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jaja77
61 abonnés
1 326 critiques
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3,5
Publiée le 15 décembre 2019
un bon petit film policier dans le fond des années 50 avec de belles reconstitutions de décors et images. des acteurs assez bons surtout l'acteur principal mais le petit hic c'est l'histoire un peu basique et pas de véritables rebondissements et actions ainsi que les 2h20 furent un petit peu longues. cela m'a fait plus pensé un téléfilm que se visionne plus chez soit qu'au cinéma.
Un polar à l’ancienne avec de grandes qualités : super prises de vue donnant une ambiance noire à souhait, bande son jazzy top nous replongeant dans les années 50 , lesquelles sont reconstituées avec un soin tout particulier, et jeu d’acteurs irréprochable, avec un Alec Baldwin véreux à souhait et un Edward Norton particulièrement réussi en privé futé atteint du syndrome de Tourette. Certes un poil long, mais l’ensemble est particulièrement réussi avec un scénario, tiré de roman, bien tortueux et bien construit et qui nous tient en haleine jusqu’au bout.
Edward Norton est brillant, rappelant Dustin Hoffman dans Rain Man ou James McAvoy dans Split. En prime il officie avec talent derrière la caméra. Les décors, les costumes et les voitures des années 1950 sont splendides, donnant l'impression de voir un film d'époque, mais en couleur. Côté bande son, les amateurs de jazz sont bien servis. En revanche le scénario m'a paru trop alambiqué, et du coup pas évident à suivre. Pourtant on va jusqu'au bout, suivant Lionel dans sa quête pour réunir toutes les pièces du puzzle. Sur fond de racisme et de transformation de New York à grands coups de pots de vin et de collusion entre les promoteurs immobilier et les politiques avides de pouvoir, Brooklyn Affairs est un film rare et soigné qui mérite le détour.
Un film qui doit son intérêt à l'ambiance, la reconstitution et la qualité de jeu d'acteur d'Édouard Norton, notammentdans ce rôle atypique de privé handicapé. C'est un peu long, l'intrigue est un peu bancale et il faut attendre la toute dernière minute pour y trouver un dénouement intéressant.
Pouah, c'est trop long, c'est bavard, des scènes de gens qui parlent tout le temps et partout ; pour moi c'est insupportable. Pas moyen de rentrer dans l'histoire, ce film n'étant qu'une enquête de magouille pseudo-politicienne basée sur la récupération filmée d'informations par le dialogue. Pour tenter d'être un peu plus fou-fou, on tente bien de nous placer un personnage "particulier" atteint de La Tourette, ce qui n'apporte rien tout en étant passablement agaçant ; ainsi que quelques gros bras qui cassent des gueules. Style et scénario vu et revu, il ne reste que quelques lignes musicales qui méritent l'écoute.
on arrive dans un NY aussi confus et brouillon qu'une partition de Jazz. Edward Norton , qui joue le role principal de son film est d'une justesse a faire palir n'importe quel toqué de Gille de la Tourette. La belle Gugu Mbatha-Raw sait nous prendre pas les sentiments (mais je vous cache pas que je suis un coeur facile a prendre si la beauté naturelle est au RDV) dans ce film, la musique nous galvanise autant que le défilé des acteurs de renom. ça part dans tous les sens! Peut etre même un peu trop vite mais ça a le mérite de nous tenir en haleine. Vous voyez ce genre de film où vous vous demandez au bout de quelques minutes dans quel merdier d'images et d'informations vous avez mis les pieds, enfin les yeux? et bien , c'est a peu près de ça sauf qu'heureusement le puzzle de 1000 pièces va bien finir s'assembler...au bout de 2h15 une enquete bien ficelée.
Belle reconstitution d'époque, distribution sympathique pour un polar d'époque plutôt réussi, malgré une intrigue faussement complexe et tirant en longueurs. Bonne nouvelle supplémentaire, Edward Norton est toujours un acteur!
Polar noir à l'ancienne sur fond de jazz, esthétique, très plaisant sur la forme. Un peu moins sur le fond, l'histoire de ces puissants (blancs) qui veulent assouvir leur désir de puissance en spoliant les plus pauvres (les noirs) sent un peu le réchauffé. Edward Norton qui cumule les 2 casquettes acteur-réalisateur s'en tire très bien et donne à son personnage principal, atteint du syndrome de Gilles de la Tourette, une originalité fort plaisante. A l'heure ou les blockbuster est roi, ce genre de film fait du bien.
