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    Showgirls
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    190 critiques spectateurs

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    Dawasta
    Dawasta

    65 abonnés 635 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2014
    Verhoeven ose aller encore plus (trop?) loin dans la provocation et nous livre son film le plus sulfureux et controversé que la critique n'a pas épargné! On peut sentir sa haine du monde du spectacle à travers cet univers impitoyable et malsain dans lequel seules la danse et les filles sont mises valeur. Dans cet anti-Flashdanse il piétine le rêve américain avec son pessimisme habituel, comme en témoigne le triste parcours du chorégraphe plein d'ambition où celui de la maquilleuse qui rencontre son idole. Elizabeth Berkley porte le film à elle seule et livre une performance que peu d'actrices auraient pu offrir. (Bien)
    Shiwamada
    Shiwamada

    40 abonnés 556 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 février 2018
    Le film qui a ruiné la carrière d'Elizabeth Berkley, comme cette dernière a ruiné son corps. Détruit par la critique et les spectateurs à sa sortie, avec de nombreux Razzies à la clé, et réhabilité par certains qui le considèrent comme un chef d'oeuvre de Paul Verhoeven, je me situerais à peu près au milieu. "Showgirls" a en effet un propos assez intéressant, celui du rêve américain symbolisé par Nomi qui débarque à Las Vegas et se retrouve très vite sans rien et contrainte de danser à moitié nue dans un cabaret. La beauté, la gloire, la vengeance sont autant de thèmes dépeints avec beaucoup de noirceur et de cruauté par Verhoeven, mais ils sont malheureusement emballés dans un film extrêmement vulgaire, où les scènes de nus sont légion. Le film bascule souvent dans des excès jusqu'à l'horreur. Tous les personnages, sans exception, ont un niveau de moralité affligeant et évidemment que les dessous de Las Vegas ne sont pas tout roses, mais là on est dans la surenchère permanente. Les scènes de sexe sont on ne peut plus explicites. Au final, je ne sais même pas ce qu'Elizabeth Berkley espérait obtenir comme rôle après avoir tourné dans "Showgirls", en apparaissant sans aucun scrupule topless dans la quasi totalité du film. D'autres actrices phares comme Jane Fonda, Jamie Lee Curtis, Demi Moore ou Sharon Stone (devant la caméra du même Verhoeven) s'étaient au moins respectées un peu plus.
    Je reconnais que "Showgirls" ne méritait pas la tempête qu'il a subi parce que c'est un film puissant et marquant, mais présenté de manière tellement vulgaire (certains ont trouvé Berkley forte et éblouissante, je n'y ai vu qu'un objet sexuel sans intérêt) qu'il est difficile d'adhérer complètement à son propos.
    Gwendoline L
    Gwendoline L

