Derniers Avis : La Cabane dans les bois - Page 4

Ce film est une bombe!L'histoire et le scénario sont géniaux et la fin est explosive!Je le conseille vraiment beaucoup aux fan de film d'horreur comme moi!

Incroyable fin inattendue film originale et franchement vraiment simpa par contre vous n'êtes pas obligé de mètre des seins et une fille debile dans tout les films d'horreur

Quand je pense que "La Cabane dans Les Bois" a failli ne jamais voir le jour, c'est scandaleux, fort heureusement qu'un distributeur audacieux a cru à un projet oublié depuis trois ans, repoussé plusieurs fois suite aux déboirs de la firme de distribution initiale, on était en droit de passer à côté d'une perle de l'horreur,car (sans exagération) "La Cabane dans Les bois" est l'un des meilleurs longs métrages du genre, une satire qui revisite Le Slasher/Survival movie, en réinterprétant ses codes,ce,on adoptant un "air" parodique,qui se moque ouvertement des clichés éculés,tant associés au registre qui a connu son apogée dans les 80's...Autant dire qu'avec le premier film du nouveau venu Drew Goddard, pote à l'occasion de Joss Weddon ( le papa de la série emblématique de vampire Buffy...) qui officie également en scénariste et producteur, "La cabane dans bois"est comédie horrifique,qui réinvente un concept dans lequel le spectateur croyait avoir tout vu, en poussant ses limites dans leurs derniers retranchements, où l'originalité est le mot d'ordre, un film où "le prévisible" n'a pas de place dans une série B banale au premier abord, "La cabane dans les bois" s'avère être plus complexe,plus intelligente qu'elle ne laisse penser, et qui en a plus d'un tour dans son sac, hormis une premiere moitié qui s'enlise dans les stéréotypes inhérentes au genre, avec une intention moqueuse,dans un ton parodique, qui passe plutôt bien, peu envahissant,qui évite le piège de l'excès grand guignolesque, à travers une panoplie de personnages aux ethnies respectées, recurrentes dont le sportif égocentrique, le beau gosse,le nouveau venu, à la plastique avantageuse la blonde décérébrée, le fou shooté au marijuana ,et la vierge timide, tous ce beau monde,va se retrouver embarqué dans une étrange expérience, qui prend une dimension mondiale, dans jeu mortel, aux enjeux machiavéliques, spoiler: mené par des scientifiques adeptes d'une mysterieuse organisation secrète, qui vénère "les anciens", des créatures titanesques adulées comme des dieux, enfouies dans les entrailles de la terre, mainteues dans un "sommeil" permanent, par des le sacrifice de cinq innocents (la vierge est optionnelle) en guise d'offrande au dieux, dont la réussite a l'échelle mondiale,dans un genre de téléréalité morbide,est plus qu'obligatoie, nécessaire pour espérer à une paix et préserver ainsi l'existence de l'humanité...
Un bel hommage,qui sent bon l'amour aux longs métrages du genre dune décennie désormais révolue, dont il s'inspire,et s'en amuse même,Evil dead premier du nom, qui vient à l'esprit, pour son cadre une cabane recluse au beau milieu de nulle part, un lieu en proie à des événements inexpliqués qui transformera un Week-end de détente, en une lutte pour la survie mais la comparaison s'arrête ici, car " la cabane dans les bois, est assez singulier dans son approche, original dans une démarche assez originale, qui prend un tourant étonnant inattendu, dans une seconde moitié notamment une dernière demi-heure,impressionnante,qui ne lésine pas sur les moyens, lors d'un joli défouloir visuel jouissif, jamais égalé auparavant, où des créatures mythiques,qui ont marqué le cinéma d'horreur se donnent du "cœur" à l'ouvrage, dans un spectacle hilarant,sanglant,qui part dans tous les sens (et dans le bon sens), spoiler: des zombies aux loups-garous, en passant par l'énigmatique famille de tueurs masqués, qui n'est pas sans rappeler celle de l'honorable Survival "The Strangers" ou encore, le fameux tortionnaire sadique de la saga "Hellraiser" ,"Pinehead", aux côtés d'autres monstres atypiques,tout droit sortis de l'imaginaire macabre du cinéaste, la scène d'apparition "d'Aquaman" est juste jubilatoire, où encore l'attaque du serpent géant, et celle de la "licorne",qui valent le détour
...Le lieu isolé, une cabane reculée dans une vaste forêt, spoiler: dont le sous-sol recèle de mystérieux objets, qui constituent des éléments déclencheurs d'une série d'événements en chaîne qui échappent à tous contrôle, mettant en place les prémisses d'un jeu hostile,où la survie n'est pas une option à envisager, tout en cachant une machination machiavélique à l'échelle mondiale
Une succession d'événements,qui marque une montée en puissance d'une tension palpable,éprouvante,qui ne faiblira jamais, parfaitement maîtrisée, le casting est très convaincant, même si les personnages sont trop cliché,un parti pris assumé de détourner les codes d'un registre tant éculé,archi rebattu,en adoptant un humour qui fonctionne bien, subtile, lors de de quelques passages hilarants, qui confèrent au long metrage un aspect détente, qui ne se prend jamais au sérieux...
"La cabane dans les bois" est une expérience unique, original,audacieux, aux multiples rebondissements, dont un twist final, extraordinaire qui vaut largement le détour , qui se veut parodique, une caricature sympathique des films du genre,en l'occurence "le Slasher/Survival" typique...Un long metrage dont on aimerait voir assez souvent, qui "réinvente" à sa manière, en détournant les clichés connus, tout en dressant une satire assez amusante...Je conseille vivement. MA NOTE: 4/5

