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    Vénus noire
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    287 critiques spectateurs

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    norman06
    norman06

    346 abonnés 1 665 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 mars 2011
    Encore une réussite totale pour ce cinéaste inspiré. Ce qui aurait pu être un biopic politiquement correct et convenu est en fait un passionnant portrait d’un personnage ambigu et d’une période charnière de l’histoire du spectacle et de la science. Il est pour le moins surprenant que ce bijou n'aie pas été nommé aux César...
    Fabrice G
    Fabrice G

    117 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2010
    Avec Vénus Noire, Abdellatif Kechiche quitte la France des années 2000 pour l'Europe du XIXème siècle. En se penchant sur l'histoire de la Vénus Hottentote, le réalisateur dissèque les fondements du racisme et propose au spectateur une réflexion importante sur la dignité se soi. Saartjie Baatman est une femme affectée de stéatophygie (hypertrophie des fesses) et de macronymphie (organes sexuels protubérants), elle va être exploitée et exhibée lors de spectacles populaires, d'abord à Londres puis au près de l'aristocratie parisienne avant d'attirer la curiosité des scientifiques. La force du cinéma de Kechiche est d'en dire beaucoup sans jamais être didactique ou moralisateur. Dans Vénus Noire, il nous raconte l'histoire tragique d'une femme seule face à l'acharnement de tous, qui a, toute sa vie durant, et même après sa mort, été déshumanisée, considérée soit comme une bête de foire, soit comme un rat de laboratoire. Cinéaste humaniste, Kechiche bouscule le spectateur, lui proposant des scènes aussi dérangeantes que puissantes. Sa mise scène est classique voire neutre, comme l'est le jeu de son héroïne, l'actrice Yahima Torrès dont le regard est vide, désincarné. A ses côtés, Olivier Gourmet campe un horrible personnage à la perfection. Le réalisateur ne cherche pas à séduire à tout prix, en s'attaquant à un tel sujet, au film d'époque, au biopic, il est facile d'imaginer ce que d'autres auraient fait. Lui, fait le choix de nous faire réfléchir sans nous ménager à travers un film noir, froid, éprouvant mais également somptueux et essentiel.
    DarioFulci
    DarioFulci

    103 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 janvier 2011
    Le destin infernal d'une jeune femme donnée en pâture à une société imbue d'elle-même. Un sujet difficile, jamais vu dans le cinéma français. Abdellatif Kéchiche aborde le tout de façon directe, sans hésiter, sans ménager qui que ce soit. Si c'est efficace dans un premier temps, au bout de près de 3 heures c'est un parcours de souffrances difficiles et répétitives. Le message est passé depuis longtemps, mais le réalisateur enfonce le bouchon jusqu'au bout. A tort ou à raison, et c'est assez douloureux. On sort du film secoué. Si c'était l'objectif, il est clairement atteint. Dans le même esprit, "Elephant Man" proposait une émotion plus cinématographique. "Vénus Noire" s'en tient aux faits, aussi sordides soient-ils.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 4 mai 2020
    On a beaucoup reproché ces dernières années à Kechiche son regard sur le corps féminin et je me demande si ce film n’est pas la matrice de ce regard ambigu, qui suscite parfois le malaise. Bien sûr, le film dénonce, tout en révélant un aspect méconnu de notre histoire. Sur ce plan, il est sans doute utile. Mais il n’y a finalement rien d’autre qu’un regard, multiplié jusqu’à la nausée, sur ce corps-objet, sans que jamais un récit ne se développe, sans que le personnage n’advienne vraiment. Finalement, obnubilé par l’horreur de ce destin, Kechiche ne fait rien d’autre qu’embrasser cette horreur pendant près de trois heures, avec pour seule dramaturgie un crescendo dans l’humiliation. C’est une sorte de pamphlet à l’os, sans aucune édulcoration, mais du coup on y trouve peu son compte en termes de cinéma. Le style de Kechiche paraît étrangement fade et inadapté dans l’univers du film en costumes, et on a très peu de ces instants de grâce qui font la grandeur de ses autres œuvres.
    Clingo
    Clingo