    32 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2016
    Je suis très étonnée par les critiques négatives.
    Le film tient en haleine du début à la fin, du suspense, véritable thriller "érotique" !
    L'actrice est incroyable et colle parfaitement au personnage.
    La photographie est bonne ainsi que la mise en scène.
    Vraiment, c'est un film qui mérite plus que 2 étoiles.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 8 janvier 2017
    Après une carrière néerlandaise et européenne remarquée (« Le choix du destin », « Spetters », « La chair et le sang »), Paul le Hollandais s’exporte à Los Angeles en nous pondant trois ovnis du cinéma contemporain : « Robocop », « Total recall », « Basic instinct ». De simple artisan moderne, il passe au statut de maître du cinéma grâce à cette Trilogie psychotique qui critique les dérives de la politique américaine (post-Vietnam, police..). Dès lors reconnu internationalement comme metteur en scène sulfureux, « Showgirls » participera à sa décadence états-unienne. Avouant ne pas s’être limité à sa ligne de conduite habituelle, l’auteur-cinéaste a déclaré qu’il a pris ce projet trop à cœur en allant trop loin dans la critique du pays qui lui a fait confiance. Egalement, la mise en chantier de « Showgirls » s’est révélée difficile en raison de déboires financiers de la maison de production Carolco, cofondé par Mario Kassar (le producteur exécutif de « Rambo » et « Terminator 2 », c’est lui !!). Dès sa sortie, le film est un échec commercial et critique. A tel point que Carolco fit faillite à cause de ce pari perdu. Dommage, Mario. De même, Paul Verhoeven, qui se verra remettre en main propre le Razzie award du meilleur film (chose rarement vu à la télé), ne s’en remettra jamais, et fort de cette déconvenue malgré un semi-succès avec « Starship troopers », il rentrera sur les terres de ses débuts, les Pays-Bas (« Blackbook », « Elle »). Il faudra une intervention du membre influent Jacques Rivette (l’inventeur du concept de la Nouvelle Vague à la réalisation en 1956 avec « Le coup du berger ») des Cahiers du cinéma pour revaloriser l’œuvre incomprise de Verhoeven. Cet objet du désir, longtemps dénigré car interdite aux mineurs de moins de dix-sept ans lors de sa sortie en salle ainsi que de l’actrice principale (Elisabeth Berkley) qui n’a pas eu la carrière qu’elle escomptait, est ainsi resté un film incompris de Verhoeven dans lequel on retrouve pourtant sa marque de fabrique.
    Nudité, érotisme à outrance, sexe, poilade, misogynie, rêve de puissance et de gloire sous fond d’ascension sociale d’une fille qui rêve de devenir danseuse dans la ville lumière (Las Vegas) sont les thèmes fétichistes que le réalisateur du « Quatrième homme » met ici brillamment en scène. Le metteur en scène qu’il était à ses débuts arrive à ses fins avec « Showgirls ». Avec cette acidité qui le caractérise, maître Verhoeven emballe son onzième long-métrage de manière fulgurante ne laissant aucun temps mort à raconter son histoire. Incisif voir corrosif, le Hollandais violent transgresse, se pourfend de ses erreurs de jeunesse (débuts tonitruants de « Business is business », anachronismes de « Flesh and blood ») en mettant à nu sa vision de l’Amérique moderne vue au travers des yeux d’Elisabeth Berkley. En cela, l’actrice de la série « Sauvée par le gong » passée chez Woody Allen (« Le sortilège du scorpion de Jade ») se fait l’alter-ego du cinéaste. Ainsi, Paul le néerlandais pousse le vice jusqu’à s’en moquer ouvertement. Jubilatoire !
    « Showgirls » passe également au niveau supérieur côté scénario car il aborde de front les limites du capitalisme et casse les codes de la contre-culture hippie. Le raconteur d’histoire Joe Eszterhas (scénariste de « FIST » et « Basic instinct »), pour sa seconde collaboration avec le réalisateur hollandais, reste proche de ses personnages (on peut ainsi dire qu’il s’agit d’un drame humain), critique de manière virulente les us et coutumes traditionnelles (le genre comédie de mœurs s’applique automatiquement au film) et envoie Paul Verhoeven sous les traits d’Elisabeth Berkley. Cinéma d’auteur par excellence, maître Verhoeven fait de « Showgirls » son film le plus abouti. Joker ! Et en profite pour caricaturer la scène finale en faisant un pied de nez à la séquence d’introduction. Jackpot assuré !
    De plus, le reste du casting, convaincant à souhait, n’est pas en reste. Robert Davi, Gina Gerhson, Kyle MacLachlan, et la fragile Gina Ravera (actrice de séries), des pointures dans leur domaine (voir leur filmo pour s’en rendre compte) complètent le tableau dessiné par The flying dutchman qui ose jouer avec les machines à sous des casinos de Vegas.
    Pour conclure, « Showgirls »(1995), chef d’œuvre de maître Verhoeven (entouré de son équipe internationale remaniée : Vacano, Mirojnick, Goldsmith) et film culte incontournable sur le monde du spectacle grâce à l’actrice iconique Berkley, est à classer parmi le Top 5 des meilleurs crus de l’année. Mon coup de cœur de 2016. 2 étoiles sur 4.
    Spectatrices en manque de seins, léchez vous !
    selenie
    selenie

    6 250 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 juillet 2011
    Paul Verhoeven réalise ici son pire film. Il a toujours su instiller un minimum d'humour dans se films même les plus graves, ce qui manque cruellement dans "Showgirls".
    De plus la lutte entre la star et l'arriviste a déjà été vu mille fois ; la seule chose en plus est la nudité des corps et une sexualité préférée à la sensualité, dommage de facilité.
    Plus de cynisme et une pointe d'humour noir aurait été le bienvenue. La nudité filmé aussi mal, sans charme n'apporte rien à la crédibilité du propos.
    Dans le monde du Streep-tease je conseille beuacoup plus "Dancing at the iguana" (2002) avec Darryl Hannah.
    Akamaru
    Akamaru

