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Sagramanga
23 abonnés
87 critiques
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4,0
Publiée le 16 janvier 2009
ZARDOZ fait partie de ces films “mythiques” des années 70, comme LA PLANETE DES SINGES ou BARBARELLA, qu'on rêve de voir un jour... et dès qu'on les a vu s'impose l'évidence : mais comment un truc aussi ridicule peut-il être devenu “culte” ?? Les premières scènes du film laissent pourtant présager du meilleur : des cavaliers aux masques de théâtre grec à deux visages reçoivent d'un vaisseau volant en forme de masque géant (à ben oui, on est pas dans un film réaliste...) des armes pour “purifier le monde” et chasser la vie qui n'est que dilapidation de la semence et de l'énergie. L'injonction de leur dieu Zardoz : “The gun is good - the penis is evil”, inversion des valeurs des plus excitante, annonce une suite prometteuse. Mais le film s'enlise bien vite dans des dialogues empreints d'une rhétorique mystique assez incompréhensible, et dans un plaidoyer passablement contradictoire contre les dérives de la civilisation. L'indigence de moyens dans laquelle Boorman semble se complaire apporte elle une certaine candeur naïve assez amusante aux artifices d'un style typique 70” devenu très kitsch : décors issus d'un magasin d'accessoires de théâtre, bulles et polyéthylène gonflables tenant lieu d'architectures futuristes, vêtures dignes d'une secte baba-cool. C'est pourtant au milieu de ce bazar de délire spiritualiste pseudo-écologique, entre grotesque et lamentable que s'épanouit le véritable trésor du film, l'incroyable présence de Charlotte Rampling, sa grâce et sa beauté de sirène qui magnétise chacune de ses apparitions. Car ici, le vrai mythe, c'est Elle.
Un film trop bizzare, pourtant j'ai bien aimé le thème. Mais c'est trop lent et ça manque de rythme, c'est kitsch (dans le mauvais sens), et pas captivant pour un sou. Je n'ai pas adhéré aux délires du réalisateur.
Zardoz est un film au charme certain, si si. Il fait partie de ces productions SF à moyen budget des années 60 à 80 qui compensèrent leur manque relatif de moyens, et même le sublimèrent, par un sens très poétique de la cinématographie, que ne pourraient jamais restituer les giga-blockbusters FX de nos dernières années. Les effets spéciaux vieillisent, la narration n'est pas simple à suivre, mais le film n'en affirme que davantage sa propre identité : on n'est pas dans du divertissement de masse, et diviser le public semble être un effet recherché. J'aurais pu me limiter à 4 étoiles car j'avoue avoir un peu décroché sur la fin, mais les scènes bucoliques et futuristes du début sur fond de flûte m'ont tellement fait planer qu'un petit supplément s'impose.
Alors oui, ça a terriblement vieilli... Boorman aimait le symbolique et l'ostentatoire, et les maniait parfois avec mauvais gout... mais ce film a une vraie force, et il est d'une extréme intelligence. Sean Connery, grace à son charisme, parvient à ne pas ètre ridicule malgré le slip rouge...
Jamais Kitch n'aura été aussi grandiose, si en plus on a droit à Monshieu Shean en string à paillette pour cette leçon de cinéma, alors on se tais et on profite.
Bonjour tout le monde, Wizard of Oz ( le magicien d' Oz) donne pour le réalisateur John Boorman Zard' Oz donc Zardoz. Ce grand film est une sublime métaphore des sociétés humaines. La lucidité du message de ce cinéaste irlandais reste toujours d' actualité. Cordialement. Gérard Michel
J'ai vu ce film pour la première fois j'avais 16 ans! Il est très différent des autres films que j'avais pu voir auparavant. Je fus surpris par l'étrangeté du récit, des costumes, des décors. Revu plusieurs fois depuis, j'adore l'histoire et le héros Zed joué par un des meilleurs acteurs de l'histoire du cinéma. Sean Connery joue à merveille dans ce film de Science Fiction spirituel psychédélique ! J'adore cet acteur dans ce rôle et c'est pourquoi...depuis, j'ai adopté la moustache de Zed !
A quoi sert le savoir ultime? Est-ce que l'immortalité apporte la vie éternelle? Est-ce que la vie doit être éternelle? Où allons nous? Zardoz est un film étonnant et culte.
Un film vraiment bizarre, je dirai même déroutant, c'est kitsch comme c'est pas permis. Zardoz malgré tout est un film "culte" malgré ses nombreuses allures du nanar. En terme d'extravangance on a pas fait mieux (je parle bien sur de la tenue insolite de Sean Connery). Ce film est surement le fruit d'un trip particulier de Boorman. On a réellement du mal a rédiger une critique constructive sur ce film tant il est particulier.
Une fois passé le coté archi kitsch du film (Sean Connery en moule bite rouge, cartouchiere autour du torse velu, et grande botte noire) qui fait aussi son charme, on découvre un film étonnant. Le réalisateur y dévéloppe des idées interressantes sur l'immortalité, le savoir, l'imaginaire et la liberté. Une démocratie parfaite (les "vortex"), eternelle, cultivée, aux naissances controlées et en harmonie avec la nature peut elle etre viable? Après tout, l'immortalité, c'est long... surtout vers la fin !
ÉPIQUE !!! Une merveille ! Au début on rigole bien... et au fur et à mesure, on comprend que ce film nous fait voyager bien au-delà de ce qu'on pouvait imaginer !! Il apporte un vrai questionnement sur la réalité et notre état animal ! À vouloir en faire trop, ce film part un peu dans tous les sens (et certains le lui reprocheront sûrement) mais je trouve pourtant que ces ouvertures, même si non justifiées, ouvrent le film vers un Tout absolu ! Vive ZARDOZ !!!
J'ai encore essayé aujourd'hui. Rien n'y fait, je n'arrive absolument pas à accrocher. J'adore pourtant le cinéma et peut vraiment tout imaginer, mais là...je me suis même endormi. Je vais être obligé de le couper avant la fin, ça me donne la nausée.
Très bon film sur un scénario futuriste intéressant. Rappelant un peu les Eloïs de "La machine à explorer le temps". De plus, toujours très drôle de voir Sean Connery en slip rouge !
Ce film esr bourrer d'invraisemblance , des le debut on vois la tete du type qui flotte dans l'air a la maniere d'un jeu de casse briques , vers la fin Zed dis a Consuella tu m'a tjr aimer alors qu'elle voulais sa mort au 5 minutes dans le film et cette tete flottante qui dis que le penis c'est le mal.., aussi quand Friend se mets a parler a l'envers et les autres dans la piece se mette a rire puis a l'applaudir ca pas de but , apresla vision du film qui m'a paru long la seule conclusion que j'ai pu en tirer c'es que le prducteur et les acteurs etais tous sur le LSD