    58 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 janvier 2012
    J'y suis surtout allé à cause du souvenir de La Graine et le Mulet, un des meilleurs films de ces dernières années, claque monumentale, dont le seul reproche ( et minime, le reproche ) était de s'étirer un peu sur la fin après deux heures d'un rare niveau d'excellence. Dans Venus Noire, c'est le contraire : dès le début le film fait sentir qu'il sera long, un peu pesant, mais la fin vient dénouer tout ça.

    C'est donc très long, répétitif. Ca n'est pas obligatoirement un problème, mais en l'occurrence on se demande quelle en est l'utilité. Kechiche semble alourdir son récit de scènes qui n'avaient pas besoin d'être. Le cinéaste, au niveau du rythme, a beau être un maestro quand ce dernier concerne les dialogues et le jeu des acteurs, mais quand il s'agit de l'avancée globale du film, on a l'impression qu'il y a encore des efforts à faire. Tout paraît un peu lourd, surtout que la comparaison entre la Vénus et les européens ne propose rien d'intéressant car ici rien n'est très original. Combien de fois a-t-on vu des films qui disaient la monstruosité de ceux qui se prétendaient bons, et la souffrance des monstres apparents qu'on exhibe de ville en ville ? On pense avec évidence à Elephant Man, avec ceci de plus noble que le Lynch savait se défaire du manichéisme dans lequel le Kechiche plonge les yeux fermés. De la part d'un cinéaste qui accorde autant d'importance à l'être humain, qui sait aussi bien filmer les visages et les corps - par extension l'identité de chacun -, une attitude manquant autant de nuances a de quoi décevoir. Ces limites dans l'auscultation de la psychologie s'ajoutent à une autre frustration, consécutive à la séquence du procès. Il y a là un début de discours qui ne peut qu'exciter notre curiosité, puisqu'il s'agit d'un propos sur le cinéma et le spectateur voyeur ( le public du tribunal est filmé au premier plan l'espace d'un instant, comme si nous en étions le prolongement virtuel ). Mais un début seulement, et au moment où le film semble gagner en intérêt, Kechiche réprime aussitôt les interrogations qu'on avait espérées. Pour autant, Vénus Noire est un film qui parle brillamment de la société du spectacle, et surtout, de notre époque et de ses dérives machistes.

    Vénus Noire me semble essentiellement intéressant quand il parle de la " putification " de nos sociétés modernes, et de l'écrasant poids de l'homme sur la femme, la manière qu'a le premier de faire de la seconde un objet à sa solde. Le film se passe au 19ème, mais dit beaucoup de choses sur notre époque. Preuve s'il en est besoin de la cruauté intemporelle de l'être humain, constat amer d'un temps révolu qui se répète néanmoins de manière inlassable en ne faisant que propager sa pornographie. Car c'est bien de ça dont parle le film, de comment le regard vers un objet désiré se transforme en acte sexuel que ce même objet subit plus qu'il ne le désire. Ca n'est d'ailleurs pas un hasard si les mésaventures de la Vénus trouvent leur conclusion dans la prostitution, et c'est même une suite cohérente, l'ultime étape de la déshumanisation du personnage. Kechiche atteint des sommets quand il décrit l'inéluctable descente aux enfers de la Vénus, quand il dépeint une société bourgeoise bien-pensante, se disant civilisée mais qui ne fait que traîner moralement dans la fange. Il y a des moments très intéressants, notamment vers la fin, avec les scientifiques. Dans la lignée de l'horreur vécue auparavant devant le public des spectacles dont elle était l'actrice, la Vénus doit à nouveau être observée, pire, scrutée inlassablement. Et l'on se rend compte avec une certaine tristesse qu'elle n'a été que très rarement considérée comme un être humain. Qu'il s'agisse d'un " intérêt " scientifique ou de la pure soif de spectacle des gens, la mise en scène du personnage sera toujours doublée de l'humiliation la plus totale. Son corps différent n'est finalement qu'un espèce de parangon de la représentation des femmes modernes, d'abord corps avant d'être esprits ou intellects. Vénus Noire est impressionnant quand il décrit la manière dont le monde dans lequel nous vivons s'empare du corps féminin pour le faire taire, n'en extraire que l'érotique, et satisfaire le genre masculin. La différence entre notre époque et celle du film, c'est l'existence de la publicité et d'Internet, de la pornographie de masse qui s'étend sous nos yeux, dans nos villes et sur nos écrans. Le pire, c'est que nous continuons à la regarder.
    WardStradlater
    WardStradlater

