Mon compte
    Brooklyn Affairs
    Note moyenne
    3,7
    7504 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Brooklyn Affairs ?

    344 critiques spectateurs

    5
    24 critiques
    4
    114 critiques
    3
    128 critiques
    2
    47 critiques
    1
    19 critiques
    0
    12 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Lecter_H
    Lecter_H

    202 abonnés 865 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 janvier 2020
    Un bon policier old school qui se passe dans les années 50. Toute la force du film est basée sur le jeu d'acteur qui frôle la perfection (surtout Edward Norton). L'ambiance du vieux New York est aussi admirablement rendue à l'écran grâce à des décors et une photographie parfaitement maîtrisés. La musique des club de Jazz est aussi très présente et donne du coeur au film. Et enfin, l'histoire policière très complexe mais remarquable confondue avec des bons sentiments, riche en émotion et en intensité et nappée d'une très belle histoire d'amour font de ce film une petite pépite à ne pas rater,
    FlecheDeFer ..
    FlecheDeFer ..

    47 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2020
    Avec ce genre de films encensés par la critique avant même leur sortie, c'est toujours un peu quitte ou double. Parfois ça le vaut, souvent non. Ici, le film polarise visiblement pas mal les opinions et j'étais curieux de me faire la mienne. Au final c'est très bien, peut-être pas assez noir pour du film noir, sans doute un poil trop confus à pas mal de moments, mais une vraie ambiance et un vrai casting de premier plan qui fait plus que le job, Norton en tête évidemment. Le film se permet aussi d'être intelligent, avec une seconde lecture assez subtile (mais clairement suggérée à un moment par l'un des personnages) entre Mo Randolph et les USA post-WWII ainsi qu'une mise en abîme du débat qui suivra au cours des années suivantes dans le pays entre le pouvoir des idéaux et celui de la force brute, cette dernière prenant le pas sur une vision bienveillante de la puissance au cours de la seconde partie du 20ème siècle. Un film parfaitement maîtrisé au final, même si tout ceci manque quand même d'une chose, et c'est dommage: de l'originalité.
    Aurélie A
    Aurélie A

    13 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 janvier 2020
    Histoire sympa même si bcq de longueur sur beaucoup de passage
    Distribution sympathique et bien orchestré par EDWARD NORTON
    Qui pour ce film a fais un performance incroyable et bec tous ces tocs
    Kubrock68
    Kubrock68

    42 abonnés 1 274 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 janvier 2020
    Un enquêteur atteint du syndrome de gilles de la tourette s'intéresse à un promoteur immobilier. Le film de facture classique se laisse suivre comme un film noir à l'ancienne. Les personnages sont bien dessinés et interprétés et aucun n'est décrit de manière manichéenne. Le message social sous-jacent est lisible mais pas plombant, ce n'est pas du cinéma militant lourdingue. Le film est certes long, mais je n'ai pas sentie de longueurs. La scène dans le club avec celui qui pourrait être Miles Davis est formidable. A voir.
    Rébecca Obadia
    Rébecca Obadia

