John Carter, bon film d'aventure et d'action ,l'histoire est pas trop mal, les acteurs et actrice joue bien leur rôle c'est dommage que ce film n'a pas fait une meilleure audience mondiale.
Alors je dois sans doute un des seuls, mais j ai beaucoup aimé ce film. Originale idée une adaptation de John Carter au cinéma. Je trouve les scènes aussi réjouissantes que dans star wars, et le scénario pas pire que ce que lnon peut voir pour ce type de film, je suis ressorti de la salle en ayant une bonne impression que je retranscris dans ma note 4/5.
Le film n'est vraiment pas terrible il tire sur la longueur de par son histoire "incomplète", on a souvent l'impression de manquer d'information, on ne comprends même pas pourquoi le film s'arrête là à la fin, sans parler du jeu d'acteur qui laisse clairement à désirer. Néanmoins les scènes d'action se regarde sans trop de difficulté, elles sont même dynamiques et prenante, on ressent une certaine richesse dans l'univers qui clairement fait tout le film. (Univers tiré d'une série de romans si j'ai bien compris)
Le film s'adresse à un public jeune pour lequel il marche bien, ayant vu le film à 14 ans j'en avais de très bons souvenirs, mais si vous souhaitez passer un bon moment je ne peux pas vous le recommander.
Ce film offre un très bon spectacle grâce à d'énormes moyens bien rentabilisés. L'histoire est géniale et correspond à mes rêves les plus fous de voyageur aventurier qui ferait d'abord fortune, parcourrait le monde et le système solaire, deviendrait un super-héro pour finalement séduire une princesse pas ringarde du tout. Je suis étonné de ne pas connaître ce film que je n'ai découvert qu'en parcourant le site Disney. Je regrette qu'il n'appelle pas de suite (a priori) car il vaut les indiana jones, star wars et compagnie. Mais comment peut-il y avoir des critiques aussi insensibles et blasées et, qui plus est, suivies par des centaines d'abonnés ??? Sortez-les !
Barsoom, c'est Mars dans les œuvres d'Edgar Rice Burroughs, l'auteur de Tarzan qui s'est essayé à relancer la fibre SF dans le goût de La Guerre des Mondes – sous un pseudonyme toutefois, car il n'assumait pas son Cycle de Mars à une époque où les space operas (sans savoir qu'ils en étaient) étaient forcément naïfs et qu'il en avait conscience.
Barsoom, cependant, c'est aussi l'une des graines créatives les plus fécondes du siècle. Zemeckis a refusé de prendre le projet John Carter car George Lucas avait, à son sens, déjà tout pillé pour Star Wars. La franchise, en sa qualité de spin off officiel mais méconnu de John Carter, a semble-t-il coupé l'herbe sous les pieds de Stanton. Sauf que voilà : il y avait Disney, prêt à dépenser une énergie du désespoir s'élevant à 240 millions. Le film a finalement fait empirer leur situation financière, mais on s'en fout : ce qui compte, c'est John Carter, ce film qui a trouvé sa place (fût-elle fondée sur une détresse commerciale et créative) et qui retourne à la source de la SF pour… ne rien faire de neuf (dans la famille « ahuri terrien d'il y a deux siècles qui atterrit dans un monde différent dont il devient le héros et où il tombe amoureux », je demande La Machine à explorer le temps de Simon Wells).
Très mal marketé, le film reste dans certaines mémoires (tout comme il restait dans la mienne depuis la vue des affiches de l'époque) surtout à cause de son bestiaire de créatures – apparemment considéré par la production comme le seul de ses aspects supposés trancher volontairement avec le reste de la SF.
C'est à se demander (et je dis ça sans savoir) si les masses n'ont pas été conditionnées par ce médiocre martèlement marketing. Car John Carter est beaucoup plus que ça, puisque c'est un Disney qui fait poser des questions intelligentes à ses personnages (ce n'est jamais gagné d'avance) pour faire avancer plusieurs schmilblicks à la fois. Politique, eugénisme, amour (vite fait), guerre aussi : c'est une œuvre qui s'accorde par sa plénitude le droit de ne pas avoir une grosse histoire de fond.
