sur une bande son jazzy, Lionel Essrog, détective privé souffrant du syndrome de Gilles de la Tourette, enquête sur le meurtre de son mentor et unique ami Frank Minna . Peu à peu il va découvrir des secrets spoiler: sur un entrepreneur peu scrupuleux.

    Toutefois, la durée du film, quasiment 2H30 est beaucoup trop importante. Le film aurait gagné à être plus court pour se resserrer sur l’intrigue.
    Ensuite, le héros atteins du syndrome de la Tourette peut paraître pour une bonne idée, mais devient vite répétitif à l’instar des « if » qu’il prononce à tours de bras.
    Travel S
    Travel S

    14 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 décembre 2019
    Avec BROOKLYN'S AFFAIRS, Edward Norton revient sur le devant de la scène, en tant qu'acteur mais également en tant que réalisateur.
    C'est donc sa seconde réalisation, presque 20 ans après AU NOM D'ANNA, sa première réalisation, sortie en 2000.

    La bande annonce de BROOKLYN'S AFFAIRS m'avait totalement captivé, mais le film est-il vraiment à la hauteur ?

    À mon sens, pas totalement, malheureusement.

    C'est un film plutôt réussi dans son ensemble et qui posséde de grandes qualités, comme ses personnages hyper intéressants (dont celui de Edward Norton), mais aussi dans ses décors et costumes, qui nous plongent dans les années 50, avec beaucoup de crédibilité.

    La photographie est elle aussi, très réussie.
    La bande originale colle parfaitement à l'ambiance du film.

    C'est également le retour de Bruce Willis à l'écran, qui à eu une bonne année, entre GLASS et cette oeuvre même si son temps de présence n'est pas très long, ça fait plaisir de le voir dans de belles oeuvres.

    Mais BROOKLYN'S AFFAIRS n'est pas aussi captivant que je le pensais, au niveau de son scénario, qui nous perd un peu, certains moments.

    Le milieu du film semble moins bien écrit et la tension se relâche un peu, malheureusement.

    Heureusement la dernière partie repart de plus belle et la fin est très réussie.

    Edward Norton parvient donc à réaliser une oeuvre réussie, malgré tout.

    Ce n'est pas l'oeuvre marquante que j'imaginais mais ça reste un beau métrage.

    C'est agréable de voir de tels acteurs, en tant que réalisateurs.

    Hâte de le revoir derrière la caméra, car on ressent son amour du 7ème Art.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 14 décembre 2019
    Un acteur épatant qui a bien appris le syndrome de Gilles de la Tourette dans sa forme caricaturale avec tics et coprolalie, doté d'une mémoire d'Asperger. Un polar de années 50 à NY avec de l'excellent jazz et des belles bagnoles. Une intrigue sur le thème classique mais bien traité du politique promoteur corrompu, et qui ne tombe dans les sempiternelles cascades de voitures et les flots d'hémoglobine : bref, un bon film distrayant.
    Laurette S
    Laurette S

    23 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 décembre 2019
    Pour moi la force de ce film tient principalement à sa beauté. Moi qui suis plutôt en général intéressée par le sujet, je dois dire qu'ilm'a paru presque secondaire pour une fois. On est suffisamment tenus en haleine par l'intrigue, même si au fond elle se révèle un peu sans intérêt, voire frisant l'incohérence. Mais elle permet surtout au cinéaste de nous proposer une évocation sublimée par l'image d'une époque éminemment esthétique, le New York des années 50, tout en clair obscur, sur fond de musique de jazz. Certains plans sont réellement magiques, conçus comme des tableaux de Hopper, pour les intérieurs et cadrés avec maestria et poésie pour les extérieurs. Les acteurs sont tous d'une grande présence eux aussi, dessinés avec précision et empathie. Mention spéciale pour Edward Norton, très touchant dans ce personnage affligé de l'epouvantable maladie de Tourrette, animé par un profond sentiment de fidélité et de gratitude à l'ami perdu, noble malgré cette apparence parfois grotesque que lui confère son handicap.Le film en outre évite l'écueil du manichéisme :même le " méchant "politicien obtient le droit de défendre une thèse qui n'est malheureusement pas dénuée de tout fondement.
    garnierix
    garnierix

    236 abonnés 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 décembre 2019
    Il y a une atmosphère de Gotham City dans ce film noir où l’on s’attend à voir surgir Batman (ambiance, images, grisaille, bagnoles, chapeaux et manteaux). Mais le gentil c’est Edward Norton et le méchant c’est Alec Baldwin ––excellente répartition des rôles ! Synopsis : un détective privé enquête sur la mort de son ami dans le New York d’après-guerre. Futé qui comprendra l’histoire dans ses détails et studieux qui écoutera la voix off du début à la fin sans faillir, car ceci, cela et quelques longueurs peuvent agacer, mais ce n’est pas grave. En effet, l’intérêt est ailleurs. Ça se bat à l’intérieur du cerveau du gentil ––il y en a un morceau qui est complètement anarchique, d’où un rôle de composition extraordinaire et attendrissant, parce que son air bête ne l’empêche pas d’être très malin. Par contre, ça ne se bat pas à l’intérieur du cerveau du méchant ––il est tout d’un bloc taillé dans le mal (le mal moderne évidemment, il faut bien qu’il y ait des échos modernes et réels à quoi faire penser, comme la fausse démocratie qui s’habille en vraie démocratie). Pour ceux qui aiment le jazz, l’intérêt est aussi dans le rôle que tient cette musique dans l’affaire ––à tel point que ceux qui détestent le jazz feraient mieux de ne pas aller voir le film. On découvre enfin que le réalisateur (et scénariste) est Edward Norton lui-même et c’est singulièrement bluffant car le film est original et difficile. Mais l’acteur l’emporte quand même et de loin sur l’auteur ––performance pour faire l’éloge d’une différence. A.G.
    Mirobole Pancrate
    Mirobole Pancrate

    38 abonnés 243 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 décembre 2019
    Pas vraiment désagréable mais trop propre et assez vain. Norton s'est appliqué à l'excès et rend une copie lisse et au fond peu intéressante. Belle performance d'acteur néanmoins.
    Vicktor F
    Vicktor F

    24 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 décembre 2019
    Un peu comme Spotlight tout ceci est très bien mais c'est long, terriblement ennuyeux et c'est bien dommage!
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