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    Vénus noire
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    3,0
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    sebmatt
    sebmatt

    51 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 novembre 2010
    Quel domage sujet passionnant mais mal développe trop long on en arrive a vouloir qu elle meurt tellement on se fait chier a trop vouloir dénoncer le réalisateur se perd
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 2 novembre 2010
    long racoleur...même si le propos est intéressant,, le réalisateur transforme aussi ses spectateurs en voyeur et ça ne m'intéresse pas, c'est même pénible, je n'ai pas vu les 20 dernières minutes!
    La_Mort_Dans_L_Oeil
    La_Mort_Dans_L_Oeil

    28 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 novembre 2010
    Comment ne pas éprouver beaucoup de tendresse pour les films qui n'épargnent pas les spectateurs que nous sommes...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 juillet 2011
    C'est un film obscène ! empreint de perversité .

    il aurait du être interdit au moins de 16 ans .

    C'est une grande pièce de théâtre macabre pour voyeuriste ( chambre et roulotte) .

    beaucoup trop longue avec des scènes au ralentis repasser plusieurs fois.
    de surcroît il y avait des ricanements dans la salle.

    le réalisateur devra assumer les conséquences de ces ricanements ainsi que cette humiliation.

    il a bien profiter sur cette pauvre actrice, il l'a humilier.

    Ce réalisateur a sali la mémoire de SAARTJIE BAARTMAN et déshonorer tout le continent Africain , Caraibéen et Américain .

    j'ajouterai que c'est un film négationniste .

    Il manque la moitié de l'histoire dans les 2 h 44 une 1h22 était nécessaire sur les réticences et plusieurs refus de la France qui ont duré 8 ans .

    avant de restituer le corps à L' ANC de NELSON MANDELA .

    avec des négociations tendus entre madame l'ambassadrice d'Afrique du sud à paris et l'état Français .

    ensuite une cérémonie officielle dont il existes des images à la réception du corps en Afrique du sud afin de rendre à SAARTJIE enfin un hommage pour toutes ces souffrances ainsi que de la dignité pour une des notre.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 1 novembre 2010
    Ce film me pousse à écrire ma première critique sur ce site, même si j’en avais envie depuis très longtemps. La vision de ce film ce weekend m'a amené à réfléchir sur la question: jusqu'ou peut on aller au nom de la "vérité historique?". Une trop grande partie des scènes de ce film sont particulièrement choquantes. Est-il nécessaire, de tout montrer, et cela plusieurs fois de suite, pour laisser le spectateur au cœur d'une spirale de violence et de dégout qui ne semble pas prendre fin? Je ne pense pas. Le pouvoir de la suggestion, de la pudeur semble avoir été occulté par le réalisateur. Les plans rapprochés, les scènes d’une violence écœurante nous empêchent de ressentir une empathie pour la douleur de cette femme. Le film dure 2h44…. 2H44 qui m’ont paru durer une éternité. J’ai très souvent failli sortir de la salle avant la fin. Je n’avais jamais pensé aller un jour au cinéma pour passer une bonne partie du film à me forcer à penser à autre chose. Ce qui est réellement dommage c’est que le jeu des acteurs est absolument formidable. Ils sont tous très bon, et certains plans sont réellement parfaits.C'est pour cela que je met 1 étoile. Mais la chose que l’on retient de ce film c’est seulement la nausée. Un simple voile de pudeur sur certaines scènes, ne pas les répéter, une fois suffit pour comprendre et la suppression de la scène de la dissection (la scène d’ouverture nous donne une idée déjà assez précise de ce qui a pu se passer merci !) auraient rendu au film tout son sens. Là, l’escalade de voyeurisme, la scène de viol dans le salon français, les scènes du bordel, et la dernière scène au muséum d’histoire naturelle sont tout simplement insoutenable ! Je n’avais jamais vu autant de gens partir avant la fin d’un film. Ce qui est assez révélateur je trouve ! Et je trouve la scène du procès de Caesar assez intéressante. C’est à se demander si M. Kechiche n’anticipe pas délibérément le procès de son propre film. Jusqu’où peut-on aller au nom de l’art ? Très bonne question m. Kechiche. Dans votre film, où s’arrête l’art où commence la perversion ? La frontière est franchie à mon sens. Je terminerai par cette comparaison. Ce mois ci j’ai été 2 fois au cinéma. Les 2 fois, la salle est sortie dans un silence impressionnant. Le premier, après des Hommes et des Dieux était un silence magnifique, ou les gens sortaient encore pénétrés du film, dans un esprit de réflexion, de questionnement, d’émotion. Pour la vénus noire, les gens sont sortis très rapidement en regardant par terre, en fuyant la salle, pour laisser tout cela derrière soit. Je ne pense pas que le pari de M. Kechiche de rendre sa dignité à Sarah Bertmann soit gagné. Car la seule chose dont on a envie c'est d'oublier ce film!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 novembre 2010
    Première fois que je mets une critique, c le pire film de merde qu il m ait été donné de voir!!!!
    Des scènes interminables avec un homme qui hurle, toujours la même chose trop trop chiant!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 1 novembre 2010
    je sors de la séance, et j'ai comme une gêne pour respirer .
    Je ne sais quelle note lui attribuer, un 5 pour m'avoir choqué et bouleversé. Un 0 pour m'avoir mise dans une position de voyeuriste obscene ...
    Nous sommes replongés dans des temps archaiques où la diginité humaine est absente... le parti pris du réalisateur est de nous exposer cette venus comme une bête de foire à l'occassion de scènes de "spectacle ou débauche" et mon seul sentiment c'est que ce film l'a fait mourrir une deuxième fois...
    Je reste certaine que l'intention du réalisateur n'était pas la et qu'il voulait dénoncer une réalité crue, mais l'effet escompté est tout autre, on se sent coupable, coupable de regarder une femme humiliée et de ne pouvoir rien faire!
    Ce film est néanmoins salvateur car il choque, fait réfléchir et nous fait prendre conscience que le monde n'a pas toujours été ainsi et qu'il ne faut pas avoir peur de la différence
    Wilma P
    Wilma P

