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Julien D
1 198 abonnés
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2,5
Publiée le 26 mai 2013
Avec une réutilisation de chacun des ingrédients qui rendirent célèbre leur coup d’essai, à savoir des acteurs inconnus filmés de manière subjective caméra à l’épaule face à une bande de zombie en huis-clôt dans un immeuble, Jaume Balagueró et Paco Plaza parviennent à lui faire une suite on-peut-plus directe dont le concept n’a, évidemment, plus rien d’étonnant, mais dont l’écriture plus approfondie met davantage en avant sa justification mystico-religieux et multiplie habilement les points de vue. Rendu plus effrayant par ses jump-scares mieux mis en scène, ce second épisode a cependant toujours les mêmes soucis majeurs que son prédécesseur, à savoir le jeu de ses acteurs amateurs le caractère insupportable leurs personnages qui limitent terriblement le ressenti de la peur qu’ils doivent éprouver face à cette situation cauchemardesque.
Quand on décide de regarder la suite d'un très bon film -et qui plus est d'un succès- notre peur est avant tout de revoir exactement, ou plus ou moins, le même film. Et nos questions seront donc les suivantes : en apprend-on plus sur cette mystérieuse créature infectieuse ? Nous expliquera-t-on enfin ce qui ce passe dans cet immeuble ?? Et les réponses sont doublement "oui" !! Car le film prend un tout autre tournant derrière ces nouvelles images plus militarisées qui nous entrainent encore là où l'on préfèrerait ne pas aller, des images que nous semblons avoir déjà vu. Personnellement je trouve l'explication amplement satisfaisante, ne serait-ce que par son approche, finallement, plutôt maligne et assez originale. Et puis les créatures ne sont pas autant omniprésentes que dans le modèle. Le pari est donc réussi : les révélations éclatent, l'exploration de la maison est poussée plus en avant, les couloirs deviennent des cul-de-sac, le stress va en augmentant et la recette retrouve son goût d'origine. La franche coupure et les deux points de vue auraient sans doute gagné à être exploité de façon moins discrète. Une oeuvre franche pour un 2nd opus qui s'enfonce dans le fantastique le plus absolu, quitte à perdre un peu en crédibilité ce qu'il gagne en idées nouvelles (les effets de l'infra-rouge), car ces idées sont ravigorantes et le film nous tient jusqu'au final
Petite déception, après un premier opus mettant en avant ambiance oppréssante et huit clos envoutant, cette suite rentre facilement dans la facilité ens e transformant en vulgaire film de zombie. Il reprend simplement les idées du premier au milieu d'un mode survival mais ne rajoute aucune interet au récit (notament les explications sur les origines du mal assez décevante). La scéne finale a été travaillée mais est loin du suspens et du coup de flip du premier.
J'étais tombée sous le charme du premier volet, probablement l'un des meilleurs films d'épouvante qu'il m'avait jamais été donné de voir, et je me faisais une joie de découvrir cette séquelle... même si les (nombreuses) critiques négatives avaient quelque peu refroidi mes ardeurs... Et je dois avouer qu'après visionnage du film, je suis très déçue. Mais déçue de quoi, exactement? Primo, du traitement réservé aux personnages. Là où, dans le métrage original, on s'attachait aux protagonistes de par leur crédibilité (en effet, tout le monde pouvait se reconnaître en eux... Je pense que le choix de considérer l'intrigue dans un immeuble d'habitation n'était pas feint à ce niveau), "Rec 2" nous "décrit" des policiers uniformes, des ados crétins et sans âme. L'argument de l'utilisation d'une caméra est également très faible. C'est le premier point qui m'a d'ailleurs rebutée dans ce film. Et, enfin, penchons-nous sur l'intrigue proprement dite. Pas un seul moment effrayant, quelques vagues sursauts sans grande envergure, peu de gore intéressant,... sans parler d'une fin assez absurde, à l'image du reste du film.
On reprend l'histoire à partir de la dernière image du précédent film. Une suite où l'effet de surprise est passé mais qui nous donne plus d'explications sur cette pandémie.
Il me semble que cette séquelle a largement perdu de l'efficacité de ce qui faisait son original. L'idée des soldats "connectés" par caméra présageait des frayeurs exceptionnelles. Or, les sursaut se font rares dans cet opus et l'usage de la première personne n'arrive pas à nous impliquer comme si nous étions dans cette maison. Les raccords sont douteux, notamment lorsque l'héroïne du premier volet, ayant survécu, réussit à voir ses cheveux pousser de 50 centimètres en quelques heures...Inadmissible. Et puis la contamination n'est plus, pour devenir une possession inadaptée et poussive. Alors oui Rec était en quelque sorte un chef-d'oeuvre, Rec 2 est un raté. Voyons ce que seront les 3 et 4.
Rec 2 continue dans sa lancée en nous proposant toujours une réalisation soignée et parfaitement dans le ton. Le scénario quant à lui est beaucoup plus présent en nous proposant une histoire diabolique et de possession. Même si l'effet de surprise n'y est plus, Rec 2 reste toujours aussi orginal et efficace...