    3 096 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 juin 2012
    À force de vouloir pousser le bouchon de la provocation et du suggestif toujours plus loin,le nanar menaçait pour Paul Verhoeven,et il arrive sous la forme de "Showgirls"(1995).Sorte de règlement de compte avec le miroir aux alouettes de Las Vegas,et avec le monde du show-business dénude,ce film lascif à fait un carton aux Razzie Awards de l'époque,et c'est justifié.Elizabeth Berkeley passe son temps soit aux trois quarts nue,soit à faire la bécasse innocente.Mais bien sur,ce qui importe ici,c'est son physique sculptural et ses qualités de danseuse.L'occasion de dire que Verhoeven confond allègrement sensualité et sexualité.De même,les dialogues sont emprunts d'une vulgarité exagérée.A Vegas,les hommes sont des salauds libidineux et les femmes des arrivistes prêtes à tout.Kyle MacLachlan,avec sa mèche rebelle,se ridiculise,notamment lors d'un passage aquatique érotique!Sinon,la construction du film est des plus codifiée,avec une starlette,qui quitte le trottoir pour gravir les échelons de la scène,en perdant au passage son âme et son innocence.Un nanar en puissance,qui n'emoustille plus personne.
    7eme critique
    7eme critique

    533 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mai 2018
    La trame classique du combat professionnel artistique ! Paul Verhoeven souhaite nous montrer les difficultés de ce milieu, et notamment ce désir de rêve américain rapidement ramenée à une triste réalité, mais n'offrira malheureusement aucune ampleur à son récit. Et ce n'est pas le fait d'assister à de si faibles danses orchestrées par une pseudo femme fatale, mais surtout fatalement vulgaire et insupportable, et ce malgré sa belle plastique, qui changera la donne. On ne ressent rien à l'égard de ce personnage interprété par Elizabeth Berkley, et on sera bien plus proche d'un simple "Striptease" (avec Demi Moore) que d'un talentueux "Black swan".
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    275 abonnés 2 878 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 juillet 2021
    C'est un peu triste à dire, mais enlevez le strass, les paillettes, et les innombrables plans sur les corps dénudés, et il ne reste plus grand-chose. Capitalisant sur une formule qui s'était avérée gagnante avec Basic Instinct, Verhoeven fait à nouveau appel à Joe Eszterhas pour trousser un scénario qui manque ici singulièrement de matière, attendant pratiquement les dix dernières minutes pour proposer autre chose qu'une alternance danse-sexe sans surprise, donnant le sentiment que l'on en vient un peu tard à penser à faire un film. Seule la mise en scène (et l’investissement d'Elizabeth Berkley dans son personnage, bien peu payé de retour vu la suite de sa carrière) parvient à soutenir un semblant cet édifice mal assis, voulant montrer l'envers du décor de Vegas sans l'impact et le cynisme auxquels nous avait habitués le "Hollandais Violent".
    Ricco92
    Ricco92

    225 abonnés 2 150 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mai 2016
    Les succès consécutifs de Robocop, de Total recall et de Basic instinct pouvaient laisser penser que l'aspect provocateur de Paul Verhoeven plaisait au public américain pourtant habituellement puritain. Cependant, avec Showgirls, le cinéaste hollandais alla trop loin pour ce dernier. Alors qu'un film comme Basic instinct était "acceptable" car l'aspect sexuel était noyé dans une intrigue policière, Showgirls ose montrer que le sexe est un moyen d'ascension social et une des principales valeurs de Las Vegas. Il offre un miroir critique à une société américaine qui n'accepte pas qu'on lui montre ses aspects peu glorieux. Cela explique en grande partie la très mauvaise réception de ce film lors de sa sortie (flop commercial, critique assassine) qui se solda par 13 nominations aux Razzies awards 1996 dont 7 se transformèrent en récompenses (Paul Verhoeven vint même chercher en personne celui du meilleur réalisateur). Cependant, au fil des ans, Showgirls acquit un petit statut de "film culte" car il est très loin d'être une purge. En effet, Verhoeven offre un regard acerbe mais néanmoins crédible sur la faune gravitant à Las Vegas constituée de profiteurs, d'arrivistes utilisant de moyens peu glorieux pour monter socialement (sexe, trahison, agression...) ou encore de célébrités et d'hommes de pouvoirs se croyant au dessus des lois spoiler: (la scène du viol fait échos à certaines affaires ayant eu lieu à Hollywood)
    . Même s'il n'a pas la force des précédents succès de Verhoeven, Showgirls est un film intéressant dans sa description sociale, bien réalisé et contenant de beaux moments musicaux et chorégraphiques (les différents numéros du Stardust ou la séquence du strip-tease de Nomi). Cette vision critique de Las Vegas n'hésitant pas à montrer la nudité (le film se passe dans des clubs de strip-tease et des cabarets donc on y voit beaucoup de femmes nues) fut le début des problèmes du cinéaste néerlandais avec Hollywood (Starship troopers fut victime de critiques aussi, voire encore plus, violentes) qui poussa le réalisateur à revenir en Europe dans les années 2000.
    halou
    halou

