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Hemvy
2 abonnés
47 critiques
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0,5
Publiée le 2 juillet 2010
Une demie étoile pour l'ambiance glauque, gore, les sursauts et certains acteurs valant vraiment le coup... Mais ... Beaucoup trop d'incohérences à mes yeux rendent l'histoire bien peu crédible ...
/!\ SPOILER /!\
* Wonder-Curé qui est super-entrainé et qui est le seul à pouvoir donner l'autorisation de sortir ... Pourquoi aucun commando ne lui a foutu son poing sur la figure pour le forcer à donner cet ordre ??
* Les dits commandos sont quant à eux vite dépassés, privés de munitions et tirant à vue =_="
* Les mômes sur le toit qui ne se rendent ABSOLUMENT PAS compte que l'immeuble où ils sont est cerné, flics et badauds de partout, hélicos, gyrophare, immeuble couvert sous des bâches plastique ...
* une fois dans la "chambre" de la possédée originelle, la caméra passe en mode infra-rouge, mais tout le monde a des torches ... Pourquoi personne n'allume la sienne quand le flic perd la caméra et la cherche à tâton ô_O ?
* Et pourquoi Diable le curé se débat-il avec tant de hargne pour prélever du sang sur les possédés, mais juste DE LEUR "VIVANT" ?? Une fois que la journaliste a fait sauter la tête de la possédée et que le sang gicle de partout, est-ce si difficile pour lui de prélever ce sang ô_O ? Ou c'est moi qui n'ai rien compris ...
* Sans parler de la respiration sifflante de la journaliste qui dit aux autres "Elle ne nous voit pas, et si on fait pas de bruit elle nous trouvera pas" et qui souffle comme une locomotive à tel point que le flic enregistre le son sur sa caméra ... Mais la possédée passe à côté sans sourciller ... Mouais ...
Enfin bref, relever toutes ces incohérences de façon involontaire toutefois, m'ont un peu gâché le plaisir ....
On passe d'une infection zombie à un truc de possession démoniaque quel dommage... Je déteste les films de démon,c'est tellement absurde... Bref, au final même si il y a beaucoup d'incohérence avec le premier, c'est pas si mal.
Difficile de faire mieux que le 1er épisode qui avait pris tout le monde par surprise avec la maestria de la mise en scène et l'ingéniosité du scénario. Bloqué par son envie de faire un diptyque (l'histoire des forces spéciales et celle des jeunes), Balaguero mixe donc les 2 histoires en 1 seule. Sans doute par manque de temps, ces 2 là ne se mêlent pas bien et la 2nde se révèle bien moins intéressante (la 1ère partie répond à beaucoup de questions et développe une belle mythologie) et moins bien faite pour accrocher. Au contraire, cela provoque même une rupture de rythme au milieu du film, ce dernier étant par ailleurs plus mou et moins surprenant que le 1er, malgré encore et toujours quelques fulgurances et audaces de mise en scène ainsi qu'un chamboulement de l'univers (on croyait avoir tout vu, il fallait mieux regardé !). Et si la dernière partie vire au grand guignol, elle n'en demeure pas moins efficace. Une suite qui apparaît comme bâclée donc, malgré des bonnes idées et quelques morceaux de bravoure vraiment réussis. J'attends surtout le 4ème volet, suite directe de cet épisode et qui promet beaucoup. D'autres critiques sur
Pour déceler ce qui restait caché jusque-là, Jaume Balaguero vous dit : activez la vision nocturne. C'est ce que fait Rec 2 au littéral (on passe une bonne partie du film en vision de nuit, pour revivre plus longuement le traumatisme évoqué en fin du premier opus, avec les monstres qui frôlent les victimes...) mais aussi au figuré, en dévoilant l'envers du décor de l'intrigue de Rec. On constatait bien qu'il nous manquait des cartes en main, dans cette histoire de contamination, et c'est en changeant de protagonistes (une bande d'ados qui infiltre l'immeuble en même temps que la journaliste et les pompiers, que l'on voit parfois passer) que l'on approfondit un peu plus la résolution du mystère des zombies... Cependant, en ayant vu la saga d'affilé, on ne peut que vous déconseiller de faire de même : il y a beaucoup de redites, forcément, on retrouve les mêmes monstres, les mêmes effets de surprise, les mêmes techniques de suspens et même la fin du premier film remise telle quelle au début de celui-ci, pour encore plus de sensation de déjà-vu. On s'attendait vraiment à changer de contexte à un moment donné, à ne pas recommencer à s'enfermer dans le même immeuble, car on ne sait plus vraiment si les quelques infos supplémentaires et la vision nocturne valaient à eux seuls de regoûter au même plat une seconde fois. Il y a certains films qui supportent mal d'être réchauffés, et Rec 2, s'il n'est pas totalement insipide, déçoit un peu sur la longueur en ayant de moins en moins de surprises. Appuie sur le carré, Jaume, c'est le moment.
