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    Brooklyn Affairs
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    sissy F
    sissy F

    4 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 décembre 2019
    film ennuyeux a mourir; personnages caricaturaux, pas credible, vu 100 fois.
    Le seul interet c est que c est tres joliment filmé
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 décembre 2019
    On est plongé dans la Old New York réincarnée. Bruce Willis revient en forme! Ed Norton est toujours fascinant. Alec Baldwin joue un tour de force. Tous les acteurs sont spectaculaires. Faites attention en particulier Gugu Mbatha-Raw.
    ffred
    ffred

    1 695 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 décembre 2019
    Deuxième film en tant que réalisateur pour l'acteur Edward Norton presque vingt ans après Au nom d'Anna (qui m'a laissé peu de souvenirs). Voilà un polar (sur fond social très fort) plutôt classe, bien joué et bien réalisé. Mais on est tout de même loin de L.A. Confidential auquel la promotion fait référence. Une mise en scène soignée et élégante, peut-être un peu trop sage pour des personnes bien écrits interprétés par une brochette d'acteurs chevronnés. Edward Norton en tête. Si le personnage est un peu agaçant au début, on s'y attache finalement très vite. Bruce Willis, Willem Dafoe, Alec Baldwin ou encore Bobby Cannavale sont impeccables. Ils sont avantageusement accompagnée par la belle Gugu Mbatha-Raw (aperçue dans Miss Sloane, Jupiter ou The Cloverfield Paradox), une belle révélation. Techniquement c'est superbe. La reconstitution du New York des années cinquante est minutieuse. Les image sont superbes et la bande-son jazzy réjouissante. Au final 2h25 (jamais ennuyeuses) d'une intrigue prenante, parfois un peu alambiquée (il ne faut pas décrocher), et agréable, pour un film noir aussi classique sur la forme que sur le fond mais qui nous fait passer un bon moment. Bref, une jolie réussite.
    andika
    andika

    106 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 janvier 2020
    Brooklyn Affairs se présente comme un polar du genre L.A Confidential mais ce n'est pas cela. Le titre original est Motherless Brooklyn, ce qu'on pourrit traduire par l'orphelin Brooklyn, ce qui est le surnom du personnage principal incarné par Edward Norton. Il est également réalisateur et scénariste et plus le temps passe, plus on se rend compte que ce qui l’intéresse dans cette histoire, ce sont ses personnages. Et sur ce plan, on peut dire qu'il atteint tous ses objectifs tant il parvient à les développer.

    Sur fond de scandale politico-financier, on se retrouve avec une histoire où le destin de plusieurs personnes se mélange. Dans une intrigue complexe, aux multiples ramifications, on découvre un dénouement assez simple et loin des enjeux qu'on imaginait. Mais plus que l'attente du spectateur, cette résolution répond à ce qui se passe dans le film, où ce qui importe, c'est ce que ressentent les personnages.

    Dans cette belle reconstitution d'un New York d'après guerre, avec une ambiance jazzy au possible, avec une mise en scène soignée, Norton permet au spectateur de s'immerger dans son histoire et de s'attacher aux différents personnages qui la peuplent. Surtout le personnage principal incarné par Edward Norton et qui semble être atteint du syndrome Gilles de la Tourette. Et qu'il est drôle de voir Alec Baldwin en avatar de Donald Trump dans cette histoire !
    Jorik V
    Jorik V

    1 268 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 décembre 2019
    Pour sa seconde réalisation, Edward Norton change de registre et passe de la comédie romantique haut de gamme (« Au nom d’Anna ») au polar rétro avec « Brooklyn Affairs ». Un film classique et conforme aux canons du genre auquel un ingrédient inédit et risqué donne toute sa saveur. En effet, le personnage principal, incarné par l’acteur lui-même, est atteint du syndrome de Gilles de la Tourette. Ce gimmick de scénario est un parti pris à haut risque. Il aurait pu menacer à tout moment de faire sombrer ce film à l’histoire et l’atmosphère hautement sérieuses dans le ridicule ou la gaudriole s’il n’avait pas été savamment dosé et traité. Mais l’acteur et réalisateur parvient, dans un numéro d’équilibriste pas facile, à nous embarquer avec son personnage. Un personnage écrit avec soin qu’il incarne avec brio et respect pour cette pathologie. Si cet aspect n’apporte finalement rien à la valeur intrinsèque du projet, elle permet quelques moments vraiment drôles qui se marient étonnement bien à cette enquête dans le New York des fifties. Mieux, la maladie de ce détective privé apporte une certaine plus-value à une histoire somme toute classique. Un apport pas indispensable mais ces traits d’humour francs, bienvenus et inattendus ne détournent pas forcément la tension et la dramaturgie ambiante. Mieux, les tics verbaux du personnage nous font véritablement éclater de rire.