Ce film est juste une horreur cinématographique , aucun sens du début à la fin , une honte , les personnages sont juste mal joué , c'est un mixe entre sciences fiction et horreur très mal placé , retrouvé ce genre de film encore noté 3 par la presse très décevant

On reconnait là! l'effigie artistique de Drew Goddard: son obsession pour le sang et son amour pour le fantastique.
La Cabane Dans Les Bois est une métaphore anthropologique de la culture pop américaine dans l'univers cinématographique au cours des années.

Goddard reprend habilement les codes du genre horrifique, qu'il saisit par un esprit de synthèse, en exploitant les divers thèmes habituels - sans les dérober de leurs règles - qu'il distille dans une ambiance un peu débridée où le premier et le second degré se mêlent à la confusion du spectateur.

L'attitude dans la mise en perspective renvoie souvent à une forme de satire référentielle dans laquelle on peut identifier un méta-discours sur l'imminence d'une volonté nouvelle de création dans un univers cinématographique en panne d'inspiration.

Produit et écrit par Joss Whedon, je m'attendais à un petit film d'horreur classique. Un groupe de jeunes dans les bois. Un tueur rôdant dans le coin. Ils vont y passer tous un par un. Jusqu'à ce que le plus futé ou le plus fort arrive à s'en sortir. C'est un peu plus compliqué que ça. Comme dans Cube ou Escape Game, il y a cette idée-là que tout est organisé, tout est écrit d'avance, que le destin s'en mêle et qu'il va falloir l'affronter. Les chances de s'en sortir sont minimes mais qui sait...Dans sa première partie, c'est une autoroute. Le pompiste est inquiétant mais on n'y fait pas encore trop attention. La cabane est inquiétante mais comme elle est abandonnée au milieu des bois, c'est normal qu'il y ait des choses bizarres : des craquements, des portes qui s'ouvrent, des ombres, des bruits bizarres. Par contre après, ça part vraiment en vrille. Des tonnes de monstres répugnants, des hectolitres de sang, des scientifiques qui faisaient les malins jusque là pour mieux finir par se faire massacrer, un scénario de série Z. J'adore.

La Cabane au fond des bois est un film d'horreur vachement intéressant misant sur les codes du genre horreur et ses détournements possibles,
Tout comme Scream l'avait fait, le film met en avant tous les clichés du film d'épouvante, s'en moque tout en les mettant en scène, le tout sans tomber dans la parodie de film d'horreur de mauvais goût ; et cet audacieux équilibre est très bien maintenu tout le long du film.
J'ai trouvé les personnages particulièrement bien écrits, reprenant parfaitement les personnages clichés des films d'horreur (il manquait plus que le personnage de puceau qui fait des blagues lourdes sans arrêt, et on les avait tous) en les arrangeant un poil pour qu'ils aient un peu plus de subtilité et de personnalité et que leur sort nous intéresse davantage. La blonde est parfaitement capable de faire de l'esprit par moment, la vierge n'est pas si vierge que ça et l'athlète, s'il se distingue surtout par sa forme physique, n'est pas complètement un bourrin méprisant toute forme d'intelligence.
Certaines scènes savent très bien se moquer à juste titre des codes de l'horreur spoiler: (comme lorsque les scientifiques rigolent ouvertement aux prophéties apocalyptiques du vieux de la station d'essence abandonnée)
. On sent la patte Joss Whedon derrière cet aspect très méta. spoiler: Malheureusement, la fin est complètement ratée, que ce soit la motivation derrière les actes du laboratoire ou le plan final sur une main de géant (complètement absurde).