"[REC]" a été l’un des meilleurs films d’horreur de ces dernières années avec "The Descent" grâce à sa mise en scène ingénieuse et son réalisme, offrant au spectateur un sentiment d’oppression trop rare au cinéma. Il y avait malheureusement fort à parier que le succès international du film inciterait les producteurs à lui donner une suite, et ce alors que la fin clôturait parfaitement l’intrigue. Nous avons donc droit à un 2e tour dans l’immeuble mis en quarantaine grâce à l’intervention de la brigade d’intervention spéciale... et l'on ne peut que constater que le film fait dans la redite. Pourtant les réalisateurs ont tenté de se démarquer du 1er épisode en proposant un double point de vue avec les images de la Brigade, suivies des images d’un groupe d’adolescent an mal de sensations fortes. Une idée pas trop mal mais assez limitée dans son exploitation qui fait plus diversion face au manque de substance du scénario qui se limite à une succession d’attaques déjà vues dans le 1er opus (qui lui au moins donnait de l’importance aux personnages). Mais le plus grave dans cette suite reste le parti-pris de donner une origine au virus... et pas n’importe laquelle puisque Satan s’avère être le grand méchant de l’histoire ! Le film lorgne dès lors vers "L’Exorciste" et non plus vers les films de Romero, ce qui m’a personnellement dérangé, notamment lorsque les porteurs du virus parlent avec une voix d’Outre-tombe beaucoup trop entendue au cinéma (un peu de renouvellement à ce niveau ne ferait d’ailleurs pas de mal). Je passe sur les énormités telles que les passages secrets qu’on ne voit qu’avec la vision infrarouge ou la facilité avec laquelle les gamins pénètrent dans l’immeuble. Heureusement que le twist final fait un peu passer la pilule... Quant au casting, il ne marquera pas les esprits à part peut être Manuel Velasco (la seule survivante du 1er film) dans un rôle surprenant et Jonathan Mellor en prêtre jusqu’au-boutiste. Une petite déception donc (même si certaines scènes restent flippantes) et la confirmation que "[REC]" n’aurait jamais dû connaître de suite. Et dire qu’un 3e épisode est en préparation...
Il y eut Rec et Cloverfield, il y eut un film de qualité et un navet dénué de sens du son succès à internet. Que pouvait-on attendre de Rec2. Point négatif, sequel d’un succès, point positif, les mêmes têtes ibériques aux commandes. Balaguero et Plaza reviennent donc avec le lourd objectif d’offrir une suite descente à leur amusant précédent opus. Il faut dire que l’ensemble est plutôt réussi pour qui aime à souffrir dans ce film de genre. Il fallait donner de la logique à cette suite ; ne pas filmer gratuitement et sans sens narratif (cf.Cloverfield) ce que Rec évitait par son malin scénario. Chose réussit encore une fois (les caméras implantées sur des casques servent à une équipe de policiers lors d’une opération). Film de genre faisant suite et complément du premier opus et ce avec intelligence (belle idée de développer l’origine du virus). On peut même considérer le film en 3 actes, complémentaires, donnant au final un bien joli moment de frayeurs primales (jeu de noir, le son). C’est basique, vivant et sans doute un des films les plus réussit dans ce genre concernant l’année 2009.
