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A l'image de ce héros mineur dont la persistance morale confine au sublime, la mise en scène du film joue une partition insolite, hétérodoxe, à la sourdine subversive. Héros juif, acteur wallon, village béarnais, design pop, musique soul rarissime et déchirante, mélo gai... A se demander par quel miracle tout cela tient debout.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Toute la beauté du film, suspendu comme l'oncle et le neveu entre la vie et son à-côté (...), tient dans cette opposition, dans cet état de permanente fébrilité, dans cet entre-deux qu'Axelle Ropert (...) choisit de déployer à chaque strate de son (court) mélodrame.
Osé, toujours à côté, le film nargue ainsi la mort et les conventions en leur opposant de la grâce, par l'entremise de dialogues anti-naturalistes, très poétiques. (...) Singulier film-oxymore d'une grande réalisatrice en devenir.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Maîtrisé, stylisé, singulier, ce film intimiste brille aussi par la force de son casting "populaire". (...) Rencontrer "La Famille Wolberg", c'est l'aimer.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
On connaissait François Damiens pour ses apparitions dans des films comiques (...). Il montre, dans ce premier film d'Axelle Ropert, qu'il peut également s'attaquer aux rôles dramatiques (...).
La critique complète est disponible sur le site Metro
Gentillet, prévisible et carrément désuet au départ, La Famille Wolberg devient assez féroce et jubilatoire à partir du moment où chaque personnage montre son vrai visage (...)
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le premier tiers du film est bancal, presque ingrat (...). Mais traverser ce tunnel vaut la peine, car le film prend une autre dimension à mesure que l'on cerne mieux le personnage.
Ce premier long-métrage d'Axelle Ropert plein de bons sentiments dénonce les fissures d'un patriarcat. François Damiens joue à merveille (...) Ce n'est peut-être pas suffisant.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Un premier film qui s'inscrit dans une tonalité et une démarche originales (...) Mais (...) le mélodrame ne parvient pas à se défaire de ces partis pris qui fonctionnent comme des artifices un peu guindés.
(...) le décalage systématique du ton finit par rendre le propos fuyant comme une aiguille. C'est à la fois la force et la faiblesse de ce film plein de trous, imparfait mais vivant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Plus proche de la forme préhistorique dans laquelle pataugeaient Les Beaux gosses de Sattouf que de ses rêves de dandysme andersonnien, cet horizon gentiment adulescent achève de rendre La Famille Wolberg à son statut de petite chose irritante et parfois charmante.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
La Famille Wolberg aurait pu posséder une intensité théâtrale, mais les comédiens semblent tellement peu inspirés qu'il devient vite difficile, en dépit d'un sujet fort, de ne pas sombrer dans l'ennui.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Etrange comédie familiale (...) Le film hésite entre l'humour, la gravité et l'amertume (...) reste un sentiment de malaise tenace, accentué par les images d'un hiver sinistre dans une petit ville de province terne.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
(...) Axelle Ropert ne va pas (...) au bout de la stylisation de son univers, qui évoque timidement le Wes Anderson de "la Famille Tenenbaum". Situé dans cet entredeux cotonneux, le film est singulier mais pas abouti.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Charlie Hebdo
(...) un méo léger qui marque les débuts prometteurs derrières la caméra d'une ancienne critique de cinéma, Axelle Ropert.
Le Monde
A l'image de ce héros mineur dont la persistance morale confine au sublime, la mise en scène du film joue une partition insolite, hétérodoxe, à la sourdine subversive. Héros juif, acteur wallon, village béarnais, design pop, musique soul rarissime et déchirante, mélo gai... A se demander par quel miracle tout cela tient debout.
Les Inrockuptibles
Toute la beauté du film, suspendu comme l'oncle et le neveu entre la vie et son à-côté (...), tient dans cette opposition, dans cet état de permanente fébrilité, dans cet entre-deux qu'Axelle Ropert (...) choisit de déployer à chaque strate de son (court) mélodrame.
20 Minutes
Ce film iconoclaste révèle une jeune cinéaste très douée (...).
Excessif
Osé, toujours à côté, le film nargue ainsi la mort et les conventions en leur opposant de la grâce, par l'entremise de dialogues anti-naturalistes, très poétiques. (...) Singulier film-oxymore d'une grande réalisatrice en devenir.
Le Figaroscope
Affection, incompréhension, jalousie, autorité, angoisse, humour... Portrait d'une famille juive mise en scène avec une fantaisie attachante.
Le Parisien
Maîtrisé, stylisé, singulier, ce film intimiste brille aussi par la force de son casting "populaire". (...) Rencontrer "La Famille Wolberg", c'est l'aimer.
Libération
Un premier long métrage réussi sur un patriarche débordé par son clan.
Metro
On connaissait François Damiens pour ses apparitions dans des films comiques (...). Il montre, dans ce premier film d'Axelle Ropert, qu'il peut également s'attaquer aux rôles dramatiques (...).
Studio Ciné Live
Voir sur Studio Ciné Live
Télérama
Un premier film gracieux
Brazil
Gentillet, prévisible et carrément désuet au départ, La Famille Wolberg devient assez féroce et jubilatoire à partir du moment où chaque personnage montre son vrai visage (...)
Cahiers du Cinéma
Le premier tiers du film est bancal, presque ingrat (...). Mais traverser ce tunnel vaut la peine, car le film prend une autre dimension à mesure que l'on cerne mieux le personnage.
Elle
Ce premier long-métrage d'Axelle Ropert plein de bons sentiments dénonce les fissures d'un patriarcat. François Damiens joue à merveille (...) Ce n'est peut-être pas suffisant.
L'Express
www.lexpress.fr
L'Humanité
Vieillot, aléatoire, déroutant, mais attachant.
Le Journal du Dimanche
Audacieux pari que celui de repousser les limites de l'art du décalage, des situations au bord de l'étrange et du bon goût.
Le Point
Voir le site du Point
Ouest France
Un premier film qui s'inscrit dans une tonalité et une démarche originales (...) Mais (...) le mélodrame ne parvient pas à se défaire de ces partis pris qui fonctionnent comme des artifices un peu guindés.
Positif
Le talent de la réalisatrice paraît moins dans l'enchaînement cinématographique que dans l'ecriture des mots.
Première
(...) le décalage systématique du ton finit par rendre le propos fuyant comme une aiguille. C'est à la fois la force et la faiblesse de ce film plein de trous, imparfait mais vivant.
Chronic'art.com
Plus proche de la forme préhistorique dans laquelle pataugeaient Les Beaux gosses de Sattouf que de ses rêves de dandysme andersonnien, cet horizon gentiment adulescent achève de rendre La Famille Wolberg à son statut de petite chose irritante et parfois charmante.
Filmsactu
La Famille Wolberg aurait pu posséder une intensité théâtrale, mais les comédiens semblent tellement peu inspirés qu'il devient vite difficile, en dépit d'un sujet fort, de ne pas sombrer dans l'ennui.
La Croix
Etrange comédie familiale (...) Le film hésite entre l'humour, la gravité et l'amertume (...) reste un sentiment de malaise tenace, accentué par les images d'un hiver sinistre dans une petit ville de province terne.
TéléCinéObs
(...) Axelle Ropert ne va pas (...) au bout de la stylisation de son univers, qui évoque timidement le Wes Anderson de "la Famille Tenenbaum". Situé dans cet entredeux cotonneux, le film est singulier mais pas abouti.