On peut reprocher au film de ne pas être si terrifiant que ça, mais ça me paraît bien compliqué de se moquer du film de zombies en mettant en scène des attaques de zombies trop angoissante. Et au final, j'ai trouvé les effets spéciaux, costumes et maquillage de très bonne qualité. Le design des monstres est très bon spoiler: (et on peut même dire que durant la dernière partie du film, les équipes techniques se sont vraiment fait plaisir avec toute cette multitude de monstres divers et variés à créer et animer)
.
Le casting est très convaincants, que ce soit les 5 acteurs principaux des jeunes adolescents à tuer (Chris Hemsworth, Kristen Connolly, Fran Kranz, Jesse Williams, Anna Hutchison) ou les guest (excellents Richard Jenkins, Bradley Whitford et Sigourney Weaver).
Je suis sacrément surpris des mauvaises notes de ce film, alors que tant de films d'horreur particulièrement bourrins et sans une once de second degré ont réussi à se retrouver avec de bien meilleures notes.

La Cabane dans les bois, c’est une bande de cinq étudiants (un sportif, une idiote, deux intellos et un hippie) qui se baladent en van et partent en vacances dans une cabane isolée dans la forêt où ils vont tomber sur (je vous le donne en mille) des monstres. Bref, La Cabane dans les bois, c’est un épisode de Scooby-Doo où le canidé parlant est remplacé par Jackson Avery de Grey’s Anatomy et où les intestins se retrouvent partout, sauf à l’endroit où ils devraient être.
Et là, vous vous dites peut-être qu’il y a un problème : comment osé-je vous conseiller un film dont le résumé semble être le moins original de toute l’histoire du cinéma d’horreur ?
C’est vrai quoi, des jeunes idiots qui partent en vacances dans une maison isolée dans la forêt où l’alcool et les fluides corporels couleront à flot et où ils se feront poursuivre par une force malfaisante, on n’a pas vu ça depuis… Je sais pas moi, Vendredi 13 / Evil Dead / Massacre à la tronçonneuse / Détour mortel / Zombeavers / Cabin Fever / Sleepaway Camp…
Pourtant, le film ne se contente pas de nous montrer des jeunes crétins se faire poursuivre par un monstre aussi lent que bête, et trucider de manière aussi originale que douloureuse, loin de là, et vous n’avez sûrement jamais rien vu qui ressemble à La Cabane dans les bois.

A la fois parodie et hommage du cinéma horrifique (d’où le pitch de base plus que banal), le film emprunte ses codes et clichés à de nombreux classiques du genre (en particulier à Evil Dead) et les détourne / explique à sa manière.
Mais si, vous savez, quand vous hurlez parce que le couple d’idiots en chaleur part faire l’amour dans les bois en pleine nuit, ou quand le groupe de crétins boutonneux (bon ça c’est faux ils ont toujours une peau parfaite et dix ans de trop pour leurs rôles) décide de se SÉPARER comme les crétins qu’ils sont ?
Ici, c’est montré, c’est expliqué, et c’est dénoncé d’une manière aussi originale que drôle… Et ça fait vraiment du bien.

Parce qu’honnêtement, La Cabane dans les bois est un vrai régal pour les fans du genre : à la fois divertissant et profond (si tant est que vous creusiez un peu), c’est un cocktail d’humour, de références et d’hémoglobine signé Drew Goddard et Joss Whedon, une véritable déclaration d’amour et de haine envers ce cinéma d’horreur qui nous pond souvent les mêmes scénarios aux personnages et monstres interchangeables – mais aussi une pique envers les spectateurs qui, eux, ne réclament aucun changement dans ce genre surcodifié.
(Oh et, je n’aime pas faire ça, mais si ça peut vous inciter à regarder, sachez que Chris Hemsworth et ses pectoraux font partie du casting. Et il y a une licorne aussi.)

https://moonlight-reads.com/une-petite-selection-de-films-dhorreur

Film d'horreur dans les bois

Franchement bien, le WTF est pas trop mal foutu. Je n'en dirais pas plus.

En gros, c'est de la bonne came, à voir.

entre jeu de télé réalité poussé à l'extrême et sacrifice humain, un scénario assez confus et abracadabrant. une surenchère d'effets qui devient vite un fourre tout horrifique avec une accumulation d'absurdités! en plus des débuts de C. Hemsworth, une guest star exceptionnelle en final mais cela ne sauve rien...

