Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
5,0
Publiée le 2 avril 2010
A quoi sert le savoir ultime? Est-ce que l'immortalité apporte la vie éternelle? Est-ce que la vie doit être éternelle? Où allons nous? Zardoz est un film étonnant et culte.
pfffiiii on aime ou on deteste, moi je n'ai pas aimé ce nanard, où sean conery est ridicule en slip rouge avec sa queue de cheval et une ambiance lourde et endormante !!!
Ce film c'est le grand delirium! Boorman nous livre une véritable reflexion philosophique sur la vie, la mort, dieu, le sexe et l'existence même de l'homme. Cette reflexion prend la forme d'un conte psychadelique où des sortes de hippies se prêtent à des discutions et à des rythes qui surprendront les cinéphiles les plus ouverts. Quoi qu'il en soit si vous adhérez à cet univers vous ne pouvez qu'aimez ce film tant il se revelle juste de part son analyse philosophique et dans la façon dont il presente la nature humaine, peut de film peuvent se vanter d'avoir un scénario aussi travaillé et original. Si le côté kitsh du film lui donne un certains charme il faut bien admetre que cet aspect du film à beaucoup vieilli et aujourd'hui il peut preter à a sourire. Comme autre défaut du film j'ai trouvé que la mise en scéne était aps moment un peu "bancal". Quoi qu'il en soit si Zardoz n'est pas un chef d'oeuvre il en reste quand même un trés bon film d'anticipation qui pousse à la réflexion.
Nanar ou chef d'œuvre ? Je ne vais pas trancher, mais je le conseille à tous ceux qui aiment les films bien barrés et psychédéliques des années 70. Mention spéciale au costumier de Sean Connery.
Une fois passé le coté archi kitsch du film (Sean Connery en moule bite rouge, cartouchiere autour du torse velu, et grande botte noire) qui fait aussi son charme, on découvre un film étonnant. Le réalisateur y dévéloppe des idées interressantes sur l'immortalité, le savoir, l'imaginaire et la liberté. Une démocratie parfaite (les "vortex"), eternelle, cultivée, aux naissances controlées et en harmonie avec la nature peut elle etre viable? Après tout, l'immortalité, c'est long... surtout vers la fin !
ZARDOZ fait partie de ces films “mythiques” des années 70, comme LA PLANETE DES SINGES ou BARBARELLA, qu'on rêve de voir un jour... et dès qu'on les a vu s'impose l'évidence : mais comment un truc aussi ridicule peut-il être devenu “culte” ?? Les premières scènes du film laissent pourtant présager du meilleur : des cavaliers aux masques de théâtre grec à deux visages reçoivent d'un vaisseau volant en forme de masque géant (à ben oui, on est pas dans un film réaliste...) des armes pour “purifier le monde” et chasser la vie qui n'est que dilapidation de la semence et de l'énergie. L'injonction de leur dieu Zardoz : “The gun is good - the penis is evil”, inversion des valeurs des plus excitante, annonce une suite prometteuse. Mais le film s'enlise bien vite dans des dialogues empreints d'une rhétorique mystique assez incompréhensible, et dans un plaidoyer passablement contradictoire contre les dérives de la civilisation. L'indigence de moyens dans laquelle Boorman semble se complaire apporte elle une certaine candeur naïve assez amusante aux artifices d'un style typique 70” devenu très kitsch : décors issus d'un magasin d'accessoires de théâtre, bulles et polyéthylène gonflables tenant lieu d'architectures futuristes, vêtures dignes d'une secte baba-cool. C'est pourtant au milieu de ce bazar de délire spiritualiste pseudo-écologique, entre grotesque et lamentable que s'épanouit le véritable trésor du film, l'incroyable présence de Charlotte Rampling, sa grâce et sa beauté de sirène qui magnétise chacune de ses apparitions. Car ici, le vrai mythe, c'est Elle.
Sean Connery exhibe son torse velu, Charlotte Rampling découvre sa libido. Et mine de rien, une réflexion assez profonde sur la civilisation. La Rolls des nanars.
