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Votre avis sur Riverworld, le monde de l'éternité ?
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J'avais été bluffé par l'oeuvre de Philip José Farmer : "Le fleuve de l'éternité" et ses 5 tomes. Ici j'avoue que je suis frustré. L'histoire est très incomplète car évidemment on ne dispose que de 90 minutes. Mais le plus ennuyeux, c'est que la magie n'opère pas.
Quand on a lu les 5 tomes du cycle de P.J Farmer, on est évidemment déçu. Car le condenser en 180 mn estt impossible. Il n'est donc bien sur pas fidèle à la suite Riverworld. Restent quelques étrangetés: Burton, Twain, et les autres héros de chaque tome ont un objectif: ne pas être manipulés, et comprendre qui sont les éthiques et leurs buts. C'est cette dimension psychologique combinée au choc des civilisations et cultures depuis les origines de l'humanité, et leurs conflits, qui est passionnant dans le cycle.
Rien de tout cela ici, mais c'était mission impossible. A leur décharge: il s'agissait d'un pilote pour une série morte née.
Rien de tout cela ici, mais c'était mission impossible. A leur décharge: il s'agissait d'un pilote pour une série morte née.
Le livre est déjà un roman fleuve (5 gros tomes) que je n'ai finis (ouf) que pour connaître la fin -or il n'y en a pas !!! Après cinq pavés interminables, l'auteur bricole une vague fin convenue en 5 pages.
Sponsorisé par l'industrie du papier ?
Le film est plus polluant encore et du même ennui
Evitez le recyclage des ordures, passez votre chemin !
Sponsorisé par l'industrie du papier ?
Le film est plus polluant encore et du même ennui
Evitez le recyclage des ordures, passez votre chemin !
Riverworld est un téléfilm conçu comme le pilote d’une série qui ne vit jamais le jour. Produit pour Syfy (qui s’écrivait encore Sci-Fi à l’époque) et diffusé pour la première fois en 2003, c’est une adaptation du cycle éponyme (Le fleuve de l’éternité) de Philip José Farmer.
Riverworld est clairement un téléfilm, ce format se fait trop souvent ressentir (coupures pour les passages publicitaires) surtout au début. L’histoire est prenante et très bien conçue, et laisse une grande place au mystère… qui n’est finalement pas résolu, ce téléfilm n’étant qu’un pilote.
Voir mes autres critiques sur mon blog: http://cinephil.wordpress.com
Riverworld est clairement un téléfilm, ce format se fait trop souvent ressentir (coupures pour les passages publicitaires) surtout au début. L’histoire est prenante et très bien conçue, et laisse une grande place au mystère… qui n’est finalement pas résolu, ce téléfilm n’étant qu’un pilote.
Voir mes autres critiques sur mon blog: http://cinephil.wordpress.com
Il n'y a que l'idée du scénario qui était bonne, pour le reste, fuyez sinon vous perdrez votre temps car on en sait pas plus à la fin du film qu'au début et c'est horriblement long. Film raté! Dommage. Note 0,5/5
SUPER excellent !!! a voir sans aucun regret j'en suis fan
Pour la première fois depuis bien longtemps, je n'ai pas pu regarder un film jusqu'à son terme. Mais ce bousin peut-il seulement prétendre à la dénomination de "film"? 30 minutes de ce navet m'auront convaincu que j'avais bien mieux à faire ailleurs que devant ma télévision. Sans doute ne suis-je pas très objectif comme je n'ai pas vu l'intégralité de l'œuvre mais je souhaite bien du plaisir à ceux qui aiment le cinéma et qui auront la force de regarder cette chose en entier. Ça m'apprendra à être curieux!
J'ai voulu voir ce film tout en étant bien certain d'être déçu car comment scénariser sur 1h30 une saga de plus de mille pages ?
Farmer m'a fait rêver très longtemps avec son fantastique "Monde du Fleuve" et ses personnages extrêmement charismatiques qui se comptent par dizaines ! De Richard Francis Burton à Monat l'extraterrestre responsable de la fin de la terre en passant par Cyrano de Bergerac, Hermann Goering, Samuel Clemens et tant d'autres tirés du néant de l'histoire pour revivre sur ce monde où la mort n'est qu'un passage !
Le film ne peut pas, pas plus que l'autre du même titre (2010), rendre justice à ce monument, mais il essaye d'en conserver l'esprit. C'est déjà pas mal !
Précipitez-vous sur le roman ! (4 volumes en livre de poche)
Farmer m'a fait rêver très longtemps avec son fantastique "Monde du Fleuve" et ses personnages extrêmement charismatiques qui se comptent par dizaines ! De Richard Francis Burton à Monat l'extraterrestre responsable de la fin de la terre en passant par Cyrano de Bergerac, Hermann Goering, Samuel Clemens et tant d'autres tirés du néant de l'histoire pour revivre sur ce monde où la mort n'est qu'un passage !
Le film ne peut pas, pas plus que l'autre du même titre (2010), rendre justice à ce monument, mais il essaye d'en conserver l'esprit. C'est déjà pas mal !
Précipitez-vous sur le roman ! (4 volumes en livre de poche)
Ce sont des sentiments mitigés qui m'envahissent après le visionnage de ce téléfilm car d'un côté, nul doute qu'on sent vraiment que le scénario a énormément de potentiel, qu'il a une capacité d'accroche fantastique et on a vraiment envie de savoir la solution de ce mystère, mais d'un autre côté c'est assez raté sur le plan technique. Les acteurs ne sont pas très bons (rajoutez à ça un doublage encore une fois au ras des pâquerettes que l'on dirait pris en charge par 3 personnes), les effets spéciaux moisis, les scènes de combats chorégraphié par une grand mère et quelques répliques ridicules. Seulement voilà, la puissance de l'histoire permet quand même d'accrocher le spectateur devant ce qui se transforme au final en un petit moment bien sympatoche.
Riverworld a ne pas prendre a sérieux a écouter un jour de pluie
Loin des blockbusters hollywoodiens, ce film a le mérite d'aborder un scénario original avec des moyens relativement modestes. Alors même si la réalisation laisse un peu à désirer, que les acteurs ne sont pas très convaincants et que les décors sont clairement en carton pâte, en étant indulgent on passe quand même un agréable moment.
J'avais rêvé d'un Peter Jackson reprenant cette saga somptueuse de P.J.Farmer. Au lieu de ça...on a ça...Acteurs plus mauvais les uns que les autres, mise en scène catastrophique, dialogues ridiculissimes. Tous les bons clichés du cinéma américain, héros à la mâchoire carrée qui plisse des yeux et fronce des sourcils pour montrer que ça rigole pas avec lui, le méchant qui a un sourire de méchant car c'est connu, un méchant c'est content d'être méchant, et surtout il discute d'abord avec le gentil au lieu de le tuer (en faisant toujours des sourires de méchant). Les nombreux combats ont du être orchestrés par la grand mère du réalisateur tellement ils sont crédibles. Bref, une méga daube de plus pour enterrer un magnifique sujet de SF en contribuant une fois encore à discréditer ce thème si riche.
Pitoyable tentative d'adaptation du roman de Philip José Farmer.
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