Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
(...) un méo léger qui marque les débuts prometteurs derrières la caméra d'une ancienne critique de cinéma, Axelle Ropert.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
A l'image de ce héros mineur dont la persistance morale confine au sublime, la mise en scène du film joue une partition insolite, hétérodoxe, à la sourdine subversive. Héros juif, acteur wallon, village béarnais, design pop, musique soul rarissime et déchirante, mélo gai... A se demander par quel miracle tout cela tient debout.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Toute la beauté du film, suspendu comme l'oncle et le neveu entre la vie et son à-côté (...), tient dans cette opposition, dans cet état de permanente fébrilité, dans cet entre-deux qu'Axelle Ropert (...) choisit de déployer à chaque strate de son (court) mélodrame.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
par La rédaction
Ce film iconoclaste révèle une jeune cinéaste très douée (...).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Excessif
par Eric Vernay
Osé, toujours à côté, le film nargue ainsi la mort et les conventions en leur opposant de la grâce, par l'entremise de dialogues anti-naturalistes, très poétiques. (...) Singulier film-oxymore d'une grande réalisatrice en devenir.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Figaroscope
par La rédaction
Affection, incompréhension, jalousie, autorité, angoisse, humour... Portrait d'une famille juive mise en scène avec une fantaisie attachante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Marie Sauvion
Maîtrisé, stylisé, singulier, ce film intimiste brille aussi par la force de son casting "populaire". (...) Rencontrer "La Famille Wolberg", c'est l'aimer.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Eric Loret
Un premier long métrage réussi sur un patriarche débordé par son clan.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par La rédaction
On connaissait François Damiens pour ses apparitions dans des films comiques (...). Il montre, dans ce premier film d'Axelle Ropert, qu'il peut également s'attaquer aux rôles dramatiques (...).
La critique complète est disponible sur le site Metro
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir sur Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Cécile Mury
Un premier film gracieux
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Johan Girard
Gentillet, prévisible et carrément désuet au départ, La Famille Wolberg devient assez féroce et jubilatoire à partir du moment où chaque personnage montre son vrai visage (...)
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le premier tiers du film est bancal, presque ingrat (...). Mais traverser ce tunnel vaut la peine, car le film prend une autre dimension à mesure que l'on cerne mieux le personnage.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Elle
par Françoise Delbecq
Ce premier long-métrage d'Axelle Ropert plein de bons sentiments dénonce les fissures d'un patriarcat. François Damiens joue à merveille (...) Ce n'est peut-être pas suffisant.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Christophe Carrière
www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par La rédaction
Vieillot, aléatoire, déroutant, mais attachant.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Audacieux pari que celui de repousser les limites de l'art du décalage, des situations au bord de l'étrange et du bon goût.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Florence Colombani
Voir le site du Point
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par La rédaction
Un premier film qui s'inscrit dans une tonalité et une démarche originales (...) Mais (...) le mélodrame ne parvient pas à se défaire de ces partis pris qui fonctionnent comme des artifices un peu guindés.
Positif
par Eithne O'Neill
Le talent de la réalisatrice paraît moins dans l'enchaînement cinématographique que dans l'ecriture des mots.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Danel
(...) le décalage systématique du ton finit par rendre le propos fuyant comme une aiguille. C'est à la fois la force et la faiblesse de ce film plein de trous, imparfait mais vivant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Plus proche de la forme préhistorique dans laquelle pataugeaient Les Beaux gosses de Sattouf que de ses rêves de dandysme andersonnien, cet horizon gentiment adulescent achève de rendre La Famille Wolberg à son statut de petite chose irritante et parfois charmante.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Filmsactu
par Elodie Leroy
La Famille Wolberg aurait pu posséder une intensité théâtrale, mais les comédiens semblent tellement peu inspirés qu'il devient vite difficile, en dépit d'un sujet fort, de ne pas sombrer dans l'ennui.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Etrange comédie familiale (...) Le film hésite entre l'humour, la gravité et l'amertume (...) reste un sentiment de malaise tenace, accentué par les images d'un hiver sinistre dans une petit ville de province terne.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
(...) Axelle Ropert ne va pas (...) au bout de la stylisation de son univers, qui évoque timidement le Wes Anderson de "la Famille Tenenbaum". Situé dans cet entredeux cotonneux, le film est singulier mais pas abouti.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Charlie Hebdo
(...) un méo léger qui marque les débuts prometteurs derrières la caméra d'une ancienne critique de cinéma, Axelle Ropert.