En effet, Carter débarque sur Barsoom à l'improviste. Le spectateur a dû le suivre pendant un quart d'heure de New York à l'Arizona (cette longue intro est un autre point commun avec le film précité de Simon Wells) et il y a quelques rudes ellipses pour le faire s'adapter à la vie martienne, ce qui témoigne de la prise de risque en termes d'immersion dans un monde voulu complet. Là aussi, c'est assez chiadé puisque le premier contact avec les extraterrestres prend son temps, ce qui est loin de se situer dans la continuité d'une SF qu'on considèrerait d'avance comme épuisée. Les aliens ont leur propre langue fictive (bien faite) et le côté Disney ne s'invite que par petites pointes (coucou Woola le monstre-chien et éternel intermède comique dispensable) qui trouve assez bien sa place dans la touffutude d'un design énorme et tellement présent qu'on oublie de vérifier si huit années ont commencé de vieillir les effets spéciaux.
La redite est assumée : John Carter est un film à la mesure du divertissement qu'il offre, même s'il n'est pas fait pour nous emporter corps et âme sur Mars. Ça reste un Disney. Ça reste l'adaptation qui arrive très tard d'un livre arrivé très tôt.
Personnage principal ininteressant, et pas très bien joué. Scénario et mise en scene plein de clichés. Les personnages ont des réactions caricaturales (voire débiles par moment). Les graphismes sont certes très bien, mais sans originalité, et le désert ne me fait pas rêver.
Un blockbuster sans âme, qui ressemble (de loin) à Star Wars (le héros esclave sur une planète d'aliens au dialecte bizarre, au bestiaire pas très loin de ceux de George Lucas, avec un méchant et une princesse en cavale... Sans parler de la scène de l'arêne avec les gros monstres). Mais au niveau épique, on repassera. Une durée assommante (2h15) avec un combat contre l'un des principaux méchants qui dure 1 seconde (sans rire, l'un des combats les plus décevants qu'il m'a été donné de voir), le héros assez ridicule à faire des bonds comme une sauterelle (surtout qu'avec les effets spéciaux médiocres, on voit à chaque fois d'où le câble tire l'acteur, tel un pantin désarticulé) et le twist final qui nous arnaque carrément (on croyait lire les mémoires d'un héros mort, en fait c'est spoiler: un appât pour attirer le méchant qui porte la clé pour que le héros - en fait bien vivant - refasse sa valise dans l'autre sens ...). Les acteurs sont corrects, l'action très concentrée en quelques scènes mais fonctionne parfois (la bataille finale assez en bazar, mais dynamique), et le gag "Virginie" est sympathique les premières fois, puis à la quarantième on s'en lasse (étrangement...). Des airs de déjà-vu, trop long et fade.
Selon moi un film à voir une fois. Pour sa réalisation et ses effets spéciaux qui reste impeccable. Malheureuse lors d'un second visionnage je me rends compte d'une chose qui m'a fait arrêter le film en plein milieu. Qu'est ce que ce jeu d'acteur est kitsch! S'il vous plait, que quelqu'un vienne en aide à ce duo. Je veux bien que la gravité soit différente de la notre sur mars, mais là ils doivent avoir des savonnettes sous leurs semelles pour passer autant de temps au sol.. Cette jeune princesse en fait beaucoup trop pour moi. Je lui met 3/5 car il reste un bon divertissement.
Un très bon film avec Taylor kitsch. Les effets spéciaux sont exceptionnels. Le scénario est original. On ne s'ennuie pas une seule seconde dans ce grand film d'aventure. Je recommande cet excellent film.
Proposant un univers bien plus intéressant que Star wars, ce superbe film de science-fiction est rondement mené par des acteurs de talent (Taylor Kitsch et la très belle Lynn Collins) appuyés par d'excellents effets spéciaux. Le scénario est certes assez classique mais les rebondissements sont bien gérés ainsi que le final. Attendons la suite !
J ai beaucoup aimé ce film, je ne comprends pas pourquoi les critiques sont aussi sévères. Faîtes vous une idée par vous-même, le film.est dépaysant, les effets spéciaux sont bons ainsi que l histoire.