On prend les mêmes et on recommence... le premier opus a fait un tel carton au box office que les producteurs n'ont pas pris le risque de décevoir les fans. Le scénario se contente donc de remplacer les pompiers et les journalistes par un commando de forces spéciales et l'action reprend exactement là où on l'avait laissé. Les morts violentes s’enchaînent donc à toute vitesse, entrecoupées de moments de tension parfaitement entretenus par une obscurité carrément flippante. Évidemment, l'ensemble est de nouveau tourné caméra à l'épaule ce qui peut, à la longue, créer une légère nausée. Ceci dit le film ne dure que 75 minutes et on a pas le temps de vraiment souffrir du mal de mer. Le résultat est diablement bon, vivement la suite ! Ah, j'allais oublier... le doublage français n'est pas de très bonne qualité ; si vous parlez Espagnol, mieux vaut sans doute privilégier la VO.
Beaucoup plus orienté exorcisme que le premier volet qui lui exploitait le filon zombies. Le scénario est plus diversifié et avec quelques surprises. Suite légitime qui va plus loin et avec en prime une fin pour le moins originale! (Très bien)
Il est difficile de faire une suite à un film qui fut une réussite, le haut taux d'échec concernant les suites ne touche pas les producteurs et peu les réalisateurs et ici, si le film n'est pas un véritable échec, ce n'est pas non plus une réussite. Balaguero et Plaza reprennent au début du film les motifs du premier opus pour réhabituer le spectateur au premier mais on se demande vite quand vont s'arrêter les hurlements et pleurs perpétuels des protagonistes et quand on va retirer la caméra à l'enfant de 3 ans qui la tient. La première partie du film est insoutenable visuellement tant la caméra virevolte dans tous les sens et à outrance jusqu'à provoquer le mal de crâne. Heureusement pour notre migraine et malheureusement pour la qualité du film, les deux réalisateurs introduisent des tentatives d'évolution visuels qui finalement n'apportent rien au film comme la caméra sur les casques, le second souffle tombe donc à plat. Dans la seconde partie, le film se pose et voit l'arrivée de trois adolescents qui s'avèrent eux aussi inutiles, il apparait qu'ils ne possèdent pas plus de profondeur et de contenu que les précédents et ils seront d'ailleurs, comme le signe de leur non intérêt, mis au placard, le double point de vue n'apportant rien à l'histoire. La tentative d'évolution n'est pas que visuelle, elle se retrouve dans l'histoire; d'un film de zombie on passe à un film traitant du diable, de possession (un peu évoqué à la fin de "REC") et si cela apporte un second niveau de lecture, une progression, la tentative connait quelques embuches comme pour l'interrogatoire qui se transforme en cliché du genre mais aussi quelques réussites, notamment le twist final. Malgré quelques efforts pour ne pas stagner et ne pas reproduire "REC" premier du nom, le film ne peut que décevoir tant les mécanismes horrifiques sont déjà connus et peinent à recréer la même expérience que lors du premier film.
Un mauvais film d'horreur qui ne m'a pas du tout fait peur.Mal filmé , un film d'horreur qui ne crée ni peur et qui n'est pas angoissant. Les quelques rares scènes gores sont très mal filmé ce qui casse l'effet .Ce second volet est aussi mauvais que le premier. Et c'est tellement mal filmé que sa devient vite très désagréable a regarder. Et quel ennuis.
ça y est on connait le pourquoi du comment !!! mais plus rien ne nous surprend dans cette suite pas très bien ficelée et prévisible. Les amateurs de sursauts trouveront tout de même leur compte.
Loin de l'impact du premier volet, ce "Rec 2" perd du temps en nous présentant le point de vue de deux groupes de protagonistes avec un retour en arrière plutôt mal venu. La nouvelle optique de l'intrigue est une très bonne idée et permet de ne pas refaire exactement le même film. La fin est bien sentie et très intrigante.