Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
POUR: Le premier long-métrage d’Agnès Troublé est un voyage initiatique original qui revisite joliment le road movie classique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Pierre Eugène
La cinéaste suit directement la ligne de crête de ses seules certitudes, sans ménagement (et sans rendre de compte à personne), sans a priori cinématographiques, sans autre gage qu’une intuition guidée par l’attention. Si le film est plus qu’inégal, ce qu’il perd en qualité lisse, il le gagne en force.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Franck Nouchi
Agnès B., la créatrice de mode, signe ce film de son vrai nom, Agnès Troublé, sans doute pour montrer à quel point ce sujet difficile lui tient à coeur. Dans "Je m'appelle Hmmm", rien n'évoque l'univers bobo de ses célèbres boutiques de prêt-à-porter. Un film humaniste et pessimiste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Le premier film, un peu décousu mais candide, de la styliste agnès b.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Jacques Morice
Le sujet — l'enfance violée — est sérieux. Le traitement ne l'est pas tant que ça. Agnès Troublé brode, avec une certaine modestie, une fable initiatique, où le drame se combine au merveilleux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Semée de moments de tendresse bien que foncièrement sinistre, l’histoire choisie par la styliste Agnès b. pour son premier film en tant que réalisatrice, déconcerte plus qu’elle ne touche. (...) son road-movie apparaît finalement longuet, pesant en plus d’être gratuit.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
L'Obs
par Jérôme Garcin
Comment Sylvie Testud et Jacques Bonnaffé ont-ils pu accepter de jouer les parents de la malheureuse dans ce film aussi complaisant que repoussant? Mystère.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Didier Péron
Le film est embarrassant de bout en bout, pas seulement par ses partis pris formels poussiéreux ou en raison d’un casting de stars intellos jouant des lumpen-prolétaires, mais parce que la styliste, née à Versailles, semble vouloir porter un regard sur les couches populaires.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Damien Leblanc
On y croit le temps d'un plan cauchemardesque. Puis agnès b. - dit Troublé - lâche sa gamine abusée par son père dans un road-movie insoutenable de complaisance arty.
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
On sent le désir d’épure, de pudeur et de poésie ; on n’éprouve qu’ennui, gêne et effarement face à cette caricature de road-movie arty mâtiné de naturalisme glauque. Le film d’auteur par Agnès b. ? De la série Z.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Tristan Gauthier
CONTRE: Un film-essai qui se transforme rapidement en une expérience cinématographique particulièrement déplaisante dans son incapacité à faire coïncider le fond et la forme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
aVoir-aLire.com
POUR: Le premier long-métrage d’Agnès Troublé est un voyage initiatique original qui revisite joliment le road movie classique.
Critikat.com
La cinéaste suit directement la ligne de crête de ses seules certitudes, sans ménagement (et sans rendre de compte à personne), sans a priori cinématographiques, sans autre gage qu’une intuition guidée par l’attention. Si le film est plus qu’inégal, ce qu’il perd en qualité lisse, il le gagne en force.
Le Monde
Agnès B., la créatrice de mode, signe ce film de son vrai nom, Agnès Troublé, sans doute pour montrer à quel point ce sujet difficile lui tient à coeur. Dans "Je m'appelle Hmmm", rien n'évoque l'univers bobo de ses célèbres boutiques de prêt-à-porter. Un film humaniste et pessimiste.
Les Inrockuptibles
Le premier film, un peu décousu mais candide, de la styliste agnès b.
Télérama
Le sujet — l'enfance violée — est sérieux. Le traitement ne l'est pas tant que ça. Agnès Troublé brode, avec une certaine modestie, une fable initiatique, où le drame se combine au merveilleux.
Le Journal du Dimanche
Semée de moments de tendresse bien que foncièrement sinistre, l’histoire choisie par la styliste Agnès b. pour son premier film en tant que réalisatrice, déconcerte plus qu’elle ne touche. (...) son road-movie apparaît finalement longuet, pesant en plus d’être gratuit.
L'Obs
Comment Sylvie Testud et Jacques Bonnaffé ont-ils pu accepter de jouer les parents de la malheureuse dans ce film aussi complaisant que repoussant? Mystère.
Libération
Le film est embarrassant de bout en bout, pas seulement par ses partis pris formels poussiéreux ou en raison d’un casting de stars intellos jouant des lumpen-prolétaires, mais parce que la styliste, née à Versailles, semble vouloir porter un regard sur les couches populaires.
Première
On y croit le temps d'un plan cauchemardesque. Puis agnès b. - dit Troublé - lâche sa gamine abusée par son père dans un road-movie insoutenable de complaisance arty.
TéléCinéObs
On sent le désir d’épure, de pudeur et de poésie ; on n’éprouve qu’ennui, gêne et effarement face à cette caricature de road-movie arty mâtiné de naturalisme glauque. Le film d’auteur par Agnès b. ? De la série Z.
aVoir-aLire.com
CONTRE: Un film-essai qui se transforme rapidement en une expérience cinématographique particulièrement déplaisante dans son incapacité à faire coïncider le fond et la forme.