Bla Bla et encore Bla, on prend les mêmes et on recommence en s'appuyant sur un principe de base des suites : la surenchère. Le mythe et le mystère du premier passent à la trappe, ne reste qu'un faux documentaire à la mode avec des pseudos zombies. On passe...
Après la claque du premier opus, on était en droit de vouloir une suite réussie. Et bien, ce second opus reste inférieur au second, car il n'y a plus l'effet de surprise, ce qui est très important dans ce genre de film. Mais il faut avouer que le fait d'avoir plusieurs caméra a offert un autre suspens au film, avec des personnages différents. Mais les ingrédients du premier volet sont là, suspense, paranoïa et sentiment de se faire piger par le gouvernement. Le twist final est vraiment génial, flippant et très compliquer à deviner.
on retrouve le style "caméra a l'épaule" comme le premier opus qui nous immerge dans l'action et le suspence. dans cette suite, on quitte l'univers des mort vivants pour aller un peu plus loin dans le fantastique, ainsi le film gagne en originalité et nous offre des scènes violentes et angoissantes tout a fait novatrices dans le genre.
Il aura fallu à peine deux ans à la bonne surprise qu'était Rec pour qu'il accouche d'une suite avec Rec 2 qui peu paraitre surprenant vu la fin du premier. Mais ils ont trouvé de quoi poursuivre l'histoire qui est une suite directe. Et il faut dire que ça commence plutôt bien. On est tout de suite mis dans le bain et l'action est présente très rapidement. Malheureusement on sent vite que ça tourne un peu en rond et au bout de trente minutes ça devient vraiment répétitif. A chaque fois une créature prend à parti un personnage et ça crie de partout ce qui devient fatigant. Il y a un énorme passage à vide de trente minutes puis le film redevient intéressant dans les vingt dernières minutes avec spoiler: le retour d'Angela jusqu’à une fin très spéciale qui nous dit que ce n'est pas fini. D'ailleurs on en apprend un peu plus sur l'histoire mais le côté possession ne m'a pas séduit. Mais l'ambiance est très réussi, c'est crade, sombre, violent et sanglant avec des créatures qui font flipper. Et de ce côté la ça fonctionne car c'est stressant et angoissant. Côté acteurs c'est pas la folie et les personnages ne sont pas développés ce qui fait qu'on ne s'y attache pas. Pour le reste la réalisation en found footage est toujours sympa même si les caméras des différents policiers n'apportent pas grand chose voir même galvaude un peu le principe. Les effets sonores eux sont toujours aussi travaillé et les dialogues saoulant à la longue. Au final Rec 2 est inégal et assez proche du premier visuellement mais se laisse regarder même si j'aurais aimé en apprendre plus.
Je l'ai trouvé moins réussi que le premier. La faute pour moi, à un scénario un peu tirer par les cheveux. Point fort du film, on reprend l'histoire juste là où on l'avait quitté et on est immédiatemment dans le feu de l'action. Le film s'inspire grandement de jeu tel que SIlent Hill ou Resident Evil quand on a l'écran divisé avec plusieurs caméra. Malgré une moins bonne qualité que le premier, le film offre toujours une ambiance oppresante et affrayante avec son lot de sursaut.
Une suite purement commercial de rec . Si le premier était prenant ce deuxième volet s'avère beaucoup moins angoissant et l'horreur est peu présente . Ce n'est pas le pire de la trilogie ( le troisième est un navet ) mais vu la qualité du premier volet on ne peut qu être déçu en voyant la faiblesse de cette suite . En plus pour être sur de ne pas passer pour des arnaqueurs les scénariste ont trouvé de nous donner une pseudo explication de la fin du un avec la journaliste . Déception .
« REC 2 » est une très bonne suite et donc un très bon film d’horreur. Le scénario reprend parfaitement la continuité du premier film et l’intrigue repose sur les mêmes ingrédients. Les scènes d’action sont très bien orchestrées, le rythme est soutenu et les séquences de frayeur sont efficaces. Le casting offre de bonnes prestations. L’ambiance est lugubre et n’augure rien de bon. Une suite qui fait honneur au film d’origine. Un film que les fans du genre aimeront sans aucun doute.
Très déçu ! Bien en dessous du premier épisode qui avait été une bonne surprise. Et pourtant, cela paraissait prometteur, surtout le fait de garder un lien avec le premier film en proposant l'histoire du groupe d'intervention qui rentre à l'intérieur de l'immeuble où s'est passé "l'accident", où s'est déroulé l'action de [REC]. Et pourtant, le film sombre dans un scénario tiré par les cheveux où se mêlent possession maléfique, religion et bien d'autres thèmes plus ou moins surnaturel : personnellement, j'ai pas adhéré du tout. Le film perd en partie son aspect terrifiant et angoissant pour une virage surnaturel, religieux vraiment bizarre. Le film a du mal a tenir la dynamique du premier, sorte de survival, qui ici se transforme en sorte de quête pour le prêtre afin de résoudre la folie qui s'est emparée du lieu. Le film est peut-être un peu plus gore et plus violent mais ça n'arrange rien face au premier opus qui reste vraiment supérieur qualitativement parlant. Bref, c'est une grosse déception, cependant, quand on a vu le un, faut quand même visionner cette suite ; pas terrible.