Avis sur La Belle Captive

Rèalisè par Alain Robbe-Grillet, "La belle captive" fait rèfèrence aux toiles surrèalistes de Renè Magritte avec aucune logique dramatique ou psychologique! Le cinèaste rèussit le tour de force d'assoupir tout le monde en dèshabillant la somptueuse Gabrielle Lazure avec une histoire vampirique qui n'a de vampire que le nom! A voir pour la beautè de Gabrielle Lazure et pour la tenue en cuir sexy de Cyrille Claire sur une moto...

Les affreuses prestations des acteurs et l'absence totale de cohérence gâchent en grande partie l'ambiance onirique et sensuelle de "La belle captive". La médiocrité de la mise en scène s'occupe du reste...

Impressionnant... Des les premières images "La Belle Captive" est fascinant, on est instantanément plongé dans un univers sensuel et mystérieux, absolument envoutant et intrigant. Et du début a la fin on est sous le charme de cette atmosphère terriblement passionnante et si étrange qu'elle est presque terrifiante, malgré qu'elle soit extrêmement poétique, et même érotique... Une très belle histoire racontée superbement a travers une mise en scène parfaite et une bande originale magistrale.

Au cinéma, l'incompréhension est souvent ennuyeuse. Mais ici, le réalisateur joue avec ça, il nous fait comprendre des choses, pour ensuite nous perdre à nouveau. J'ai adoré ce cache-cache avec le sens. Visuellement, l'absurde est réel, et le réel est absurde. La répétition d'objet un peu partout dans les décors est une idée vraiment géniale. On a un montage vraiment percutant qui rend le film vraiment fascinant. Le petit bémol, c'est la fin qui est un peu facile... et pas tout à fait compréhensible. Je suis d'ailleurs déçu de ne pas pouvoir comprendre tout ce que le réalisateur a voulu dire, il y a tellement de détails partout ! Bref, je pourrais en parler pendant des heures, mais sincèrement, je conseille cette bonne expérience cinématographique !

De belles images oniriques mais cela ne suffit pas à rendre le film intéressant. Si on en croit la fin, la mort peut prendre différents visages. Alors, rêve annonciateur de la mort du héros ? ou voyage dans la zone entre la vie et la mort ? trop flou pour être honnête !

ARG nous emmène en bateau, avec des images ensorcelantes, un Daniel Mesguisch convaincant et une très belle Gabrielle Lazure.

Polar symboliste qui se noit dans les meandres du reve. L histoire se tient sur l enchainement des symboles. L ambiance generale pourrait faire penser aux prémisses d un TWINS PEAKS ou d un INCEPTION sans les flingues. Bon film pour ceux qui aiment se nourrir de symboles, d 'art et de metaphore, avec certe une lenteur elegament menée par Schubert. Les acteurs jouent leur role avec un plus pour Daniel Emilfork. Un effort à faire, cela change du spectateur passif, le film devient alors subjectif, à tiroir.

Un homme trouve une femme blessée et attachée sur une route la nuit.. ce n'est que le début d'un récit surprenant. On sait que le cinéma de Robbe-Grillet tient du bondage intello, ce qui lui donne un cachet particulier, mais a sans doute mal vieilli. Reste que le climat onirique est bien rendu, le rythme est lancinant et endormant, normal, et Gabrielle Lazure nue et/ou attachée est attirante. Quelques outrances gore, une curiosité. A éviter si vous n'aimez pas le cinéma trop irrationnel.