    En revanche, on a l’impression d’avoir déjà regardé ce type de films avec machination politique et complot dans les plus hautes sphères de l’état maintes et maintes fois, que ce soit dans des films qui se déroulent à notre époque comme « Une affaire d’état » ou même de manière vintage et rétro avec le chef-d’œuvre de Curtis Hanson « L. A. Confidential », auquel ce « Brooklyn Affairs » s’apparente à un petit frère né sur le tard. Donc rien de nouveau sous le soleil ici mais il faut avouer que c’est fait avec application et un amour certain pour le genre. La reconstitution du New York des années 50 est exemplaire en tous points, on sent un budget confortable et une envie de retranscrire l’ambiance de cette époque. L’histoire est assez complexe à base de machinations et de secrets cachés mais on se rend bien compte que le scénario la rend inutilement tentaculaire et opaque. En effet, la durée que lui octroie Norton n’est pas forcément justifiée. Une demi-heure en moins n’aurait pas porté préjudice à l’ensemble et l’aurait peut-être rendu plus rythmé et donc captivant.

    On rentre néanmoins dans l’histoire assez facilement et on a envie d’en connaître la résolution. Résolution qui s’avère au final assez décevante et pas forcément renversante. Mais « Brooklyn Affairs » prend le temps de creuser comme il faut la psychologie des personnages et de bien dépeindre et expliquer les motivations de tous les protagonistes avec quelques approfondissements bien sentis sur les notions de pouvoir et d’héritage. Pourtant, le script est parfois tellement dense que certains points de détail nous échappent. Edward Norton s’est fait plaisir en réalisant une œuvre un peu surannée et qui détonne dans le paysage cinématographique actuel mais c’est aussi ce qui lui donne un certain charme et fait qu’on s’y laisser aller avec un plaisir non feint. Mais tout de même trop long, inutilement compliqué et parfois trop trivial dans l’enquête qu’il développe, il ne restera pas dans les annales pour autant. Un peu un film musée, du genre qu’on aime à contempler de loin, mais qui s’approche parfois de l’exercice de style appliqué voire de l’hommage… Et qui n’apportera certainement rien de plus à un genre quelque enterré. Dans tous les cas on retiendra la composition impressionnante d’un acteur totalement voué à son projet.

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    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 358 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 janvier 2020
    Dix-neuf ans après son premier long-métrage, le comédien Edward Norton passe pour la seconde fois derrière la caméra avec “Brooklyn Affairs”, un film noir dans le New-York des années cinquante et inspiré de roman de Jonathan Lethem “Motherless Brooklyn”. Également devant la caméra, Norton est Lionel Essrog, un détective privé souffrant du syndrome de Gilles de la Tourette et qui enquête sur le meurtre de son collègue et unique ami Frank Minna. Son esprit obsessionnel le pousse à découvrir des secrets dont la révélation aurait des conséquences sur la ville de New-York. Des taudis de Brooklyn aux quartiers chics de Manhattan, Essrog devra affronter l’homme le plus redoutable de la ville. Avec ses 2h25 au compteurs, il est certain que le drame policier trouvera ses longueurs. La fresque est néanmoins haletante et brillamment jouée, tout en rendant hommage au jazz et aux rejetés du pouvoir.
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    Roub E.
    Roub E.

    948 abonnés 4 994 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 février 2021
    Avec Brooklyn Affairs Edward Norton signe un hommage au film noir et une plongée dans le New-York des années 50. C’est au niveau de la reconstitution de la ville à cette époque que le film m’a le plus épaté, vraiment on s’y croirait. Cela permet de rentrer vraiment dans cette histoire alambiquée qui connaît il faut le reconnaître quelques longueurs. Et pourtant le fond de ce qu’il raconte est intéressant. On parle des arcanes du pouvoir comment s’y maintenir, de donner l’illusion d’un changement pour pouvoir maintenir une forme de statut quo et que ceux qui sont en haut puissent y rester. Edward Norton s’entoure pour son film d’un joli casting bien servi par des personnages profonds. Dommage que le film donne parfois l’impression de vouloir donner dans la grande fresque alors que cela ne s’imposait pas. On ne peut cependant lui enlever le très grand soin avec lequel il a été réalisé.
    Cinememories
    Cinememories

    481 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 octobre 2021
    Le film noir a toujours su saisir Edward Norton et le rendre imposant dans sa carrière d’acteur. A présent, il dispose de la casquette du réalisateur pour rendre sa vision possible, tout en l‘accompagnant jusqu’au bout de la nuit. Après 19 ans, une idée a mûri et l’adaptation de l’œuvre de Jonathan Lethem semble réussie, car divisera moins que sur son « Au nom d'Anna ». Cependant, on remarquera rapidement des similitudes avec « L.A. Confidential », sans intention de le surpasse, mais plus pour rendre hommage au genre qui disparaît peu à peu des salles, notamment chez les grands studios. Mais le sujet est pourtant cohérent et sincère venant du metteur en scène qui tient ses promesses sur de nombreux aspects d’écriture.

