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    Brooklyn Affairs
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    3,7
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    344 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 décembre 2019
    Une grande performance d'acteur pour Edward Norton dans ce film qui reprend les thèmes des polars des années Cinquante. On est pris dans l'histoire même si parfois c'est un peu trop bavard. Mais dire que le film, c'est la pub, est du genre L.A. Confidential, c'est moins sûr. Finalement c'est un film qui se laisse voir avec plaisir.
    Cool_92
    Cool_92

    286 abonnés 476 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 décembre 2019
    Un bon petit polar qui se laisse suivre agréablement. Edward Norton réussit son film: ambiance, réalisation, enquête, casting et message sont au rendez-vous. Et ça fait plaisir de retrouver ce genre au cinéma.

    Mais ce film a aussi des défauts:bcp trop long, des scènes inutiles pour nous enfumer mais malheureusement on comprend très vite qui est le méchant de l'histoire. Les rebondissements sont un peu clichés aussi: le héros qui se rend compte à la fin du film qu'il a mal regardé une photo ou qu'il porte sur lui un indice important c'est dépassé.

    Bref un bon film noir mais pas le grand film survendu sur les affiches. Il ne vaut pas le grand L.A. Confidential.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 14 janvier 2020
    Edward Norton n’est pas étranger aux rôles de schizophrènes. À vrai dire, les personnages atteints de troubles mentaux correspondent même à la majeure partie de sa filmographie (Peur primale, Fight Club, American History X, L’incroyable Hulk, etc…). Il n’est donc pas étonnant de le voir endosser avec une facilité flagrante le rôle de Lionel Essrog, le protagoniste du roman Motherless Brooklyn de Jonathan Lethem. Personnage schizophrène dans le film, Edward Norton semble aussi l’être sur le plateau, endossant les rôles d’acteur, scénariste, réalisateur et producteur pour s’attaquer au genre très prisé du film noir.

    Si le film est la preuve d’un travail esthétique et scénaristique indéniable, il n’en demeure pas moins inégal. Le scénario devient rapidement laborieux et s’encombre de quelques répétitions. En voulant donner vie à un thriller complexe et malin, Norton se perd dans des complications peu nécessaires et qui donnent au film un rythme bancal. Si certains moments ennuient, d’autres captivent pourtant. La réalisation est intrigante et recherchée. Chaque plan est minutieusement mis en place et s’inscrit dans un hommage évident aussi bien à d’autres films noirs qu’à de grands peintres américains, notamment Hopper. Inspiration géniale qui permet réalisateur et à son directeur de la photographie Dick Pope de créer une ambiance esthétique reflétant parfaitement le New York des années 50. Malheureusement, à l’image de son scénario, la réalisation de Norton se retrouve parfois victime d’effets stylistiques un peu lourds. Ces séquences, même peu nombreuses, viennent dégrader ce travail sur le cadre et la recherche picturale en donnant à l’œuvre un caractère essentiellement disparate dans sa mise en scène. (lire la suite : https://cultureauxtrousses.com/2019/12/03/brooklyn-affairs/)
    FaRem
    FaRem