    11 abonnés 268 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 novembre 2010
    On ne sort pas indifférent d' un tel film qui retrace l histoire de cette femme qui a réellement exister et dont la France vient de rendre son squelette a sa terre natale les instincts les plus vils face a la différence sont exprimes dans ce film qui montre que l homme face a ce qui ne lui ressemble pas devient un être plus que bestial
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 novembre 2010
    D'accord, ce doit être la première fois que je tiens à donner un avis sur un film que j'ai vu. Car ce film n'est pas comme les autres et ce n'en est pas un. Il n'apporte absolument rien si ce n'est un profond dégoût face aux traitements que l'on inflige sans arrière-pensée à cette femme et que l'on nous oblige à regarder sans aucun recul. Le cinéaste nous met dans la position de ceux qui lui ont infligé les pires humiliations et nous oblige à regarder ou à quitter la salle. Comme d'autres ont pu le dire il n'y a aucune empathie, aucune explication, et à part quelles dates aucune perspective historique. Le spectateur est pris en otage et cherche en vain un moyen de comprendre pourquoi il est venu voir ce film. Chacun sait que l'être humain est capable des pires atrocités mais les montrer sans tenter d'y donner un sens c'est du film-réalité sans intérêt.L'idée du film est bonne mais sa réalisation tourne au cauchemar du voyeurisme.
    Fritz L
    Fritz L