    Norton campe ainsi un Lionel Essrog, handicapé par syndrome de la Tourette, dont le traitement est d’une justesse touchante. Cette faiblesse rend beaucoup plus accessible ce personnage qui ne revendique pas l’acte d’héroïsme. Mais à travers son obsession, nous comprenons davantage son mal-être, son combat contre lui-même à chaque instant et c’est ce qui le rend particulièrement attachant. Ce qui peut fâcher en revanche, c’est de ne pas assez diluer ses compétences hors normes dans le récit, très riche en informations. On se permet de faire avancer l’intrigue par une astuce que l’on réutilise beaucoup trop. La qualité des transitions est donc souvent sacrifiée au détriment du rythme qui nous tient tout de même avec panache. Le détective nous emmène donc dans les recoins d’un New York qui ne manquent pas de personnalités, notamment dans ces années 50 inattendues, mais qui donnent du cachet à l’environnement hostile, reflet même de l’Amérique d’aujourd’hui.

    Le polar met donc en avant le monopole de la société par une mafia politique, mais pas indépendamment de la discrimination et les injustices sociales qui règnent. Et Lionel apporte justement un contraste marquant dans cette cruauté passive, et désenchante même le mal qui frappe, sans oublier une certaine fatalité ou tragédie qui lui échappe forcément à un moment donné. Sa générosité et sa bonté sont de lui un être qui comprend intérieurement l’état mental de cette ville empoisonnée. Il est un orphelin, un paria pour ce monde qui le rejette pour ce qu’il représente. D’une certaine manière, la maladie qu’il porte résonne comme une sorte de remède à l’univers sombre et jazzy de Brooklyn, Harlem et plus encore. Il tente donc de délier une affaire de corruption, mais cela semble plutôt maigre, car le final, aussi majestueux soit-il, le tout semble tout droit sorti d’un chapeau, car le spectateur peut se permettre d’avoir un coup d’avance sur le protagoniste.

    En somme, « Brooklyn Affairs » (Motherless Brooklyn) marque un arrêt intéressant sur les compétences d’écriture de Norton et l’ensemble donne envie d’encourager plus de démarches aussi léchées que ce film. Après ce seuil de validation, il serait temps de se détacher des clichés, apportés par un hommage évident, mais qui polluent parfois les tremplins scénaristiques qu’on aurait appréciés avec plus de subtilité. De même, l’éclairage ne rend pas toujours justice au film noir, mais l’ambiance compense très bien ce parti-pris douteux, mais qui ne dérange pas pour autant. Ne retirons tout de même pas l’effort d’un passionné, qui acte avec les spectateurs son retour sur la scène et sa future conquête d’un genre qui brise les codes, par l’humour et pertinence de ses références.
    Nicothrash
    Nicothrash

    366 abonnés 3 025 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 janvier 2020
    Edward Norton nous offre là un pur film noir dans lequel il se met qui plus est en scène. Superbe reconstitution du New York des années 50, un scénario aux petits oignons et un excellent casting sont au programme de ce long métrage très prenant malgré un rythme parfois lourd. Entre film noir et polar donc, Norton nage en eaux troubles avec son personnage original touché par le syndrome Gilles de la Tourette qui s'avère être aussi malin que drôlatique, c'est d'ailleurs une nouvelle prestation de haute volée qu'il faut mettre à son actif parce qu'il est clair que sans ce personnage, l'ensemble aurait pu paraitre assez basique. Brooklyn Affairs est une bonne surprise et mérite certainement plusieurs visionnages afin de saisir toutes les subtilités de l'intrigue, dommage qu'il soit si lent parfois ou encore si bavard.
    À Crocs D’Écrans
    À Crocs D’Écrans