    8 657 abonnés 9 533 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 janvier 2020
    "Motherless Brooklyn" est le deuxième en tant que réalisateur d'Edward Norton après "Keeping the Faith" sorti il y a quasiment 20 ans. Pour son retour derrière la caméra, il adapte le roman du même nom qui est connu sous celui de "Les Orphelins de Brooklyn" en France. Une adaptation dans tous les sens du terme puisqu'il a modifié certaines choses comme l'histoire qui n'est pas exactement la même ou encore l'époque puisque le film se déroule dans les années 50 alors que c'était dans les années 90 dans le livre. Une façon de s'approprier cette oeuvre. "Motherless Brooklyn" est un film noir, un polar fidèle au genre puisque Edward Norton n'oublie rien. L’histoire, le rythme, la voix off, la photographie, l’ambiance, les décors, les costumes, tout y est sans exception. Ce dernier incarne Lionel Essrog, un détective privé souffrant du syndrome de Gilles de la Tourette qui enquête sur le meurtre de son patron qui était également son seul proche depuis qu'il l'avait pris sous son aile quand il était petit. L'enquête souffre d'un manque de rythme et parait brouillonne par moment, mais elle se laisse suivre avec attention. Le casting y est pour beaucoup et chaque acteur est vraiment convaincant. Le film est un peu trop long pour ce qu'il a à proposer, mais il a l'avantage de monter doucement en puissance après une première partie un peu poussive. J'ai commencé à vraiment apprécier le film à partir du moment où le personnage de Laura Rose gagne en importance. Elle ne rend pas l'intrigue exceptionnelle, mais l'effet qu'elle a sur Lionel est intéressant. Alors qu'il parait un bébête au tout début et qu'il fait rire bien malgré lui avec son handicap, il devient plus confiant et attachant au contact de la jeune femme. J'ai aimé les personnages, l'ambiance même si elle aurait pu être plus sombre ainsi que la photographie par contre l'histoire aurait gagné à être plus dense et soutenue. Comme je l'ai dit, le film n'est jamais ennuyeux, surtout une fois lancé, mais l'histoire n'a vraiment rien d'exceptionnel et les rebondissements sont pour la plupart prévisibles. Au final, c'est pas mal bien que le film aurait été mieux en étant plus court.
    selenie
    selenie

    6 250 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2019
    Si la reconstitution est effectivement soignée, avec une belle mise en avant de l'ambiance jazz le film reste trop soigné, c'est-à-dire pas assez noir, pas assez sale dans le sens premier du terme, tout y est beaucoup trop propre jusque dans les quartiers les plus défavorisés. On ne sent pas la misère ni la violence, tout y est trop sage. Malgré tout on plonge dans cet univers mystérieux qui rappelle la belle époque des Phillip Marlowe et Mike Hammer avec une intrigue parfaitement ficelée et un suspense qui tient la dragée même si on a connu mieux. Mais malheureusement, arriver au dénouement on se dit tout ça pour ça ! Un bon moment mais qui sera vite oublié face aux chefs d'oeuvres du genre.
    Site : Selenie
    AMCHI
    AMCHI

    5 814 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 janvier 2020
    En règle générale j'évite si possible de regarder les B.A. mais je suis tombé par hasard sur celle de Brooklyn Affairs qui m'a donné de suite envie de découvrir ce film qui s'avère être un bon polar néo-noir.
    Finalement ce n'est pas un film immense mais tout à fait plaisant dans son genre et vraiment prenant car l'une intrigue est dense, l'interprétation est de qualité, Edward Norton est attachant dans la peau de ce détective malin mais que tout le monde néglige un peu à cause de ses problèmes (il souffre du syndrome de la Tourette) et il est entouré d'un excellent casting.
    Il est aussi le réalisateur et le scénariste de Brooklyn Affairs et sa mise en scène est sans doute trop classique et vu mes goûts personnels j'aurais souhaité aussi un rythme plus tendu.
    Cependant les près de 2h30 de ce polar ne sont jamais ennuyeuses, il y a bien des petits longueurs par-ci par-là mais l'intrigue est passionnante bien qu'elle joue sur des ressorts déjà vus dans ce type de cinéma, l'ambiance et le reconstitution de l'époque (année 1950) fonctionnent parfaitement.
    Brooklyn Affairs n'est certainement pas un film extraordinaire mais le temps qu'il dure il nous entraîne vraiment dedans.
    Eselce
    Eselce

    1 395 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 septembre 2020
    Un pollar qui se suit tranquillement autour d'un meurtre. J'ai apprécié la première intrigue, moins l'effet "on tourne en rond" qui allonge le film et survole plusieurs éléments pour se consacrer à des détails sans importance. Ed Norton reprend son rôle de déréglé du cerveau pour donner un plus à son personnage, sans que cela ne soit réellement nécessaire. Le meilleur rôle va à Alec Baldwin qu'il est regrettable de ne pas voir aller plus loin dans son rôle. Personnellement, je suis resté sur ma faim. Le final m'a beaucoup déçu tant il prend de raccourci visuel...
    velocio
    velocio