    184 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 septembre 2014
    Abdellatif Kechiche, jeune réalisateur français salué par ses pairs, ne travaille jamais dans la demi-mesure. Il peut être percutant dans le discours comme avec l’Esquive, ou franchement misérabiliste avec, de sinistre mémoire, La Graine et le mulet. Il y avait tout à craindre avec sa « Venus noire », sujet casse-gueule par excellence. Un premier constat, malgré une longueur (totalement injustifiée), le film se tient. Mal mais il se tient. Certaines scènes sont très fortes et s’équilibrent sur la longueur. Au niveau de la reconstitution, rien de bien méchant malgré quelques anachronismes notoires, au niveau du langage notamment, là aussi il réussit son pari. Mais il faut en venir au cœur du film : le sujet, l’horrible destinée de Saartjie Baartman. Et là force est de reconnaître que le réalisateur se plante. C’est une question d’approche. Kechiche, on le sait, c’est son fond de commerce, dénonce, se révolte et le fait avec sincérité, souvent maladresse (défaut omniprésent déjà dans le Mulet). Il choisit de montrer, d’incriminer cette société capable de réduire à néant l’individu. Mercantilisme, fantasme, peur irrationnelle mais calculée sont autant de motivations qui ont mises cette femme au ban de l’humanité. Il ne nous passe rien, enfonce le clou avec des scènes terribles qui finissent à force par se ressembler et de fait atténuent l’intensité du propos. On comprend bien le message, 1815 – 2010 = même combat. Mais là où Kechiche manque de subtilité, c’est qu’il en oublie totalement son héroïne. Mal filmée la plupart du temps, presque à la sauvette, on ne trouve pas une scène où elle « existe », elle est dans le décor et parfois il se souvient qu’il doit la cadrer, plus intéressé il est vrai à suivre à l’image les « oppresseurs». Lynch, en référence avec son Elephant Man, avait su trouver le juste milieu entre onirisme et barbarie. Truffaut, avec son « Enfant sauvage » se révélait tout aussi critique mais beaucoup plus fin dans son approche scientifique. Ici, c’est le grand barnum (rien avoir avec Freaks) social, au message tout aussi limité que la réflexion qu’il a posé sur un tel sujet. Qui trop embrasse, mal étreint…
    Christoblog
    Christoblog

    828 abonnés 1 675 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 novembre 2010
    Vénus noire est une nouvelle démonstration du fait que les bonnes intentions ne font pas les bons films.

    Certes, l'histoire que conte Kechiche est intéressante, bien que très connue de ceux qui suivent un peu l'actualité : il s'agit de la dégradante exploitation d'une femme noire africaine aux attributs sexuels sur-développés. Dégradation qui emprunte à tous les modes : exhibitionnisme, examen indécent par des scientifiques, prostitution, vente du cadavre, etc...

    L'histoire se déroule au XIXème siècle et trouve un épilogue à la fin du XXème avec la restitution du corps à l'Afrique du Sud.

    Le cinéma de Kechiche est puissant, dense et même dans certaines scènes (les deux premières par exemple) virtuose. Sa manière unique de capter les regards et les expressions des figurants est remarquable.

    Son problème, comme dans ses précédents films, est de ne pas réussir à canaliser complètement cette énergie. Du coup, le film présente un certain nombre de points faibles et de déséquilibres véritablement gênants. Certains aspects sont complètement ratés, par exemple les décors lointains de Paris et Londres qu'on dirait peints par un enfant de 10 ans, ou l'idylle bucolique et platonique entre Sarah et le jeune naturaliste, qui tombe complètement à plat.

    Les tics habituels de Kechiche gênent aussi (mouvements de caméra incessants, très gros plans sur les visages), même si le réalisateur s'est assagi depuis L'esquive. Et surtout, après un bon départ, l'intérêt pour le destin de la Vénus s'étiole progressivement, probablement par un effet de répétition de certaines scènes qui deviennent lassantes. On en vient à culpabiliser de ne pas éprouver de compassion pour cette pauvre fille ! L'horreur se banalise quand elle est répétée à ce point : Kechiche aurait probablement gagné en impact en raccourcissant son film d'une heure.

    Le jeu de la jeune Yasmina Torrès, particulièrement opaque et inexpressif, n'aide pas à générer de l'empathie, à l'instar du jeu de Javier Bardem dans Biutiful.

    Vénus noire renvoie constamment à Elephant Man, le magnifique film de David Lynch, et bien sûr, souffre cruellement de la comparaison.

