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    Zardoz
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    Tonton Twan
    Tonton Twan

    5 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 avril 2020
    "Zardoz" ou "Faut vraiment être Sean Connery pour pécho en slip rouge à bretelles".

    Chef d'oeuvre du nanard...

    Ce film est une belle et grasse déjection digne représentante de son époque. Dans les années 70, les moeurs se sont libérées et il n'était pas rare de voir de la nudité dans les films occidentaux et des costumes à la "Rocky horror picture show". Aujourd'hui malgré l'internet qui vous place à un clic de la pornographie la plus crue, on en est arrivé à trouver vulgaire le moindre film qui vous montre un sein baladeur ou un trois pièces cuisine passant dans le champ d'un caméra pour un film "classique". Et question pilosité, il faut croire que tous nos acteurs sont à peine sorti de l'enfance.

    Pour autant ce film offre à la fois une réflexion sur la course à la jeunesse éternelle, l'immortalité, l'oppression, et ce sel qui donne le goût à la simple existence de mortel qui nous est donnée...

    Au final ce qu'on retient de ce film c'est seulement sa forme... plutôt nulle... Certes, mais en se privant du contexte de leur création, c'est comme si on se moquait des tailleurs de pierre égyptiens qui ne savaient pas dessiner les êtres humains autrement que de profil...
    Roub E.
    Roub E.

    952 abonnés 4 994 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 mars 2020
    Un film aussi ridicule qu'il est prétentieux. Autant je suis en général plutôt client des films de John Boorman, la j'ai trouvé qu'il se plantait sur toute la ligne. Plus son sujet est ambitieux plus il faut assurer son coup. Et la de l'ambition il n'en manque pas, Zardoz veut parler de la vie, de la mort, de la religion, du pouvoir, de la politique et j en passe. Mais franchement j'ai eu du mal à voir autre chose que Sean Connery en slip rouge pendant tout le film. L’ensemble du métrage à un côté kitsch et je n'ai jamais cru à l'univers qu'il décrivait; du coup j'ai rejeté en bloc tout ce dont il voulait me parler. C'est à la fois pompeux et pompant. Un film qui voulait me faire réfléchir, il m'a fait rire.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    274 abonnés 2 878 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 janvier 2020
    On ne pourra pas reprocher à John Boorman d'avoir cherché à donner du fond à son sujet. En revanche, le délire de la forme fait éclater le sérieux de l’entreprise dans une farce qui sent l'hallucinogène à plein nez: des costumes aux décors en passant par le jeu des comédiens, Zardoz est kitschissime à souhait, de façon presque consternante. Assez étonnant de penser que le même bonhomme venait de sortir Délivrance peu avant... En tout cas, le résultat imprime ici plus la rétine que le cerveau, par son abus de couleurs criardes et sa réalisation aux mouvements de caméra parfois curieux. J'ai déjà vu plus innommable, mais ce film ne rend pas justice aux talents de ceux qui l'ont fait, et qui se sont bien rattrapés par la suite, heureusement pour eux. Restera l'image éternellement culte de Sean Connery en héros le plus ridiculement habillé du monde...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    688 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 novembre 2019
    Zardoz commence comme la plupart des contes voltairiens, soit par l’arrachement d’un être à ses racines suivi de sa propulsion dans un monde différent du sien, si différent qu’il est regardé par les occupants de ce dernier comme objet de curiosité, de peur et de fantasme. Ce regard porté sur l’étranger féconde le cinéma de John Boorman, lui qui se plaît à orchestrer la lutte entre deux ennemis politiques sur une île déserte ou qui rapporte le ravissement du fils d’un ingénieur par une tribu amazonienne. Or, parmi les nombreux renversements qui scandent sa narration, Zardoz laisse rapidement de côté le récit d’apprentissage pour mettre en scène une dystopie qui réussit à conjuguer le nihilisme d’un Nietzsche explicitement cité avec la fécondité des pouvoirs de la psyché humaine : tout entier construit sur une réflexion par l’image autour de la figure de Dieu, le film embrasse les âges de la vie et se propose de remonter jusqu’à la grotte primitive, à la manière de Stanley Kubrick dans son Odyssée de l’espace. La divinité, tour à tour incarnée par la tête de pierre, le diamant et le héros en slip rouge, voit son acception progresser d’une source de vie et de mort inaccessible à un simple jeu de miroir entre l’homme et son double. Le surnaturel n’est alors que la déformation kaléidoscopique du naturel : nous passons du vénéré totem au diamant, avec dans les deux cas l’illusion d’une profondeur de prime abord spirituelle, physique ensuite. Et si la magie découle de cette somme de phénomènes optiques, Boorman refuse de lever le mystère, ce mystère intrinsèquement lié à l’existence humaine, ce mystère originaire de la tragédie de la nature selon laquelle l’homme place ses espérances en des instances supérieures afin de contempler la renaissance du soleil, chaque jour. Ici, le personnage incarné par Sean Connery fait se succéder les rôles qu’on le contraint à exécuter : d’abord déterminé par son action belliqueuse, il se mue en puissance érotique dissidente, que symbolise son association à l’animal (il dort encagé), allant jusqu’à perforer la bulle plastique tel un pénis craquant l’enveloppe de son préservatif. Le voilà à son tour divinisé, exercer des pouvoirs extraordinaires ; cela ne durera que quelques instants. Un coup de fusil rétablit le désordre. Et paradoxalement, il féconde. Zardoz a pour obsession la notion de reproduction d’une même séquence à partir de déclinaisons différentes. Zed brise les frontières et apporte un chaos nécessaire à toute communauté pour se régénérer : il est l’incarnation de la semence. Dès lors, la trajectoire du long-métrage suit le processus de la reproduction : pénétration, fécondation, grossesse, enfantement, solitude et mort en constituent les paliers successifs. L’humanité ne vit que par la répétition du même cycle infernal : ce constat introduit la vanité – ce portrait des époux vieillissants le montre parfaitement – tout en le désamorçant par une foi placée dans l’art et l’imaginaire. Boorman mobilise de nombreuses références à l’Histoire des idées et des arts, si bien qu’il finit par se raboucher aux prémices du cinéma via la projection de sources lumineuses sur des supports – dans le cas dudit film, c’est le corps des acteurs qui sert d’écran de projection –, séquence psychédélique des plus marquantes qui évoque notamment l’œuvre de Méliès. Car au-delà d’être un conteur hors pair, John Boorman est un plasticien d’exception qui ne cesse de jouer sur les relations de porosité et d’imbrication entre le naturel et l’artificiel : il suffit de voir ce château des délices orné de bulles plastiques (des préservatifs géants, métaphore de la terreur qu’éprouve cette communauté devant la reproduction et la sauvagerie) pour aussitôt penser au monde aristocrate de Metropolis. En détricotant les masques du bon sauvage et du bon civilisé, en brisant les barrières qui servaient à cloisonner les classes sociales, John Boorman crée un microcosme tiraillé entre des pulsions de vie et de mort, en ce sens porteur de l’Histoire de l’humanité et de la révolte qui la fonde. Réflexion philosophique exigeante et passionnante, Zardoz n’en est pas moins un acte de foi dans le cinéma qui ouvre les espaces, aère les théories, fait exploser aux yeux les représentations d’un monde qui nous paraît à la fois douloureusement étranger et dangereusement connu. Tout est poussière, tout est magie : et de la mort elle-même naissent les formes artistiques qui l'immortaliseront.
    Phil MacGyver
    Phil MacGyver