    1 304 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 décembre 2019
    Pour son 2ème long métrage en tant que réalisateur, près de 20 ans après le premier, l'acteur Edward Norton s'est lancé dans le film noir et il s'est attribué le rôle principal. Celui d'un privé qui veut arriver à trouver qui a tué Frank Minna, le patron de l'agence de détectives dans laquelle il travaille, un homme auquel il doit beaucoup, lui qui s'était retrouvé orphelin dès son plus jeune âge (Le titre original du film est d'ailleurs "Motherless Brooklyn"). Ce film fait l'objet d'une belle reconstitution du New-York dans les années 50, avec, en particulier, ses nombreux clubs de jazz, ce qui permet d'ailleurs d'entendre de belles prestations de Wynton Marsalis à la trompette. Très astucieusement, le réalisateur, scénariste et acteur a décidé de s'affubler du syndrome Gilles de la Tourette, ce qui, il faut l'avouer, donne naissance à quelques bonnes tranches de rire. Certes, le film est un poil trop long, il y a même, au tiers du film, un petit moment où on a un peu tendance à s'ennuyer, mais, globalement, cette plongée dans le film noir à l'ancienne est plutôt réussi. D'autant plus que, sans y toucher, il nous parle intelligemment de politique et de sociologie, des dégâts causés par certains entrepreneurs immobiliers, du manque de considération pour la population afro-américaine. D'autant plus que la distribution est de très haut de gamme, avec Bruce Willis, Alec Baldwin, Willem Dafoe et le très beau couple qui, petit à petit, prend naissance : Edward Norton et Gugu Mbatha-Raw. Quant à la musique, importante dans le film, elle est l'oeuvre de Daniel Pemberton, avec également des chansons écrites par Thom Yorke, le leader de Radiohead.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 151 abonnés 5 135 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 septembre 2023
    J'ai bien aimé ce film à l'ancienne. Une sorte d'hommage réussi des films noirs américains avec H. Bogart.
    Les images sont très réalistes de ces années 30 et même si l'enquête est parfois alambiquée, on s'amuse à suivre le héros se perdre dans la ville.
    Redzing
    Redzing

    1 118 abonnés 4 470 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 octobre 2020
    Acteur reconnu, Edward Norton passe aussi très occasionnellement derrière la caméra, puisqu'il s'agit ici de sa deuxième réalisation en 20 ans ! Il nous livre là un film néo-noir qui reprend sur le papier les ingrédients classiques du genre : un meurtre introductif, une intrigue urbaine dans les 50's autour de magouilles immobilières, de puissants et dangereux magnats, de la corruption, un détective privé déterminé qui va en prendre plein la figure, une femme au cœur de l'histoire... La différence est que visuellement, on est dans une reconstitution soignée mais épurée des 50's (exit le noir et blanc ou les ombres sinistres). Originalité du scénario : le protagoniste, doté d'une grande mémoire, est également atteint du syndrome de la Tourette, qui plus est à une époque où il est méconnu du grand public. Sa capacité à retenir de nombreux détails lui sera évidemment d'un grand secours dans son métier, en revanche ses tics verbaux et gestuels le plomberont souvent quand il s'agit de tirer les vers du nez à des témoins ! Edward Norton campe de manière convaincante ce protagoniste plutôt bien écrit, qui n'est pas résumé à son handicap, même si celui-ci prend de la place dans le scénario. Norton est secondé par de très bons acteurs (Alec Baldwin, Willem Dafoe... même Bruce Willis qui semble motivé !). Tandis que l'intrigue, parfois un peu lente et sans grand surprise, est tout de même intéressante. Au final, "Motherless Brooklyn" ne révolutionne pas le genre mais s'avère agréable à suivre.
    Christoblog
    Christoblog

    828 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 décembre 2019
    Joli polar à l'ancienne dans tous les sens du terme (les années 50 filmées avec un style des années 50), Brooklyn affairs réjouit par son côté modeste et sage.