    53 abonnés 469 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mars 2011
    Malgré des scènes qui traînent en longueur, le film dans son ensemble reste très riche scénaristiquement parlant. Cela parle de la science, de la cupidité des hommes, la volonté de puissance, la différence, l'exhibition, etc. L'interprétation des acteurs est superbe et on suit cette Vénus et son destin qui nous échappe.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    104 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 octobre 2020
    Après le succès mérité de La graine et le mulet, Abdellatif Kechiche se plongeait dans le drame historique avec l'histoire de la sud-africaine Saartjie Baartman, surnommée péjorativement la Vénus Hottentote, l'une des tristement célèbres "bêtes de foire" de l'Europe du début du XIXème siècle. En résulte un film profondément dérangeant qui, à rebours complet du biopic complaisant, met le spectateur mal à l'aise en le confrontant à ses propres interrogations de voyeur, ainsi qu’à l'histoire de la pensée et de la domination occidentale. Avec ce récit coup-de-poing, âpre, aux séquences longues et éprouvantes, Kechiche faisait une vraie proposition de cinéma, qui l'imposait un peu plus comme l'un des artistes les plus importants de la scène française, européenne et mondiale. Brillant.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    37 abonnés 2 380 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 décembre 2023
    Venue D'Afrique du Sud avec son maître -son "associé" comme celui-ci se permet de l'affirmer- la noire et charnue hottentote est un sujet d'attraction dans les fêtes foraines anglaises comme elle le sera plus tard dans les salons aristocratiques et polissons parisiens. Cette jeune femme taciturne, qui ose exprimer parfois en afrikaner des réticences ou de vains mots de rebellion est réduite au rôle de femme-objet par la curiosité populaire, ou scientifique comme on le verra dans des séquences qui ne sont pas les moins humiliantes auprès de membres éminents de l'Académie des sciences de Paris.
    Au long d'un trop long film, de scènes peu nombreuses mais excessivement étirées, le réalisateur Kechiche évoque dans une approche âpre et brutale, sinon violente, la maltraitance que subit Saartjie, être différent -physiquement, et encore, si peu- figure exotique et donc livrée à la curiosité, à la bêtise et au mercantilisme, en dépit de quelques défenseurs éclairés. Peu capable de révolte ni de manquer de "loyauté" vis-à-vis des odieux négriers qui la jettent en pâture, Saartjie se plie à la débauche spoiler: jusqu'à la fatale prostitution.

    Le destin de l'héroine, son malheur et sa déchéance ne nous sont pas insensibles. Mais était-il besoin pour le cinéaste d'insiter si longuement ou lourdement dans des scènes souvent redondantes d'humiliations et de jeux sordides. Certes, en stigmatisant et en appuyant, Kechiche obtient ce qu'il cherche; le malaise permanent et la culpabilité pour nous, européens au sentiment de supériorité, sans éthique ni scrupules. Mais son film véhément tourne trop à la démonstration st semble se complaire dans l'exposition des turpitudes de l'homme "civilisé"
    Christoblog
    Christoblog

    828 abonnés 1 675 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 novembre 2010
    Vénus noire est une nouvelle démonstration du fait que les bonnes intentions ne font pas les bons films.