    24 abonnés 187 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mai 2019
    Que Sean ait fait une belle Connery en signant pour ça à une époque où il voulait casser son image James Bondienne, je peux comprendre...
    Que John Boorman soit parti dans des délires psychédéliques philosophicos-pouêt-pouêt, je peux comprendre également. C'était l'époque, et puis faire un film est très difficile, surtout mener à bien une idée originale...

    Mais bon Sean... ton costume quoi... quand tu t'es regardé dans la glace, y'a rien qui t'a interpellé ? Sérieux ??
    T'avais fumé la moquette avec Boorman ou quoi ?!?
    Ou alors tout le monde avait enlevé les glaces sur le set par précaution pour pas affoler l'ami Sean, ou pour lui faire une farce...

    Autant y'a du ridicule qu'on peut comprendre tellement il peut être compliqué de retranscrire une vision à l'écran... autant ça...

    Certains trouveront dans ce film matière à s'instruire en se branlant la tête, d'autres de quoi rire en coin, voire sans retenue...
    Devinez le camps que j'ai choisi qui me pousse à mettre 4 étoiles... :

    Sinon le chef-costumier est toujours en fuite 46 ans après.
    A moins qu'il ne bénéficie d'un programme de protection. Gardes du corps, nouvelle adresse, nouveau nom... nouvelle profession (vaut mieux !)...
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    752 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 janvier 2019
    Si on occulte le côté kitsch du film et notamment le look assez proche du ridicule, il faut bien le reconnaître, de Sean Connery, on passe tout de même un très bon moment devant ce film de science-fiction britannique grâce à son univers bien étrange et aussi par rapport à la mise en scène de John Boorman qui propose des moments d'une certaine beauté. Côté casting, on retrouve avec plaisir de très jolies comédiennes, à l'image de Charlotte Rampling qui possède ici un charme indiscutable. Une oeuvre à découvrir même si évidemment son style si particulier ne pourra pas convenir à tout le monde.
    7eme critique
    7eme critique