    Edward Norton est un peu à l'image de son film : pas vraiment charismatique, naviguant à tâtons dans une histoire plus complexe qu'il n'y paraît, bégayant et indécis, mais parvenant finalement à ses fins.

    Alors, s'il y a des longueurs, on les pardonne, car le film donne aussi à voir en direct les rouages d'une réflexion parfois un peu poussive, mais réaliste. J'ai beaucoup aimé le casting irréprochable (à commencer par un Alec Baldwin impressionnant et un Michael K. Williams très charismatique en trompettiste).

    Bref, un parfait film de vacances de Noël, qui laisse filtrer en sourdine une petite ambiguïté parfaitement américaine (le droit de réussir permet-il de s'affranchir des lois ?).
    tixou0
    tixou0

    700 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 janvier 2020
    Edward Norton, presque 20 ans après "Au nom d'Anna", revient à la réalisation (tout en étant aussi scénariste-adaptateur, producteur, et l'acteur majeur), avec ce "Motherless Brooklyn" ("traduit" en "Brooklyn Affairs" pour la sortie française - ce qui dénature grandement le sujet traité - on y reviendra).
    Le "héros" de l'histoire a, a priori, tout d'un antihéros, affligé qu'il est depuis l'enfance d'un grave handicap : le syndrome de Gilles de La Tourette ("Tourette's", en anglais), qui se traduit par des tics faciaux, voire verbaux, et force TOC.
    Mais "Lionel Essrog" est également hypermnésique, et fort intelligent. Atouts qui ne pourront que le servir dans l'enquête qu'il mène quand meurt son protecteur, le "privé" Frank Minna (Bruce Willis). Il trouve très vite sur sa route un personnage aussi puissant qu'antipathique, le promoteur et politicien véreux Moses Randolph (Alec Baldwin), dans le sillage duquel il y a le frère de celui-ci, en pleine déchéance ("Paul", alias Willem Dafoe), et une séduisante métisse, "Laura Rose".
    Si la scène (on est en 1955 - reconstitution historique pointilleuse) est pour partie à Brooklyn, d'autres quartiers de N-Y sont évoqués, et même le théâtre d'une partie de la dramaturgie - pour Harlem. Il ne s'agit donc pas de (vilaines) affaires à Brooklyn, mais de la quête d'un garçon sans père, et orphelin de mère, tiré en son temps (avec trois autres gamins) d'une institution peu bienveillante de ce "borough" - Frank Minna ayant pris l'habitude d'appeler celui qui était devenu un de ses hommes à tout faire, "Brooklyn" (quand tout le monde a plutôt tendance à l'appeler "freak"). L'intrigue est passablement embrouillée, et se perd dans pas mal de détails, et (faux) rebondissements - il y a au moins 20 à 30 minutes qui auraient pu, avec profit pour le rythme général, sauter au montage. Et l'atout majeur du film est son interprète principal ! EN ne pourra être dans la "short list " au titre de "Meilleur acteur" aux Oscars 2020, puisque son nom n'est même pas dans celle la précédant - au moment où j'écris. Ce qui me semble injuste, car sa prestation (ingrate) est vraiment réussie...
    Ti Nou
    Ti Nou

    496 abonnés 3 495 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 juillet 2021
    Pour son premier long métrage, Edward Norton a l’envie de bien faire. Peut-être trop d’ailleurs. Et sa tendance à trop vouloir en faire, que ce soit devant ou derrière la caméra, finit par nuire au film qui semble mendier les récompenses.
    Hotinhere
    Hotinhere

    553 abonnés 4 961 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 février 2021
    Ecrit, réalisé et interprété par Edward Norton, un bel hommage aux polars noirs de la grande époque, visiblement soigné et orchestré par un jazz lancinant, mais desservi par un récit assez alambiqué et un peu trop bavard qui accouche d’une souris.
    norman06
    norman06

    346 abonnés 1 664 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 décembre 2019
    Agréable film noir à l'ancienne. Rien de transcendant et des longueurs mais le récit policier se suit sans ennui malgré le jeu outré d'Edward Norton acteur.
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