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selenie
6 358 abonnés
6 212 critiques
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2,0
Publiée le 9 octobre 2012
Réalisé par Max mannix, on en sera pas étonné de l'importance de la musique du scénariste du film "Tokyo sonata" (2008). La trame principale du film n'a rien d'originale, reprenant tout simplement le conflit de deux hommes pour une seule femme. La nouveauté, par contre, réisde dans le mixte et le parallèle entre danse (de salon !) et les arts martiaux. Le début est fastidieux, ce prologue pour nous force l'empathie pour le personnage principal ce que ni lui nous n'avions besoin. Ensuite quelques petits bémols (des détails) comme un champion qui se fait tabasser facilement, le danseur qui apprend la technique shaolin en une seule semaine, l'abus des ralentis... Rien de grave mais des petites choses qui gâchent tout de même l'ensemble. Par contre le film n'est pas exempt de poésie et d'une belle émotion. Un film sans prétention, maladroit dans ses choix (voix Off, flash-backs, ralentis) mais qui se laisse regarder sans déplaisir.
Un film qui passe à côté d'une réussite fabuleuse par les faiblesses de sa réalisation. Des temps morts et de longs plans à répétition comprenant une musique grandiloquente et des ralentis à ne plus savoir qu'en faire qui ralentissent (c'est le cas de le dire) considérablement le rythme du film. C'est vraiment dommage car le sujet est très bon, les acteurs aussi. Et il y a des moments très poétiques et artistiques. À voir tout de même en dépit de ses défauts.
Une sorte de panachage de "Billy Elliot" et de "Dirty Dancing" à la façon asiatique. Si les premières minutes sont prometteuses, on se rend très vite compte que le film tourne à vide. Les scènes de danse, peu spectaculaires, remplissent comme elles peuvent leur rôle de remplissage. L'esthétique, réussie, sauve un peu les meubles.
On dirait qu il y a eu des coupures dans ce film car beaucoup de choses n'ont pas de sens.
Exemple le danseur doit se battre avec le mari de la prof de dance en fait il s'agit plutôt de kata..
Le danseur accepte que si il perd il quitte la ville, il perd le kata et reste quand même comble du comble le mari vient le voir au show du grand n'importe quoi et pendant les 3/4 première partie du film que l'acteur qui joue le danseur joue mal on dirait un attardé
Il ont enrobé toute cette daube avec une belle musique et de belle image et apparemment certain on digéré cela
J'ai beau être dans la danse, qu'est-ce que ce film est barbant. Alors oui, c'est beau, jusqu'au combat, bien particulier, et meme si le coté mielleux et dramatique n'est pas si présent, malgré le principe de l'histoire d'amour déchirante, le film restera pour un public particulier, surement plus féminin que masculin.
"Dance of the dragon" est lent, délicat, illuminé d’une superbe lumière, empreint d’une certaine poésie. Fann Wong y est lumineuse et Jason Scott Lee campe magnifiquement un professeur d’arts martiaux. J’ai eu beaucoup plus de mal avec Hyuk Jang : je l’ai trouvé pas à sa place dans ce rôle d’élève de danse. Le mixe entre la danse et les arts martiaux est parfait. Ce qui n’exempte pas d’une certaine maladresse de la part du réalisateur (abus de ralentis qui ralentit le film, le prof d’arts martiaux qui se fait tabasser sans plus de difficultés, une voix off récitant un texte vraiment simpliste). Une certaine dose d’empathie pour comprendre les sentiments et combats intérieurs des personnages est recommandée.
Dance of the dragon est un film particulier naviguant entre le drame social à la Billy Elliot, la romance, et le film d’arts martiaux. L’ambition des deux réalisateurs et scénaristes Max Mannix et John Radel est grande, mais déçue, car on a l’étrange impression de voir deux scénarios bien distincts réunis dans un seul film.
De bonnes choses, comme de mauvaises. En premier lieu, le jeu de certains acteurs qui n'est vraiment pas convaincant pour certains, un scénario dont on devine la fin spoiler: dès l'apparition de l'élément perturbateur, à savoir le défi de Cheng. Néanmoins, la sensibilité véhiculée par la danse et, de manière un peu plus générale, par l'ambiance du film me laisse un peu rêveuse, surtout le final. Et puis, je l'admets, j'aime quand ça se termine bien.
Classé sous Romance oui, art-martiaux...non pas pour les 10minutes au total de petites scènes sur une heure et demi, art-martiaux c'est un peu exagéré même s'il y a Jason Scott Lee dedans c'est pas une raison! Dance et Romance c'est tout. C'est lent trèèèès lent mais c'est le style, joli... sensible. Peut pas plaire à tout le monde, ne pas s'attendre à des combats d'art-martiaux au risque d'être TRES déçu. Et ne pas le regarder si vous êtes fatigués... car comme je le disais, c'est lent, donc peut avoir des effets soporifiques. Le film est gracieux et sensible. Perso comme je pensais que c'était basé sur les art-martiaux, j'étais frustrée et déçue car au final nada, mais si j'avais pas lu qu'il était classé art-martiaux mais Romance peut-être que j'aurais mieux apprécié le film.
Film d'une grande spiritualité orientale : tout est vu de l'intérieur ! Autrement dit : il faut avoir une bonne dose d'empathie pour comprendre les émotions des personnages et le message du réalisateur : l'important n'est pas de gagner les combats mais de se trouver soi-même. De plus, malgré les apparences, ce film rompt radicalement avec le modèle d'art martial habituel par le tempérament à 100% non-violent du personnage principal ! Un message d'espoir très fort pour tous ceux qui cherchent des solutions non-violentes aux problèmes de la vie quotidienne.