Le Monde
A l'image de ce héros mineur dont la persistance morale confine au sublime, la mise en scène du film joue une partition insolite, hétérodoxe, à la sourdine subversive. Héros juif, acteur wallon, village béarnais, design pop, musique soul rarissime et déchirante, mélo gai... A se demander par quel miracle tout cela tient debout.
Les Inrockuptibles
Toute la beauté du film, suspendu comme l'oncle et le neveu entre la vie et son à-côté (...), tient dans cette opposition, dans cet état de permanente fébrilité, dans cet entre-deux qu'Axelle Ropert (...) choisit de déployer à chaque strate de son (court) mélodrame.
20 Minutes
Ce film iconoclaste révèle une jeune cinéaste très douée (...).
Excessif
Osé, toujours à côté, le film nargue ainsi la mort et les conventions en leur opposant de la grâce, par l'entremise de dialogues anti-naturalistes, très poétiques. (...) Singulier film-oxymore d'une grande réalisatrice en devenir.
Le Figaroscope
Affection, incompréhension, jalousie, autorité, angoisse, humour... Portrait d'une famille juive mise en scène avec une fantaisie attachante.
Le Parisien
Maîtrisé, stylisé, singulier, ce film intimiste brille aussi par la force de son casting "populaire". (...) Rencontrer "La Famille Wolberg", c'est l'aimer.
Libération
Un premier long métrage réussi sur un patriarche débordé par son clan.
Metro
On connaissait François Damiens pour ses apparitions dans des films comiques (...). Il montre, dans ce premier film d'Axelle Ropert, qu'il peut également s'attaquer aux rôles dramatiques (...).
Studio Ciné Live
Voir sur Studio Ciné Live
Télérama
Un premier film gracieux
Brazil
Gentillet, prévisible et carrément désuet au départ, La Famille Wolberg devient assez féroce et jubilatoire à partir du moment où chaque personnage montre son vrai visage (...)
Cahiers du Cinéma
Le premier tiers du film est bancal, presque ingrat (...). Mais traverser ce tunnel vaut la peine, car le film prend une autre dimension à mesure que l'on cerne mieux le personnage.
Elle
Ce premier long-métrage d'Axelle Ropert plein de bons sentiments dénonce les fissures d'un patriarcat. François Damiens joue à merveille (...) Ce n'est peut-être pas suffisant.
L'Express
www.lexpress.fr
L'Humanité
Vieillot, aléatoire, déroutant, mais attachant.
Le Journal du Dimanche
Audacieux pari que celui de repousser les limites de l'art du décalage, des situations au bord de l'étrange et du bon goût.
Le Point
Voir le site du Point
Ouest France
Un premier film qui s'inscrit dans une tonalité et une démarche originales (...) Mais (...) le mélodrame ne parvient pas à se défaire de ces partis pris qui fonctionnent comme des artifices un peu guindés.
Positif
Le talent de la réalisatrice paraît moins dans l'enchaînement cinématographique que dans l'ecriture des mots.
Première
(...) le décalage systématique du ton finit par rendre le propos fuyant comme une aiguille. C'est à la fois la force et la faiblesse de ce film plein de trous, imparfait mais vivant.
Chronic'art.com
Plus proche de la forme préhistorique dans laquelle pataugeaient Les Beaux gosses de Sattouf que de ses rêves de dandysme andersonnien, cet horizon gentiment adulescent achève de rendre La Famille Wolberg à son statut de petite chose irritante et parfois charmante.
Filmsactu
La Famille Wolberg aurait pu posséder une intensité théâtrale, mais les comédiens semblent tellement peu inspirés qu'il devient vite difficile, en dépit d'un sujet fort, de ne pas sombrer dans l'ennui.
La Croix
Etrange comédie familiale (...) Le film hésite entre l'humour, la gravité et l'amertume (...) reste un sentiment de malaise tenace, accentué par les images d'un hiver sinistre dans une petit ville de province terne.
TéléCinéObs
(...) Axelle Ropert ne va pas (...) au bout de la stylisation de son univers, qui évoque timidement le Wes Anderson de "la Famille Tenenbaum". Situé dans cet entredeux cotonneux, le film est singulier mais pas abouti.