J'en garde un mauvais souvenir, c'était très ringard, peut-être drôle avec pas mal de second degré, mais je n'en avais pas assez... A voir par curiosité, au moins même si c'est mauvais c'est un 'spectacle' original...(ou plutôt : très années 70, dans le style et le fond)
En quelques mots et pour résumer avec facilité et flemme, on pourrait, tout bonnement dire que Zardoz (1974) est un calvaire ! Supporter ce film de science fiction expérimental et psychédélique durant près de deux heures est un supplice. Des œuvre « ovnièsques » comme celles de Alejandro Jodorowsky (El Topo - 1970 & La Montagne sacrée - 1973) on y adhère avec plus ou moins de facilité, mais là, on sature dès la première demie heure tant le récit est complexe, voire incompréhensible. Comment Sean Connery & Charlotte Rampling ont pu se retrouver la dedans ? D’autant plus qu’à l’époque, Sean Connery était déjà catalogué en tant que James Bond (avec à son actif déjà six opus), alors qu’est ce qui lui est passé par la tête pour venir jouer dans ce film (ou cette chose). D’autant plus qu’ici, durant tout le film, il est uniquement vêtu d’un slip rouge et affublé d’une hideuse queue de cheval (un look que l’on n’est pas près d’oublier), et encore, le pire reste à venir quand il apparaît en robe de mariée ! Zardoz (1974) est une bizarrerie baroque qui fait à la fois référence au théâtre grec, à la mythologie égyptienne et au psychédélisme des années 70, tout en faisant une dénonciation du consumérisme et du puritanisme. En d’autre terme, cette œuvre particulière est à réserver aux amateurs du genre, attention, maux de tête prévisibles pendant la séance !
Film de série B au scénario intéressant:dans un avenir lointain,l'humanité est divisée en trois catégories:les "immortels" vivants sous cloches,devenant peu à peu stériles et sans libido;les guerriers aux ordres d'une fausse idôle créee par les premiers et qui leur commande d'exterminer la troisième catégorie,des humains-animaux incultes et qui se "reproduisent" trop.Un immortel initie un guerrier à la vérité,ce qui fait que les guerriers se retournent contre ceux qui les manipulent.Ces immortels sont en effet incapables de se libérer par eux-mêmes de leur condition car devenus prisonniers du Tabernacle qui les maintient dans cet état d'éternelle jeunesse en forme d'impasse.Des animaux humains donc, exterminés par des religieux barbares, eux-mêmes manipulés par des savants décadants.Le film commence bien mais une fois chez les immortels habillés à la mode pharaon,il nous communique leur ennui et s'enlise dans des complications.A voir tout de même pour réfléchir ou rire (second dégrés).
Réduire Zardoz aux aventures de Sean Connery en slip rouge (ma couleur préférée soit dit en passant) serait une image bien simpliste. Je suis conscient que Zardoz entre dans cette catégorie de film que soit on aime soit on déteste, pour ma part Zardoz m'a plu, je lui trouve un univers réellement recherché, on sent que John Boorman réalise là vraiment ce qu'il désire au risque de déplaire le public. Zardoz est étrange et fascinant avec ses belles images bien que ses propos philosophiques soient à moitié compréhensibles (mais en le revoyant Zardoz m'a semblé beaucoup plus clair dans ses propos). Sean Connery est convaincant face à la troublante Charlotte Rampling. A découvrir mais il ne fait pas être allergique à un certain esthétisme des années 70.
L'homme,la science,la connaissance,dieu.C'est un sujet qui n'ai pas simple a traiter surtout quand on flotte avec l'anticipation.La barrière du ridicule peut être vite franchit.Et c'est le cas avec zardoz.Zardoz dont le simple titre et annonciateur de navet,et il n'y a pas tromperie sur la marchandise.Car des personnages aux dialogues en passant par les costumes tout est un sommet de débilité.Et quand a la question que veut soulever le film qui est.L'homme et la connaissance ne serait il pas son pire ennemie.Cette question est si mal abordé que l'on se fout royalement de son avenir.
Une seule critique:Boorman se trompe,dieu,le paradis n'éxistent pas. Il a raison sur deux points:le progrès ne doit pas etre réservé qu'à une petite minorité;et il vaut mieux rester prudent quand on venère un dieu! .