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Alexcherbourg
19 abonnés
103 critiques
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2,0
Publiée le 16 mars 2015
Incorporez parmi les meilleurs de leur temps (Gerard Brach, coscénariste du "bal des vampires", Agenore Incrocci, coscénariste de "Le Bon, la Brute et le Truand", Risi, réalisateur de "Le Fanfaron", "Parfum de Femme", et "Au nom du Peuple Italien", Ugo Tognazzi, Michel Serrault, Carole Bouquet, Michael Lonsdale, Armando Nannuzzi, directeur de la photographie de "Ludwig ou le Crépuscule des Dieux" et de "Les Damnés") dans un même film et vous obtiendrez des pets, des paires de sein, des enchainements rocambolesques et surtout une immense bouffonnerie. Le film n'est pas exempt d'éclats, tant dans certains dialogues brillants que dans la lumière et la gestion de l'espace, et satisfait ainsi notre ego plus prompt à se laisser aller à la bouffonnerie quand elle est le fruit de gens intelligents. Le contraste entre certains acteurs qui jouent sérieusement et de grands farceurs apporte indéniablement un plus au film. Reste que ce que l'Histoire retiendra éternellement de ce film sont, rondes et équilibrées comme une pleine lune un jour de grande marée, les fesses, parfaitement fermes et assurées, offertes au spectateur comme à sa cour, du roi Dagobert interprété par Coluche.
Moi je me suis régalé avec ce film, qui n'est pas un chef-d'oeuvre certes, mais réjouit le coeur par sa truculence et son esprit rabelaisien. Coluche est formidable, Carole Bouquet plus belle et inquiétante que jamais, Tognazzi excellent. Serrault au top (comme qd il se flagelle...). Les filles sont superbes et appétissantes à souhait. Le film ne se prend pas au sérieux (c'est pas comme Guillaume Canet), c'est drôle, païen, paillard et bacchique. Un régal.
Avec louis de funes, bourvil et d'autres coluche fut l'une des valeurs sur des années 70/80 du cinemas français, et comme à son habitude dans ce film il s'amuse et fait le pitre dans cette comedie burlesque mais ô tellement drole. Coluche tu nous manque..
Certes ce n'est pas un bon film, c'est tout juste moyen car jamais vraiment dans la comédie même si certaines scènes sont croquignolesques, et pas vraiment un drame historique car pas assez dramatique. On retiendra donc une prestation de Coluche pas trop mauvaise même s'il fait un peu trop de Coluche! Les décors ne sont pas trop mal mais rarement grandioses ou importants. A voir tout d'abord par les fans de Coluche puis ensuite par les amateurs de comédie très moyenne.
« Le Bon roi Dagobert » est une comédie qui aurait pu exploiter brillamment ce pan de l'histoire française mais qui se perd dans un humour lourdingue et une vulgarité incessante. Malgré un casting prometteur composé de figures telles que Coluche, Michel Serrault et Carole Bouquet, le film échoue à captiver, se contentant de blagues salaces et d'érotisme facile qui étirent péniblement le spectacle sur 110 longues minutes. Le scénario est faible, les acteurs semblent jouer en roue libre, ce qui rend l'ensemble laborieux et franchement inutile. Cette tentative de comédie s'avère être un navet exaspérant où même les costumes et la mise en scène, qui auraient pu sauver le film, tombent à plat face à l'absurdité des gags et des situations. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Très mal joué à l’exception de Carole Bouquet, très mal doublé surtout par les interprètes eux-mêmes, ce Bon Roi Dagobert a néanmoins le mérite d’offrir un cadre historique particulièrement bien reproduit. Si l’on prend la peine de passer outre le principal défaut que je viens de citer et outre également un scénario prétexte, on devra reconnaître que cette coproduction franco-italienne, comme les années ‘80 en enfantèrent encore en forme de chant du cygne, n’est pas complètement ratée non plus. Rappelons-nous du Bon Roi Dagobert interprété 20 ans plus tôt par un Fernandel en-dessous de tout, soutenu par une kyrielle d’acteurs et d’actrices pourtant bien en vue et qui était, lui, d’un niveau proche du zéro absolu.
Ce film est donc un sacré paradoxe. Ainsi, la musique du générique (chantée en latin) et thème récurrent de la BO est particulièrement enlevé tandis que le reste de la musique du film est criarde et insupportable. Les dialogues sont vulgaires et le scénario mal découpé mais la reconstitution historique, impressionnante, dans les objets, les mœurs et les conditions de vie, jusque dans la pratique du latin, est quasiment parfaite, si l’on excepte l’évocation de la France (terme inconnu au VIIème siècle) des Mameluks et des califes. La présence au scénario de Gérard Brach, par ailleurs co-scénariste de Jean de Florette (Claude Berri, 1986) et du Nom de la Rose (Jean-Jacques Annaud, 1986 aussi), explique sans doute ce sursaut de qualité et de finesse dans un océan de grossièretés (volontairement?) provocantes.
Au final, on peut se demander l’intérêt d’un tel film qui, pourtant, à bien des moments, pouvait offrir des pépites d’humour, d’histoire et de second degré.
1984 Le bon roi Dagobert - 27 ans A la fin de la première heure de film, Carole Bouquet prend un bain de lait d'annesse en tenant un pigeon. L'oiseau s'envole et Carole sort du liquide blanc, toute nue nous dévoilant sa jolie paire de fesses. acheter le film en dvd http://starsnues.zlio.net/p1161865.html