    185 abonnés 1 009 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 décembre 2019
    Inspiré du roman Motherless Brooklyn, écrit par Jonathan Lethem et sortie en octobre 1999, Edward Norton réalise un vrai polar à l'ancienne, avec ses atouts et ses faiblesses. Contrairement au livre, l'intrigue se déroule dans les années 50 et pas en 1999. Tant mieux, l'ambiance des années 50 est vraiment envoûtante, les bagnoles sont magnifiques, les costumes toujours élégants, visuellement c'est une période tellement intéressante. Edward Norton s'offre un rôle assez particulier à travers ce détective atteint du syndrome de Gilles de la Tourette. Sa prestation est d'ailleurs assez bluffante, pour avoir su rentre ce trouble crédible tout en gardant son sérieux ! Le reste du casting n'est pas en reste, avec notamment Bruce Willis, Alec Baldwin ou Willems Dafoe qui offre leurs charismes à des personnages forts. Niveau Scenario, l'enquête arrive facilement à nous captiver, même si elle piétine un moment, imposant quelques baisses de rythme. J'avoue qu'il manque peut-être aussi quelques affrontements plus musclés, un interrogatoire intense ou quelques choses dans le genre pour vraiment parfaire l'ensemble. Ces petits bémols ne gâchent cependant pas les révélations finales qui clôturent le film avec panache. Bref, on est face à un vrai polar, très bien interprété, visuellement séduisant, manquant juste un peu de poigne.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    202 abonnés 1 910 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 décembre 2019
    Un film noir dans l'esprit des séries B des années cinquante. Le scénario est confus, mais pas davantage que celui du Grand sommeil. L'ambiance est dans l'ensemble réussie et certaines scène, notamment dans la boîte de jazz, sont superbes. L'allusion à Trump, promoteur immobilier cynique, est savoureuse et la référence à la lutte des Noirs pour les droits civiques suscite une certaine émotion. Ce film souffre toutefois de deux défauts. Les scènes d'ouvertures sont molles et beaucoup trop bavardes. On aurait apprécié un prégénérique qui claque. Toutefois, l'atmosphère poisseuse propre au genre s'installe peu à peu et on oublie le début raté. En revanche, le tic dont Edward Norton a affublé son personnage principal, qu'il interprète, est tout simplement insupportable. On peut supposer que ce choix relève de la recherche d'originalité à tout prix, mais c'est pénible, même si ça ne gâche pas complètement la séance...
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    205 abonnés 2 852 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mai 2023
    Avec une narration fluide, humour et un œil aiguisé autour des films noirs, autour d'une enquête tricotée par des magouilles immobilières dans une ville en reconstruction; Rien ne laisse place à la confuse et intérêt n'est pas émoussé. Edward Norton réussi dans l'obscurité des ruelles, les conflits raciaux et une ambiance jazzy à nous passionné.
    pfloyd1
    pfloyd1

    128 abonnés 2 108 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mars 2020
    Fort, prenant et admirablement bien réalisé, l'acteur Edward Norton est le génial réalisateur et producteur de ce film. D’ailleurs son personnage rappel dés le premier coup d’œil un certain film..."Usual suspects" de 1995. Confus en premier lieu, le puzzle se met en place aprés que le spectateur ait baigné dans l'ambiance nauséabonde de Brooklyn, imprégné de ses personnages charismatiques, l’atmosphère particulière des clubs de Jazz où ne se mêlent pas les noirs et les blancs, c’était ça l’Amérique des années 50. Une sale affaire de pouvoir politique est la principale pièce de l'histoire, mêlée heureusement à quelques scènes d'actions car les enjeux sont importants, tout comme les dialogues. Un film extrêmement bien réalisé avec de belles photographies, superbe. Et la bande son, à coup de saxophone jazzy est magnifique. C'est un film d'ambiance, profond , d'une réalisation encore une fois parfaite.
    Xavier D
    Xavier D

    59 abonnés 1 064 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 juillet 2021
    Depuis "Peur primale", Edward Norton n'as jamais fait faux pas tant dans l'interprétation que dans ses réalisations. La musique donne un côté jazzy à l'ensemble, et la maladie de la Tourette du personnage en pleine enquête sérieuse de détective donne un côté un peu fou. Il y a Bruce Willis, Alec Baldwin et Willem Dafoe. Souvent émouvant et touchant. Un bon petit polar.
    mistermyster
    mistermyster

    56 abonnés 1 271 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juin 2021
    Un film qui reprend les codes des films de gangsters avec une note moderne, presque contemporaine. Le casting est prestigieux, et chaque personnage est campé avec brio. Le personnage central, interprété par Edward Norton est attachant, dans sa quête de la vérité. Belle reconstitution, bonne histoire, et film noir qui nous offre une plongée dans le monde des détectives privés, certes, moins glamour qu'à la grande époque, on en vient à se demander si cette histoire est basé sur des faits réels, alors, un grand coup de chapeau pour cette nouvelle immersion, dans un New York que la corruption et la mégalomanie à construit.
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