    532 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 avril 2017
    Il est moins séduisant notre James Bond tout à coup...
    Nom de Dieu, qu'est-ce que c'est que cet accoutrement ridicule à base de slip, de bretelles, de moustache, de rouflaquettes et de natte... C'est avant tout cette touche de mauvais goût quant au personnage principal qui rendra le film à la fois nanardesque mais aussi culte. Mais attention, le film en lui-même n'est pas qu'une coquille vide et renfermera au final quelques qualités, notamment dans sa mise en scène très originale flirtant avec la patte d'Alejandro Jodorowsky, proposant un peu de sexe, de violence, une certaine puissance énigmatique et une recherche de spiritualité, nous laissant découvrir cette histoire comme si nous étions sous l'emprise d'une drogue. De la science-fiction kitsch certes, mais plus travaillée qu'elle n'y paraît. Ce voyage au paradis plutôt osé deviendra pour certains spectateurs, un aller simple vers l'enfer, ou une belle découverte originale et mystérieuse pour d'autres.
    Eselce
    Eselce

    1 392 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 novembre 2016
    Le monde et l'univers offrent un très bon potentiel. La technologie n'est pas mauvaise. Mais les costumes des exterminateurs dont fait partie Sean Connery sont proprement ridicules et tuent une grande partie de la crédibilité du film qui est, il faut l'avouer, très spécial !
    Jean-Luc L.
    Jean-Luc L.

    2 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 septembre 2015
    Jamais ce film fascinant pour l'époque n'a été autant d'actualité. Les villes flottantes prévue par les géants de l internet sont les futurs vortex... Seront nous les brutes ?
    Tupois Blagueur
    Tupois Blagueur

    66 abonnés 1 162 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 juillet 2015
    Les films de science-fiction des seventies ont une esthétique reconnaissable entre toutes : des couleurs flashies, des costumes et décors "futuristes" clinquants, et "Zardoz" en est un bon représentant. Cependant, contrairement à certains autres, il a (très) mal vieilli et apparaît aujourd'hui plus comme un nanar qu'un film conventionnel tant la tenue des personnages (inoubliable Sean Connery avec sa moustache et son slip magnifique et son espèce de salopette orange pétant) est ringarde. Heureusement pour nous, le film nous présente un univers construit et intéressant avec sa propre mythologie et quelques morceaux de bravoure spoiler: (le vol dans Zardoz et la transe collective par exemple)
    . Et si le scénario paraît de temps à autre confus, ne sachant pas trop où il avance, on ne s'ennuie pas. Dommage que John Boorman se soit un peu noyé dans son ambition (car oui ce long-métrage est ambitieux) et dans le visuel trop kitsch, sinon le résultat aurait été fort sympathique. Pas terrible de la part du réalisateur de "Delivrance"...
    Starwalker
    Starwalker

    2 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 mai 2015
    Ah un film de SF intelligent d'une époque où il y avait plus d'idées que de millions de dollars d'effets spéciaux! Ca fait plaisir de retrouver Sean Connery et ces belles filles d'une époque bénie, l'époque où on réfléchissait!
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 331 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 janvier 2015
    Peut-être est-ce parce que j’adore John Boorman et ses atmosphère bien étranges... Peut-être est-ce parce que j’ai découvert ce film il y a bien longtemps à une époque où je commençais mon exploration du cinéma... Mais il y a bien un fait que je ne peux pas renier : j’adore « Zardoz ». Alors oui, c’est un film qui est assez perché, qui peut paraître totalement kitsch sur d’innombrables aspects, mais c’est un film qui invente un univers, qui développe un propos et qui a la prétention d’explorer la nature humaine. C’est aussi bien une expérience sensitive qu’un propos intelligent. Et preuve de l’audace, encore aujourd’hui aucun film ne ressemble à « Zardoz ». Cette œuvre est encore aujourd’hui totalement unique, et c’est d’ailleurs peut-être aussi pour cela qu’elle me tient autant à cœur.
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    113 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 octobre 2014
    Zardoz!! La divinité inventé par un "Eternel" pour diriger les "Exterminateurs" et surtout permettre à l'un d'entre eux, Zed (Sean Connery), de pénétrer le Vortex pour mettre un terme à l'immortalité de cette communauté. Bon ce n'est pas le meilleur de Boorman, c'est clair, mais ce film de 1974 mérite le détour car parfaitement ancré dans cette époque d'un cinéma complètement libéré et grandement influencé par le mouvement hippie. Je me suis même dit que Boorman avait dû consommer de l'acide en écrivant ce scénario. Le début est excessivement mauvais à la découverte de ce masque de pierre volant et surtout Sean Connery en culotte rouge ridicule. C’est au bout de 20-30 min que l’intrigue commence à se mettre en place et que la mise en scène devient franchement intéressante à nous présenter cette soit disante population parfaitement organisée, en harmonie où les femmes sont quasi topless 24h/24h. Il y a donc une réflexion assez subtile sur l’humanité, le vivre ensemble, l’amour et surtout le sexe omniprésent dans les dialogues et les nombreux délires psychédéliques de Zed parfaitement réalisés sur le plan visuel. Vraiment un gros travail sur les jeux de lumière, les effets de miroirs, les entrelacements d’images dans les séquences hallucinatoires et les rituels. On s’attend un peu à la fin qui n’a rien d’extraordinaire mais Boorman a eu une excellente idée à la place du générique de fin de nous montrer le vieillissement accéléré de cette nouvelle famille avec la sublime 7ième symphonie de Beethoven : magnifique…
    Real C
    Real C