    Donc, comme pour La graine et le mulet, peut mieux faire. D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666.blogs.allocine.fr/
    Baptiste C
    Baptiste C

    4 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 novembre 2010
    Quelle est cette horreur, ce complet de glauque malsain qui, étalant la perversité et la décadence, ose prétendre bousculer les consciences sans jamais y prendre part ? Ce que certains osent appeler "film" ne mérite même pas ici ses étoiles. Car quand au bout de près de 3h on en vient à se demander comment on a fait pour ne pas vomir, tant les images, d'une rare violence, provoquent la nausée, c'est que peut-être la visée n'a pas été atteinte. Si néanmoins la seule visée consiste à bousculer le public, alors je demande, messieurs, de faire place au premier Yann Fabre cinématographique. Que les critiques parisiens se complaisent à exalter leur luxure dans des papiers élogieux, cela ne change rien au fait qu'un pareil pamphlet, s'il a le droit d'exister, n'a pas le droit de ridiculiser les "petites gens" qui devant une horreur pareille peinent encore à conserver leur repas.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 1 novembre 2010
    Je comprends pas. Pourquoi vouloir faire tant de violence au public ?! Je veux dire 02:44 ! L'écœurement va crescendo. A interdire au moins de 16 ans d'après moi, non pas 12. Un silence de mort à la fin de la séance, plusieurs spectateurs perdus en route. J'ai beaucoup aimé la graine et le mulet, ainsi que l'initiative de faire ce film. Seulement, le vieux alcool en abondance, le viol, le racisme, attendez vous à sérieusement les ressentir. >.<. Alors oui, si Abdellatif Kechiche voulait nous faire culpabiliser, réfléchir, et vomir de la torture infligée à Saartjie Baartman, c'est réussi. Mais à quel prix. "Il aurait pu s'arrêter avant" dit quelqu'un de le public. Oui il aurait du. Parce que là, qui fait du voyeurisme en voulant le dénoncer ?
    2.5étoiles, car beaucoup d'espoir déçu. Je ne pense pas qu'on fasse vraiment honneur à la vénus noire avec ce film. mais merci pour la réfléxion et l'idée.
    nicolas t.
    nicolas t.

    57 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 novembre 2010
    Quelle déception ! Je n'ai pas dû voir le même film que les critiques. Ce film est interminable, pénible, répétitif et essaie de nous culpabiliser en nous mettant en permanence du point des vue des voyeurs.
    Fabrice G
    Fabrice G

    117 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2010
    Avec Vénus Noire, Abdellatif Kechiche quitte la France des années 2000 pour l'Europe du XIXème siècle. En se penchant sur l'histoire de la Vénus Hottentote, le réalisateur dissèque les fondements du racisme et propose au spectateur une réflexion importante sur la dignité se soi. Saartjie Baatman est une femme affectée de stéatophygie (hypertrophie des fesses) et de macronymphie (organes sexuels protubérants), elle va être exploitée et exhibée lors de spectacles populaires, d'abord à Londres puis au près de l'aristocratie parisienne avant d'attirer la curiosité des scientifiques. La force du cinéma de Kechiche est d'en dire beaucoup sans jamais être didactique ou moralisateur. Dans Vénus Noire, il nous raconte l'histoire tragique d'une femme seule face à l'acharnement de tous, qui a, toute sa vie durant, et même après sa mort, été déshumanisée, considérée soit comme une bête de foire, soit comme un rat de laboratoire. Cinéaste humaniste, Kechiche bouscule le spectateur, lui proposant des scènes aussi dérangeantes que puissantes. Sa mise scène est classique voire neutre, comme l'est le jeu de son héroïne, l'actrice Yahima Torrès dont le regard est vide, désincarné. A ses côtés, Olivier Gourmet campe un horrible personnage à la perfection. Le réalisateur ne cherche pas à séduire à tout prix, en s'attaquant à un tel sujet, au film d'époque, au biopic, il est facile d'imaginer ce que d'autres auraient fait. Lui, fait le choix de nous faire réfléchir sans nous ménager à travers un film noir, froid, éprouvant mais également somptueux et essentiel.
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