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 janvier 2020
    De la musique à l'image en passant par le jeu d'acteurs, ce film est une vraie poésie avec une fin très inattendue !
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    325 abonnés 2 999 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 janvier 2020
    Des scènes qui s'éternisent, de longs dialogues pour un récit chaotique dans lequel on entre ou pas. Reste une belle reconstitution du NY et de son atmosphère sombre et jazzy des années 50. E. Norton adapte avec talent cette nouvelle sur la forme mais que le temps est long!
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    702 abonnés 3 053 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 janvier 2020
    Motherless Brooklyn est un grand film sur la propension de la musique à accompagner et à redoubler la souffrance d’une ville, d’un État, d’un pays ici tout entière incarnée dans le corps du personnage de Lionel Essrog. Car le jazz rejoue sur le plan de l’art le conflit intérieur qui handicape le détective : comme lui, il s’efforce de garder le contrôle sur l’harmonie par une domestication sans cesse répétée des autres instruments bien décidés à suivre et imposer leur partition, de la même manière que Lionel doit cohabiter avec un anarchiste mental dont les velléités indépendantistes aussitôt exprimées doivent être canalisées. Or, cette brillante métaphore et du jazz et de la maladie trouve dans la peinture que Norton brosse des quartiers défavorisés de Brooklyn un propos, une résonance atemporelle quoique fortement ancrée dans nos thématiques actuelles : la corruption est traitée par le prisme du pathologique, elle atteint profondément les êtres et meurtrit leurs chairs – voire à ce titre les cicatrices qui entaillent nombre de visages ou de corps –, dans cette idée que le dérèglement ainsi enduré résulte du bannissement de la figure maternelle. En creux, une dénonciation à charge des travers du pouvoir, vus par la lorgnette du féminisme actuel et du socialisme démocratique, ce qui apporte un regard neuf et pertinent sur le genre ici investi, à savoir le polar. Le personnage de Laura Rose occupe une fonction dramatique fondamentale : c’est lui qui fait prendre conscience au héros de la facticité de ses idoles et de l’importance du combat social en vue de rétablir un semblant d’égalité, en vue de retrouver l’harmonie. Dit autrement, le film met en scène un transfert d’autorité doublé d’une renaissance à soi : Lionel conquiert son autonomie en reconnaissant la faillibilité de son faux dieu ; raccordé à la femme, il voit sa pathologie se transformer en voix intérieure subitement projetée dans le dehors, garantie de son intégrité et de la sincérité de son amour. Les protagonistes sont des orphelins ramassés dans la rue par un père de substitution qui leur a enseigné l’adoration de tout ce qui constitue l’ethos de la virilité la plus basse et bête. C’est ce code d’honneur que le réalisateur s’amuse à désacraliser en recourant à l’humour : là où la loi du secret devrait régner se tient un enquêteur incapable de maîtriser ses flots de parole, débitant à tout bout de champs des insultes ou des vérités mal tombées. En résulte des scènes assez drôle, sans que l’humour ne vienne miner le sérieux qui enveloppe l’ensemble du long-métrage. Un peu trop long, ce long-métrage d’ailleurs, qui atteste des baisses de régime encadrées par une ouverture et une clausule magistrales et compensées par une photographie sublime, preuve qu’Edward Norton, s’il est un acteur confirmé, est un réalisateur à suivre.
    Blacksnail78
    Blacksnail78

    4 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 janvier 2020
    Film long et ennuyeux ! Ed Norton est un acteur remarquable de là à passer derrière la caméra ... Il faut être armé d'un scénario moins confus. N'est pas Robert Redford qui veut !
    Ungeduld
    Ungeduld

    15 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 janvier 2020
    J'ai un peu de mal à comprendre les critiques dithyrambiques de ce film. Sans être dénué de qualités - belle photographie, acteurs excellents, reconstitution d'époque réussie -, le scénario alambiqué, non dénué de raccourcis, de naïveté et de maladresses, le manque de rythme d'un récit qui s'étire inutilement, empêchent de vraiment adhérer au film.

    Difficile de ne pas décrocher. Le film ne parvient jamais à vraiment lever, et se termine plutôt platement. On a envie de se dire, quand ça se termine: tout ça pour ça?
    Josette Marie-Madeleine P
    Josette Marie-Madeleine P

    12 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 janvier 2020
    Si l'inconscient est structuré comme un langage, le syndrome Gilles de la Tourette manifesté par Lionel Essrog ( alias Edward Norton) nous livre avec une virtuosité musicale ( paroles de Trumpet man à l'appui...) les mécanismes d'associations phono-sémantiques présidant aux soutènements de cet inconscient, exhibant du même coup l'écheveau d'intrigues emboîtées, les entrelacs des luttes sanglantes pour le pouvoir, le droit du sol, le droit du sang, le prix accordé ou payé au désir par les puissants dont Moses Randolph est l'archétype stéréotypé... Et apothéose idéaliste un peu manichéenne , en énigme filée tout au long de ce film noir américain qui ne déroge en rien à la facture du genre, au sein de ces Brooklyn affairs des fifties, énigme tenue par Paul, le bon Randolph, frère du méchant "monstre sociétal" , Moses... le triomphe de l'Amour qui déjoue les mascarades et falsifications légales, fil principal de l'excellente intrigue, triomphe de l'Amour de Laura Rose pour la touchante fragilité de Lionel et vice versa, l'acceptation sublimée de l'avatar...Le film noir s'est mué en conte de fées de par cette "solution" qui a su convoquer toutes les capacités cognitives du spectateur au long de cette féerie de l'image et de la très jazzy bande son, à l'ombre du Pont de Brooklyn . Vraiment SUPERBE à tous égards !
    CineCyp
    CineCyp