    Certes, l'histoire que conte Kechiche est intéressante, bien que très connue de ceux qui suivent un peu l'actualité : il s'agit de la dégradante exploitation d'une femme noire africaine aux attributs sexuels sur-développés. Dégradation qui emprunte à tous les modes : exhibitionnisme, examen indécent par des scientifiques, prostitution, vente du cadavre, etc...

    L'histoire se déroule au XIXème siècle et trouve un épilogue à la fin du XXème avec la restitution du corps à l'Afrique du Sud.

    Le cinéma de Kechiche est puissant, dense et même dans certaines scènes (les deux premières par exemple) virtuose. Sa manière unique de capter les regards et les expressions des figurants est remarquable.

    Son problème, comme dans ses précédents films, est de ne pas réussir à canaliser complètement cette énergie. Du coup, le film présente un certain nombre de points faibles et de déséquilibres véritablement gênants. Certains aspects sont complètement ratés, par exemple les décors lointains de Paris et Londres qu'on dirait peints par un enfant de 10 ans, ou l'idylle bucolique et platonique entre Sarah et le jeune naturaliste, qui tombe complètement à plat.

    Les tics habituels de Kechiche gênent aussi (mouvements de caméra incessants, très gros plans sur les visages), même si le réalisateur s'est assagi depuis L'esquive. Et surtout, après un bon départ, l'intérêt pour le destin de la Vénus s'étiole progressivement, probablement par un effet de répétition de certaines scènes qui deviennent lassantes. On en vient à culpabiliser de ne pas éprouver de compassion pour cette pauvre fille ! L'horreur se banalise quand elle est répétée à ce point : Kechiche aurait probablement gagné en impact en raccourcissant son film d'une heure.

    Le jeu de la jeune Yasmina Torrès, particulièrement opaque et inexpressif, n'aide pas à générer de l'empathie, à l'instar du jeu de Javier Bardem dans Biutiful.

    Vénus noire renvoie constamment à Elephant Man, le magnifique film de David Lynch, et bien sûr, souffre cruellement de la comparaison.

    Donc, comme pour La graine et le mulet, peut mieux faire. D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666.blogs.allocine.fr/
    Benito G
    Benito G

