Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Excessif
par David A.
Un film d'une intensité rare sur la gravité du silence.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Christophe Carrière
www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Olivier Delcroix
Un grand film plein de souffrance et de tolérance.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) le film met en scène une tragédie intimiste, qui élargit le cercle des personnages, creuse la profondeur du temps, accuse la solitude des êtres.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La Rédaction
Mais l'émotion du propos, déjà forte en elle-même, est amplifiée par l'intense présence d'un générique épatant.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir le site Studio Ciné Live .
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Brazil
par Alexandra Louvet
Comment grandir sans connaître son histoire? Comment pardonner les non-dits? Ducastel et Martineau ne répondent pas, préférant nous laisser juges et observateurs d'une famille qui se délite pour mieux renaître ensuite.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Elle
par Héléna Villovitch
Bouleversant ? on n'ira pas jusque là. A voir surtout si l'on est un inconditionnel des balades du dimanche dans la forêt solognote...
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans ce huit clos étouffant, (...) les réalisateurs ont su peindre l'âpreté des rapports familiaux (...) Même si la direction d'acteurs raidit trop souvent leur jeu, les comédiens donnent toute son étoffe à ce récit intimiste.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
[Guy Marchand] incarne un vieil homme émouvant, plus sensible et secret qu'il n'y paraît. (...) Un beau contre-emploi pour cet acteur...
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Pari demy-lanzmannien, pari demi-tenu ou demi-perdu. Plus qu'un éclairage sur un aspect particulier de la Shoah, on retient de ce film son casting génial (...) Rien que pour eux, ce film vaut le coup.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
Du pur cinéma d'auteur, un peu maniéré, mais en aucun cas hermétique: Ducastel et Martineau ne filment que des scènes utiles (...) où l'émotion le dispute à une fine observation des relations humaines et familiales.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
L'Arbre et la forêt, soigné dans l'écriture, force le respect en levant le voile sur ce qui demeure encore un tabou.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
L'Arbre et la Forêt (...) ne parvient jamais à se libérer d'une distance un peu paralysante. C'est le côté fossile du cinéma à jamais ancré dans les années 90 (...) de Ducastel et Martineau, ce naturalisme buté où l'on s'obstine à continuer de payer en francs et à rêver que les années 2000 n'ont pas eu lieu."
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Libération
par La Rédaction
Le duo de cinéastes (Jeanne et le garçon formidable) a troqué sa fantaisie post-Demy pour un réalisme sensible drapé de dignité et filmé avec froideur. Pas sûr hélas! que l'on ait gagné au change.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Bauche
L'Arbre et la forêt est en effet un drame psychologique étouffé par la musique de Wagner qui ronfle incessamment sur un scénario cousu de fil blanc.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Ducastel et Martineau (...) signent un film aussi maladroit qu'épais (...) des dialogues à la fois explicatifs, empesés et redondants qui finissent par faire virer le film à la question de cours. Seule Catherine Mouchet, géniale en ex-bru distanciée et caustique, tire ici avec finesse son épingle du jeu. C'est peu.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Excessif
Un film d'une intensité rare sur la gravité du silence.
L'Express
www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Un grand film plein de souffrance et de tolérance.
Le Monde
(...) le film met en scène une tragédie intimiste, qui élargit le cercle des personnages, creuse la profondeur du temps, accuse la solitude des êtres.
Ouest France
Mais l'émotion du propos, déjà forte en elle-même, est amplifiée par l'intense présence d'un générique épatant.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live .
Brazil
Comment grandir sans connaître son histoire? Comment pardonner les non-dits? Ducastel et Martineau ne répondent pas, préférant nous laisser juges et observateurs d'une famille qui se délite pour mieux renaître ensuite.
Elle
Bouleversant ? on n'ira pas jusque là. A voir surtout si l'on est un inconditionnel des balades du dimanche dans la forêt solognote...
La Croix
Dans ce huit clos étouffant, (...) les réalisateurs ont su peindre l'âpreté des rapports familiaux (...) Même si la direction d'acteurs raidit trop souvent leur jeu, les comédiens donnent toute son étoffe à ce récit intimiste.
Le Journal du Dimanche
[Guy Marchand] incarne un vieil homme émouvant, plus sensible et secret qu'il n'y paraît. (...) Un beau contre-emploi pour cet acteur...
Les Inrockuptibles
Pari demy-lanzmannien, pari demi-tenu ou demi-perdu. Plus qu'un éclairage sur un aspect particulier de la Shoah, on retient de ce film son casting génial (...) Rien que pour eux, ce film vaut le coup.
Première
Du pur cinéma d'auteur, un peu maniéré, mais en aucun cas hermétique: Ducastel et Martineau ne filment que des scènes utiles (...) où l'émotion le dispute à une fine observation des relations humaines et familiales.
Télérama
L'Arbre et la forêt, soigné dans l'écriture, force le respect en levant le voile sur ce qui demeure encore un tabou.
Cahiers du Cinéma
L'Arbre et la Forêt (...) ne parvient jamais à se libérer d'une distance un peu paralysante. C'est le côté fossile du cinéma à jamais ancré dans les années 90 (...) de Ducastel et Martineau, ce naturalisme buté où l'on s'obstine à continuer de payer en francs et à rêver que les années 2000 n'ont pas eu lieu."
Libération
Le duo de cinéastes (Jeanne et le garçon formidable) a troqué sa fantaisie post-Demy pour un réalisme sensible drapé de dignité et filmé avec froideur. Pas sûr hélas! que l'on ait gagné au change.
Positif
L'Arbre et la forêt est en effet un drame psychologique étouffé par la musique de Wagner qui ronfle incessamment sur un scénario cousu de fil blanc.
TéléCinéObs
Ducastel et Martineau (...) signent un film aussi maladroit qu'épais (...) des dialogues à la fois explicatifs, empesés et redondants qui finissent par faire virer le film à la question de cours. Seule Catherine Mouchet, géniale en ex-bru distanciée et caustique, tire ici avec finesse son épingle du jeu. C'est peu.