    118 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 janvier 2016
    Le film aux multiples récompenses des Razzie Awards peu mérité. En effet, le scénario est moins débile qu'un Fast en Furious, les acteurs s'en sortent plutôt pas mal et avec énergie et le rythme est bien présent. Evidemment beaucoup de facilités pour dérouler l'histoire, des personnages caricaturaux et peu intéressant,s une mise en scène bien classique, mais le spectateur peut se prendre dans cette aventure sans prise de tête et avec du spectacle.
    dagrey1
    dagrey1

    97 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 septembre 2016
    Nomi, surgie de nulle part, arrive à Vegas pour devenir danseuse. Elle débute dans une boite de strip-tease, le "Cheetha". Elle a beaucoup de talent et une plastique irréprochable qui lui permettent de devenir danseuse au "Stardust", autrement plus coté...

    "Showgirls" appartient à la période américaine de Paul Verhoeven, marquée notamment par le succès de Basic Instinct (1992). J'avais vu le film à sa sortie en 1996 et j'étais assez partagé sur le sujet, à savoir, l'ascension d'une parfaite inconnue dans la pyramide des danseuse des clubs de variété de Las Vegas. Le film révèle les histoires de rivalité et les bassesses de cet univers...que l'on pourrait décliner à mon sens dans d'autres collectivités, l'homme étant un loup pour l'homme...Si le film contenait effectivement quelques séquences érotiques torrides (notamment une séance de danse privée mémorable), le script ne racontait finalement pas grand chose de révolutionnaire.

    Le film s'offrant une seconde jeunesse dans les salles françaises 20 ans après, je suis allé le voir hier soir au "Brady" à Paris. Assez curieusement, la salle clairsemée contenait un fan club du film de moins de 10 personnes d'origine américaine et d'une moyenne d'âge de 25 ans qui connaissait les répliques du film par coeur et manifestait avec enthousiasme en permanence. A part ce contexte original, j'ai finalement trouvé avec le temps que le film qui est une photographie des années 90 se regardait assez bien tout en ne présentant définitivement pas la problématique la plus intéressante de Verhoeven. "Showgirls" montre l'arrivisme dans les clubs de strip tease, la décadence de ces mêmes clubs et les ravages de l'argent facile dans cet empire du vide et du jeu.

    Le casting est bon: Kyle Mc Lachlan, Gina Gershon et dans le rôle principal, la très plastique Elizabeth Berkley, taillée -si j'ose dire- pour le rôle et Gina Ravera ainsi que Robert Davi .

    Si vous vous voulez vous replonger dans les années 90 et "mater" de jolies filles peu vêtues, "showgirls" pourrait vous plaire.
    antony Z.
    antony Z.

    71 abonnés 1 056 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 septembre 2020
    sentiment partagé... d'un côté un scénario léger, inintéressant et décousu avec des scènes improbable notamment dans les dialogues et les divers rapports des personnages. Et d'un autre, un esthétisme particulier qui capte l'attention tout comme ce personnage central singulier et naturel interprétté avec une belle énergie et beaucoup de charme

    Une critique très sévère et même démesurée comme de considérer ce film original de P. Verhoven comme le pire film de l'histoire (razzie award etc) ou comme
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 4 mai 2020
    Quitte à se payer un gros fantasme érotique à quelques dizaines de millions de dollars, autant investir un minimum dans le scénario pour s’assurer de la qualité des dialogues, du rythme, de la vraisemblance. Et puis tant qu’à faire, on aurait pu diriger un minimum l’actrice pour qu’elle ne se ridiculise pas dans un surjeu complet. Tout est tellement pauvre que le côté frontal du film (dans l’érotisme comme dans la satire ou la violence), qui aurait dû être une qualité, ressemble à du voyeurisme gratuit. Belle réalisation quand même.
    rooky
    rooky

    44 abonnés 519 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 avril 2012
    Un film sulfureux qui dépeint un monde impitoyable et débridé où la danse est un moyen agressif et aguicheur de régler ses comptes.
    Brutale limite enragée, l'héroïne donne d'autant plus de caractère au scénario déjà impétueux.
    Du show chaud (héhé) !!!
    Lord LYNDON
    Lord LYNDON

    19 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 octobre 2013
    Une belle déception de la part de Paul VERHOEVEN (Robocop, Total recall, Basic Instinct, etc...) que ce film sur un sujet intéressant (l'arrivisme et la vulgarité) mais qui comporte des scènes grotesques (la scène de la piscine, etc..) ou des scènes invraisemblables avec un scénario de roman photo.
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