    667 abonnés 3 161 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 novembre 2010
    LE film choque de la semaine! Je suis encore sous le choc de ce que j'ai pu visionner il y a quelques jours. On ne sait pas, si l'on est spectateur, voyeur ou simplement dans la recherche de la connaissance d'une partie de l'histoire. Tout se fait crescendo, et la violence est parfois insoutenable (l'interdiction au moins de 12 ans est par ailleurs un peu lèg...). On observe, s'interroge... avec un noeud dans l'estomac ; ne pouvant rien faire contre et se rendant compte que le film ; selon les personnes fera plutot office d'un film voyeurisme que d'un film retraçant cette Vénus. LE jeu des acteurs, dont celle de Vénus est irrréprochable^. Coté histoire, là encore ; on pouvait s'attendre à quelques choses de violent, de choquant... Mais la réalisation, faite avec un certains réalisme ; fait que même si cela reste subjectif. On est pris de peine? d'émotion? Difficile de décrire ou retranscrire ce que l'on vient de voir. MAis il en est pas moins ici, une oeuvre à part entière d'une rare violence ; qui n'est pas à mettre entre toute les mains. LA durée du film, faisant craindre quelques longueurs au vue de l'histoire. Nous offre quelques longueurs, mais qui sont perçu (dans la salle ou il était diffusé) plutot comme un moment de répit et de reflexion intense. Difficile de faire une vraie critique constructive sur ce film à la bouleversant ; par la véracité des faits et de plus ; quant on apprend que l'enterrement n'a eu lieu qu'en 2002... Chaque personne verra le film à sa manière. Soit pensant être là, telle une personne assistant au spectacle et donc avec un coté plutot voyeur (avec bien sur, son complément au niveau de l'histoire, mais comme le spectacle si violent soit-il est souvent présent ; on peut s'interroger sur notre interet, volonté à avoir voulu visionner ce film^^). Ou alors dans le but de comprendre et analyser le pourquoi du comment. Comment une telle chose a pu exister? Et que même si la vie de tout les jours n'est pas fait que de bonnes choses, certains pays ; même en notre époque ; vivent des choses tout aussi terrible. Un film qui fera obligatoirement réfléchir et qui ne peut en aucun cas laisser le spectateur indifferent. A chacun de l'apprécier ou l'analyser à sa juste valeur. Mais une chose est sur, le film n'est pas mauvais ; loin de là. Il aborde un sujet et une histoire qui font que l'ensemble est tres dur à voir. Le choc est d'autant plus présent, que la réalisation a été soigné, travaillé en profondeur... Et que sans être un che d'oeuvre. Car même si le film est exquis, c'est un film à voir a part entière (par rapport à la filmographie habituelle) et qui est bien loin de tout ce que l'on peut voir habituellement. Bref, c'est loin d'être mauvais ; c'est même plutot bon. Mais la dureté du tout, font qu'il est difficile d'avoir un regard critique et de donner son point de vue. Il faut le voir par soi-même pour comprendre. Mais pour un public très averti!
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    294 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2015
    L'évocation sans concession du calvaire de Saartjie Baartman, dite Venus noire. Abdellatif Kechiche montre des images crues, filmées au plus près des corps, afin de faire transparaître au mieux les émotions de ses personnages. Des personnages cabossés, qu'ils soient maîtres ou bourreaux, interprétés avec une justesse rare. Il n'est besoin de souligner la performance de Yahima Torres, magnifique autant que touchante, mais aussi celles d'André Jacobs et d'Olivier Gourmet, toujours excellent. C'est ce que l'on appelle une œuvre nécessaire, sur l'esprit d'une époque où le racisme était banalité. Kechiche ne juge pas, il montre la vérité telle qu'elle s'imposait.
    JCOSCAR
    JCOSCAR

    117 abonnés 1 100 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2010
    Vénus noire est un drame historique réalisé avec maestria par A. Kechiche. Le destin au XIX° siécle d'une jeune esclave, exhibée de cirques de foires et livrée à la prostitution. Ce film ne ménage pas le spectateur, puissant et hautement risqué , il va jusqu'au bout et naturellement est forcément dérangeant.
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    113 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 avril 2011
    Lent, répétitif et très ennuyeux. Où est l'intérêt d'une grande fresque sur ce genre de personnage...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 novembre 2010
    Excellent film sur le racisme et le destin tragique d'une jeune sud-africaine, réalisé par Abdellatif Kechiche. Un film peut-être un peu trop long, mais il était important de montrer au public, ce que Saartjie Baartman a réellement vécu pour se faire une idée de la vie cauchemardesque qu'elle a mené... Mention spéciale a Yahina Torres actrice non professionnelle qui réalise une performance incroyable, tout ce lot de souffrance qu'elle a dû enmagasiner durant le tournage est juste phénoménal. BRAVO !...
    Anonyme M
    Anonyme M

    63 abonnés 1 658 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 mai 2021
    nul nul. a peine démarré qu'un type nous fait un cours raciste sur les personne noirs et montre des parties intimes parce que pffftt..... la scène d'après un homme visiblement aux temps des esclaves est mit en spectacle dans sa cage parce que pffft..... sa n'a aucun sens en plus d'être totalement raciste. au bout de 10 minutes de n'importe quoi, j'ai simplement arrêté ce film pour ne pas exposer mon cerveau a ça une minute de plus.
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