    112 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 décembre 2014
    Il existe des films connus que pour une seule image. Pour un seul visuel. L'image de César menaçant dans la planète des singes, Valérie Lemercier montrant son derrière dans...le Derrière. Celui là c'est pareil. On ne le connait que pour une seule chose : Sean Connery en slip rouge !

    En 2293, Zed, un exterminateur, brave l'interdit en entrant dans Zardoz et se retrouve dans une cité utopique peuplée par des hommes et des femmes appelés les éternelles. Découvrant la cruelle vérité sur ce "paradis", il va employer de détruire les fondements de cette société.

    Alors par où commencer. Difficile à dire. C'est un film comme Horns et Melancholia mais en pire. Un film qui est profond dans le fond et qui pose des questionnements existentielles sur la vie, la mort, la religion, la connaissance,... et de très bonnes questions. La mise en scène très subtile et John Boorman raconte le film de manière très intelligente en étant très visuel. En clair, dans le fond il s'agit d'un vrai chef d'oeuvre.

    Par contre, il pêche vraiment dans la forme. Ce film a très mal vieilli mais même en tenant compte de ça. Il est profondément nanar !!! Il y a trop de scènes qui sont ridicules dans la forme, des erreurs monstres, des faux raccord trop visibles et une esthétique vraiment douteuse (c'est quoi tout ces nus ?).

    Les acteurs, je n'en parle même pas. Sean Connery est sans conteste celui qui se ridiculise le moins et heureusement qu'il n'est en slip rouge uniquement dans 2/3 du film ( spoiler: il est même plus ridicule en marié qu'en slip rouge perso
    ). Les autres acteurs sont pires. Charlotte Rampling retourne sa veste à vitesse grand V, Les figurants sont d'un ridicule sans nom pendant une bonne partie du film et le gars qui joue le rôle d'Arthur Frayn, le grand méchant ( spoiler: il est méchant au faite ?
    ), est tordant rien qu'avec ces moustaches dessinés. C'est le meilleur perso de film. Tous l'univers est tellement barré que ça en est plus que drôles.

    En conclusion, ce film est trop mauvais pour être un chef d'oeuvre et trop drôle pour être un navet. Mais trop bien conçu pour être un nanar. C'est juste un film qui raconte beaucoup de choses profondes, mais qui a une esthétique visuelle tellement bizarre et wtf qu'on ne parvient pas à prendre vraiment au sérieux une seule seconde. Je le recommande séance tenante à tous les fans du grands Sean. Par contre, la version française fait que ce film rentre allègrement dans la catégorie des nanars !
    Acidus
    Acidus

    720 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 septembre 2014
    Certes, « Zardoz » ne constitue pas le meilleur film de John Boorman mais son incursion dans la science fiction n'est pas aussi mauvaise que cela, loin s'en faut. Déjà, le scénario présente de nombreux points inétressants et si certaines choses ont un peu vieilli (on ressent fortement l'influence du mouvement hippie chez les immortels) et paraissent kitsch aujourd'hui (les costumes et décors), elles collent bien à l'univers proposé et conserve leur charme. Il y a bien plusieurs passages tellement perchés qui empêchent une compréhension totale de l'intrigue mais globalement, « Zardoz » est un bon film de science fiction.
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