    15 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 janvier 2020
    Edward Norton signe un polar passionnant dans le New York des années 50, qui devant et derrière la caméra, s'offre le rôle d'un personnage touchant malgré lui, embarqué au coeur d'un complot passionnant. Un peu trop lisse mais prenant de bout en bout.
    "Brooklyn Affairs" est un polar comme on en voit que trop peu ces dernières années...
    AZZZO
    AZZZO

    306 abonnés 814 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 janvier 2020
    Edward Norton a réalisé un excellent film de genre. Tous les codes du vieux policier new-yorkais sont respectés, l'intrigue est simple mais bien tenue et les personnages sont bien campés. Un très bon moment de cinéma.
    montecristo59
    montecristo59

    40 abonnés 288 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 janvier 2020
    E.Norton nous sert un polar classique brillant, une réussite à bien des points de vue : la forme, le fond, l'ambiance, tout y est !
    La forme d'abord, qui soigne les lumières, les décors luxueux autant que glauques, les costumes avec stetsons et les belles bagnoles d'un New-York des fifties, où le jazz classique prenait aux tripes mais où la ségrégation battait son plein... Le fond ensuite, avec une intrigue complexe à base de corruption dans le monde de l'immobilier, où les puissants cyniques n'hésitent pas à lâcher des tueurs aux trousses des fouineurs pour pouvoir continuer à se prétendre respectables... L'ambiance enfin, sombre à souhait, qu'aurait pu signer Dashiell Hammet ou Raymond Chandler, bien soulignée par une bande son parfaitement raccord... Mais le vrai plus de ce petit bijou, c'est la prestation époustouflante de Norton, qui réussit à rendre crédible son personnage poignant, bourré de tics, éructant ses jurons en s'excusant auprès des dames, nous arrachant des rires quand on devrait seulement frémir, tout ça sans en faire trop, sans jamais nous lasser, et en nous livrant peu à peu la richesse intérieure d'un guignol malgré lui, détective triste surdoué, homme ordinaire d'exception. Quelle performance !
    FaRem
    FaRem

    8 770 abonnés 9 626 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 janvier 2020
    "Motherless Brooklyn" est le deuxième en tant que réalisateur d'Edward Norton après "Keeping the Faith" sorti il y a quasiment 20 ans. Pour son retour derrière la caméra, il adapte le roman du même nom qui est connu sous celui de "Les Orphelins de Brooklyn" en France. Une adaptation dans tous les sens du terme puisqu'il a modifié certaines choses comme l'histoire qui n'est pas exactement la même ou encore l'époque puisque le film se déroule dans les années 50 alors que c'était dans les années 90 dans le livre. Une façon de s'approprier cette oeuvre. "Motherless Brooklyn" est un film noir, un polar fidèle au genre puisque Edward Norton n'oublie rien. L’histoire, le rythme, la voix off, la photographie, l’ambiance, les décors, les costumes, tout y est sans exception. Ce dernier incarne Lionel Essrog, un détective privé souffrant du syndrome de Gilles de la Tourette qui enquête sur le meurtre de son patron qui était également son seul proche depuis qu'il l'avait pris sous son aile quand il était petit. L'enquête souffre d'un manque de rythme et parait brouillonne par moment, mais elle se laisse suivre avec attention. Le casting y est pour beaucoup et chaque acteur est vraiment convaincant. Le film est un peu trop long pour ce qu'il a à proposer, mais il a l'avantage de monter doucement en puissance après une première partie un peu poussive. J'ai commencé à vraiment apprécier le film à partir du moment où le personnage de Laura Rose gagne en importance. Elle ne rend pas l'intrigue exceptionnelle, mais l'effet qu'elle a sur Lionel est intéressant. Alors qu'il parait un bébête au tout début et qu'il fait rire bien malgré lui avec son handicap, il devient plus confiant et attachant au contact de la jeune femme. J'ai aimé les personnages, l'ambiance même si elle aurait pu être plus sombre ainsi que la photographie par contre l'histoire aurait gagné à être plus dense et soutenue. Comme je l'ai dit, le film n'est jamais ennuyeux, surtout une fois lancé, mais l'histoire n'a vraiment rien d'exceptionnel et les rebondissements sont pour la plupart prévisibles. Au final, c'est pas mal bien que le film aurait été mieux en étant plus court.
    Justine V
    Justine V

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 janvier 2020
    Magnifique jeu d'acteur pour Edward Norton, la musique est très belle, certes l'histoire du film n'est pas incroyable. Mais j'ai adoré l'ambiance qui règne dans Brooklyn Affairs :)
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top