Je l’ai trouvé pas terrible. Et la fin n’en parlons pas... ridicule. Ça n’a ni queue ni tête et je ne comprends pas l’intérêt de la fin. Tout ce cirque pour ça uniquement ??? Ah bon ? Bref j’ai pas aimé tant pis, une prochaine fois peut-être dans une prochaine vie j’accrocherai mieux.

Alors toute cette (courte) critique sera un pseudo spoiler car comment parler de ce film sans évoquer son scenario qui est LA grande surprise de se long métrage.

En effet, je m'attendais à un énième slasher remplit d'ados attardés et de situations stupides pour finalement me retrouvé devant une comédie horrifique sous fond de SF Fantastique, bourré de références et parodiant allégrement les codes du genre. L’influence des crypy pasta style SCP est carrément la bienvenue car possédant un gros potentiel cinématographique, rarement exploité.

Après le film ne se prend absolument pas au sérieux, ce qui rend l’expérience légère et divertissante, et ravira tout fan de cinéma d'horreur par ces nombreux clins d’œils.

C'est gore, assez drôle, pas trop mal réalisé, sans prétentions et ORIGINALE, que demande le peuple ?

La Cabane dans les Bois n'est pas vraiment un film d'horreur, et cette précision est importante. En effet le but de ce film est de jouer sur les clichés du genre en les exposant au spectateur: si celui-ci est réceptif et possède une culture cinématographique fantastique/horreur, alors c'est le jackpot. C'est mon cas et il faut saluer l'originalité de la démarche, car je ne pense pas avoir déjà vu quelque chose de ce genre. The Cabin in the Woods est plus une comédie horrifique avec des moments WTF. Ce qui pourrait paraitre ridicule au début s'avère cohérent dans la logique du film, et les nombreuses références au genre sont drôles. Whedon et Goddard signe ici une œuvre que n'oublieront pas les fans de film d'horreur; 3.5/5 pour ma part.

Une bande d'étudiants stéréotypés partent en week-end seuls dans les bois, et affronteront sur place une menace surnaturelle... Rapidement, le spectateur se rendra pourtant compte que ces clichés de film d'horreur ne sont là que pour être joyeusement manipulés, et que ceci n'est que la surface d'un scénario beaucoup plus loufoque. Car "The Cabin in the Woods" est à mi-chemin entre l'horreur et la comédie. Le film propose quelques scènes réellement violentes ou inquiétantes, mais se moque énormément des teen-slashers à deux francs (surtout l'inévitable cliché des personnages lubriques prenant des décisions stupides !). Et si le segment du milieu comporte quelques longueurs, c'est surtout le dernier acte où tout part en vrille sanglante qui vaut le coup d’œil. Sans compter une réflexion pertinente sur le voyeurisme au cinéma, et d'une certaine manière la télé-réalité. Une parodie amusante.

Le démarrage laissait présager un film assez original, oscillant entre le fantastique, l'horreur et le bon gros nanar (le film s'amuse souvent avec la futilité des codes de l'épouvante, comme le "séparons-nous, c'est mieux"). Mais quel ratage complet que cette dernière demi-heure ! Une explication grand-guignolesque qui fait plus rire (jaune) que frissonner, un gros bazar de créatures en toutes sortes qui déboulent de nulle part pour faire gicler du sang sur tous les murs, une matrone (Sigourney Weaver dans son pire rôle) qui ne sert à rien si ce n'est se faire charcuter après deux minutes passées à l'écran... Du grand n'importe quoi, mais qui ne fait ni rire ni frissonner. On s'ennuie de cette accumulation d'effets spéciaux souvent ratés (les scènes des ouvertures d'ascenseurs qui sont des cirques sanglants sans aucune esthétique, le Triton en carton-pâte qui tient du nanar dans une scène pourtant dramatique...). Ce qui faisait la force de ce film était ce mélange astucieux des genres, mais tout s'est emmêlé dans les derniers instants pour ne former qu'un indigeste mix. Le scénario a été écrit en trois jours, cela se ressent : beaucoup d'incohérences ou de manques (dans les bonus, Josh Whedon à qui l'on doit quelques bons films et qui a écrit ce navet de scénario expliquait que même lui ne savait pas pourquoi spoiler: le loup-garou s'en va à la fin après les coups de feu de balles ordinaires et non pas en argent
...). Chris Hemsworth semble complètement en roue libre, le scénario est nunuche à souhaits, et l'on rit grâce à cela, jusqu'au final écœurant de mauvais choix esthétiques et scénaristiques.