Ce n'est pas décevant, pas mal pour un deuxième film surtout venant d'un acteur. La reconstitution est bien, c'est bien filmé, un bon cadrage agréable, la photo est pas mal aussi, c'est du cinéma hollywoodien fait aux petits oignions qui est un plaisir à voir et à écouter (voir la séquence de jazz), avec en plus des acteurs qui jouent tous très bien, (mention spécial à Willem Dafoe très touchant dans son rôle de loser). La maladie de Norton est super bien interprété par l'acteur même si je trouve que tout le monde le comprend un peu trop ce qui est irréaliste car en générale face à la maladie les gens prennent leurs distances et comment croire qu'il est devenu détective privé (!). Donc voilà sur la forme comme sur le fond c'est bien car le racisme y est bien montré ainsi que les difficultés social qui est le sujet du film sont bien exprimés. Mais c'est au niveau de l'intrigue que cela pêche. On ne comprend rien. L'intrigue immobilière est incompréhensible, ça avance lentement et on ne comprend jamais rien car trop compliqué. Je ne pourrai même pas vous expliquer comment toute l'histoire se dégoupille. Je sais pas si c'est fait exprès mais pourquoi perdre le spectateur ?! Dommage donc, un souci au scénario mais c'est super bien fait.
L'ambiance poisseuse de ce polar dont l'action se déroule dans les années 1950 est un des points forts du film. Les décors, les éclairages, la musique jazzy, tout contribue à nous replonger dans cette époque. Il faut y ajouter le jeu convaincant d'Edward Norton en détective atteint du syndrome de Gilles de la Tourette, celui d'Alec Baldwin, qui incarne à la perfection un promoteur immobilier sans foi ni loi à la mégalomanie assumée, ou encore de Willem Dafoe. Le scénario, basé sur cette spéculation immobilière effrénée, nous éclaire sur les rouages qui permettent à des réseaux occultes d'utiliser l'argent public dans leur intérêt et le plus souvent contre l'intérêt du plus grand nombre, notamment ceux dont l'opinion n'est pas considérée comme digne d'être prise en compte. Je n'ai en revanche pas été emballé par la multiplication des sous-intrigues, qui complexifient et alourdissent le récit plus qu'autre chose, nuisant ainsi à la fluidité de la narration et à la bonne compréhension des enjeux.
"Génial ! Excellent polar noir" Les décors et les costumes nous plongent dans l’ambiance des années 50 à la perfection. Certes, je n’étais pas née à cette époque mais tous les éléments dans le moindre détail sont présents. L’histoire est fluide, le scénario s’enchaîne et accroche dès le début ainsi que tout le long du film. Les acteur-trice-s jouent tellement bien que nous avons l’impression qu’ils-elles interprètent leur propre vie. Chapeau bas à tou-te-s et doublement bravo à Edward Norton qui jour le rôle de Lionel Essrog. Très bon casting. Ce film à sa sortie en décembre 2019 m’a filé entre les yeux et c’est regrettable qu’il n’a pas été mis davantage sur les devants de la scène. Je recommande +++
Un film policier mis en scène avec talent par Edward Norton. Un film d'atmosphère se déroulant dans les années 50 à Brooklyn servi par un casting talentueux à commencer par Edward Norton. On notera aussi un petit rôle pour Bruce Willis. La reconstitution des années 50 est magnifique.
Des acteurs impeccables et une histoire prenante mais l'idée d'un inspecteur victime du syndrome de Gilles de la Tourette est devenue barbante. Imaginez les filatures et les dialogues, un vrai supplice et une vrai massacre cinéphile. Une heure et j'ai basté...
Beaucoup de plaisir à voir ce film. Ambiance jazz et d'époque, tension croissante, acteurs de grande qualité. Un bon polar dans la veine des L.A. Confidential ou Chinatown. Mais à New-York.
Vous aimez les films noirs hollywoodiens ? Alors vous aimerez Brooklyn affairs qui respecte les codes du film noir tout en y apportant une touche d'originalité et de nouveauté. Lionel Essrog, interprété par Edward Norton lui-même, travaille pour un détective privé (Bruce Willis). Il est atteint du syndrome Gilles de la Tourette, ce qui donne lieu à de nombreux moments comiques. Quand son patron est tué, il va chercher à retrouver le coupable. L'intrigue est complexe et de nombreux fils s'entrecroisent jusqu'au dénouement. Une distribution éclatante, une musique jazz comme on les aime, des décors parfaits. Tout est réuni pour faire de Brooklyn affairs un grand film.