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Note moyenne
3,6
23 titres de presse
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Le Parisien
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20 Minutes
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Brazil
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Chronic'art.com
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Elle
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Filmsactu
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Le Figaroscope
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Le Monde
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Le Point
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Paris Match
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Première
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Studio Ciné Live
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TéléCinéObs
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Télérama
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Critikat.com
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Excessif
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L'Express
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La Croix
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Libération
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Ouest France
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Positif
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Le Journal du Dimanche
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Les Inrockuptibles
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Le Parisien
Julie Gayet, fragile et forte, (...), et Denis Podalydès, excellent dans l'humilité, s'accordent à faire sonner juste cette sensibilité très française. " 8 fois debout " ? Huit fois bravo.
20 Minutes
Les deux acteurs donnent un charme fou à cette fable d'aujourd'hui, plus optimiste qu'il n'y paraît.
Brazil
8 fois debout est drôle et en même temps noir. Des moments difficiles naissent des fous rires (...) C'est un film très attachant avec un couple de losers idéal, Gayet-Podalydès, que l'on n'oubliera pas de sitôt.
Chronic'art.com
Charme fou des personnages préservant une distance par le mot là où le corps, l'image, indiquent pourtant que la catastrophe a bien lieu.
Elle
La poésie prend le dessus sur la misère (...) leurs efforts nous épatent. La grâce, vous dit-on.
Filmsactu
Un tour de force qui nous cueille par surprise grâce à son écriture tout en finesse, son humour ravageur et la composition poignante de Julie Gayet.
Le Figaroscope
Réussir une comédie tendre et originale qui colle à notre époque (...) c'est le pari réussi d'un Bayonnais de 31 ans, Xabi Molia.
Le Monde
Il y a quinze ans, on aurait diagnostiqué les yeux fermés 8 fois debout comme un film de femme. Ben non. Ecrivain (trois romans publiés), Xabi Molia a une certaine sensibilité. C'est un homme de son temps.
Le Point
voir le point.fr
Paris Match
En équilibre délicat sur le fil de la comédie et du drame social, ce film est une ode aux ratés magnifiques.
Première
Xabi Molia trouve alors une grâce, une inspiration visuelle (...), une musique verbale et un ton aussi charmeurs que personnels, aussi cocasses que poignants (...) ce coup d'essai ressemble fort à un vrai début de carrière.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Sur un air de comédie romantique et mélancolique, ce premier long-métrage du jeune écrivain Xabi Molia n'hésite pas à s'attaquer aux normes les plus implacables de notre monde et distille une mélodie subversive qui fait un bien fou.
Télérama
Plus doux qu'amer, ce constat cruel sur la précarité a la légèreté d'un conte. (...) pour le jeune réalisateur, l'accomplissement n'est pas dans la réussite sociale, mais dans l'acceptation de soi et des autres.
Critikat.com
Xabi Molia s'engage dans une voie peu explorée par le cinéma français, entre comédie de la lose et chronique impressionniste d'un quotidien pas très rose. Parfois un peu bancal, 8 fois debout accroche par sa sincérité désarmante, à soulever les montagnes.
Excessif
Xabi Molia a l'humour sincère et il propose avec 8 fois debout un film d'une fantaisie sombre, à la fois intelligente et tendre. De tous ces êtres bancals et lucides, on imagine bien que le plus désaxé est l'artiste lui-même, qui oeuvre ici à la reconnaissance du doux mal qu'est la discordance.
L'Express
Voir sur le site de www.lexpress.fr
La Croix
Dans cette comédie douce-amère portée par des acteurs d'une grande justesse, désespoir et humour voisinent. (...) Un peu dilué et distendu, le film de Xabi Molia s'étire lentement, ce qui ne plaira pas à tous.
Libération
Ce jeu de cache-cache (...) n'est pas exempt de maladresses, ce qui fait aussi aussi une partie du charme du film.
Ouest France
Il y a là un ton, un esprit, une atmosphère décalés dans un exercice de funambule. Mais, justement, le narrateur finit par se prendre les pieds dans le fil de cet exercice. (...) Dommage.
Positif
Tour à tour drôle et désabusé, ce premier film trop littéraire (...) est porté par Julie Gayet (son meilleur rôle, peut-être) et Denis Podalydès (...).
Le Journal du Dimanche
Julie Gayet se révèle touchante (...). Mais on l'apprécie beaucoup aussi dans des films plus légers.
Les Inrockuptibles
(...) la réalité brutale dont il entend témoigner sonne faux et ne semble qu'un prétexte pour donner lieu à des situations décalées, souvent anecdotiques.