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podilato14
38 abonnés
193 critiques
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3,5
Publiée le 10 avril 2014
PAS MAL, un peu dégueulasse quand même surtout à l'époque ou est sorti le film, Andréa Ferréol est une vraiment grosse pute, c'est dit comme un compliment car elle joue très bien son rôle, voir aussi Les Galettes De Pont Aven
Un chef d'oeuvre qui traite de beaucoup de choses avec maturité, des moments justes scandaleux! Un peu déçu sur la toute fin, mais c'est subjectif car je suis sûr que Ferreri n'aurait pas voulu dire plus que ce qui a été dit. A voir!
Que ceux qui n'ont jamais fait "d'orgies" ou de bonnes bouffes entre copains (comme les coincés du festival de Cannes, il faut croire )me jettent la première pierre .
J'adore ce film
D'abord il y a les plats, élaborés par Fauchon, et les Très grands acteurs (presque tous disparus) , et cette mélancolie ... A voir ! Il ne sortira plus jamais de films comme ça .
Alors, j'ai bien compris la fable absurde, le côté anti-société de consommation, mais... Bon dieu que c'est laid. Fallait-il vraiment des plans aussi alambiqués pour faire passer le message ?
Le suicide par la nourriture ; une bonne idée qui réunit Marcello, Ugo, Philippe et Michel, las de leurs vies respectives. Ils s'enferment dans une demeure parisienne, accompagnés de dames de compagnie pour les accompagner dans leur funeste cène.
Rien à dire sur le jeu des acteurs, relativement bien en phase avec cette production, même si l'aspect vieillot relance sur d'autres films italiens de cette époque. Malgré l'anti-conformisme de la chose, force est de constater qu'il a bien vieilli et qu'il cède aujourd'hui plus le pas à l'ennui qu'à la réaction.
la sur et sous consommation , l'ennuie des riches du pouvoir la bouffe , le cul , les femmes , la morale , le mélange des genres coup de maître Ferreri hué par les crasseux du festival de cannes à l'époque et c'est un pieds de nez ces snobinards et riches de la coté d'azur ces bouseux qui n'on que de yeux que pour leur paraître leur égocentrisme . ce film montre bien la fatigue les vies ennuyeuses , leurs désirs inassouvis, et pour y mettre fin le suicide par la bouffe manger à en crever .
la sur et sous consommation , l'ennuie des riches du pouvoir la bouffe , le cul , les femmes , la morale , le mélange des genres coup de maître Ferreri hué par les crasseux du festival de cannes à l'époque et c'est un pieds de nez ces snobinards et riches de la coté d'azur ces bouseux qui n'on que de yeux que pour leur paraître leur égocentrisme . ce film montre bien la fatigue les vies ennuyeuses , leurs désirs inassouvis, et pour y mettre fin le suicide par la bouffe manger à en crever .
la sur et sous consommation , l'ennuie des riches du pouvoir la bouffe , le cul , les femmes , la morale , le mélange des genres coup de maître Ferreri hué par les crasseux du festival de cannes à l'époque et c'est un pieds de nez ces snobinards et riches de la coté d'azur ces bouseux qui n'on que de yeux que pour leur paraître leur égocentrisme . ce film montre bien la fatigue les vies ennuyeuses , leurs désirs inassouvis, et pour y mettre fin le suicide par la bouffe manger à en crever .
Un film subversif, dérangeant et drôle. La Grande bouffe, c'est l'orgie protée aux nues, la bonne chaire poussée jusqu'au suicide. C'est une diatribe sociale où les hommes riches, les notables, ne trouvent de raison de vivre (et de mourir) que dans l'excès. C'est aussi une simple volonté provocante, l'amusement lié au désespoir, le suicide par le pet. La Grande bouffe s'illustre dans une tradition de l'humour subversif des pétomanes du début du XXe siècle, mais se sublime dans la dévotion. La mort apporte une grandeur à cet abandon charnel. C'est une critique de la société de consommation, qui gâche et surconsomme et qui conduit directement à la mort. L'insouciance consciente est le paradoxe de ce film, atrocement pessimiste, non seulement délicieux mais également dérangeant quarante ans plus tard. Il continue et continuera d'interroger.
« Il reste de la farce ?.... C'est la vie qui est une farce ». Le cinéma sert aussi à provoquer. Et qu'il provoque du plaisir ou du dégoût importe peu, ce sont des émotions.« La grande bouffe », cauchemar pour les anorexiques, chimère des grenouilles de bénitiers, fléau des biens pensants, un film hué et conspué par la Croisette qui avait visiblement oublié de retirer son balai ce jour là. La bouffe et le cul, la frontière ténue qui sépare l'Homme de la Bête (d'ailleurs il y a beaucoup de bêtes, plus ou moins vivantes, dans le film), une réflexion sur la sur-consommation, sur l'argent et la fonction (profession) qui ne font pas le bonheur. Un jeu macabre entre 4 immenses acteurs (et une actrice, Andrea Ferréol, aux formes généreuses, ça change), un humour corrosif, une insolence maîtrisée et de la bouffe, toujours de la bouffe, jusqu'à en crever. Et puis un film dont l'affiche fut dessinée par l'immense Jean-Marc Reiser... Chapeau Marco.
Inspiré de Sade dans son concept de l’accomplissement de ses vices avant de mourir, Marco Ferreri a eu l’idée ingénieuse de placer la nourriture au centre des plaisirs de ses personnages. Ce choix a permis de faire de La grande bouffe une allégorie des dérives de la société de consommation ainsi que des instincts humains qui font souvent cohabiter difficilement le corps et la raison, une peinture dégradante donc qui ne put s’empêcher de créer un scandale lors de sa présentation à Cannes en 72 (une année où les critiques étaient déjà occupés à conspuer La maman et la putain d’Eustache). Voir des notables se ridiculiser ainsi en s'empiffrant à en crever, souffrir de problèmes intestinaux et embaucher des prostitués put à l'époque sembler révoltant mais a surtout permis de lever certains tabous scénaristiques importants. Le quatuor d’excellents acteurs, dont les rôles partagent les prénoms, donne agréablement vie à ces bourgeois aux mœurs écœurants et rend donc prenante cette orgie culinaire dont le scénario semble pourtant un peu répétitif.
Le film est imparfait, il se complait dans une ambiance pesante, scatologique, terriblement crade et dérangeante. Mais ce qui fascine le plus avec cette œuvre, et qui en fait un chef d’œuvre, c'est l'histoire qu'il y a autour. La Grande Bouffe a été présenté à Cannes et a subi une vindicte incroyable, mettant de façon quasi unanime ce film dans les films indignes du 7ème art. 40 ans plus tard, on redécouvre ce film et l'on se rend compte que celui-ci est bien plus que de la provocation scatologique et de mauvais goût. Il est un écrin de vision de ce que devient l'homme dans la société moderne: une machine à manger et à baiser. La société de consommation dans toute sa splendeur. De loin, le film possède pleins de défauts de facture. Mais le premier degré des personnages (les noms des personnages sont en fait les noms des acteurs), leur non interprétation au delà de certains traits de caractères, font que le film devient intriguant, su ce qu'il révèle un tant soit peu de l'Homme. Et c'est aussi le meilleur moyen de démarrer un régime, vous ne voudrez plus manger pendant un certain temps après avoir subi ce chef d’œuvre.
la sous-consommation , l'ennuie des riches du pouvoir la bouffe , le cul , les femmes , la morale , le mélange des genres coup de maître Ferreri hué par les crasseux du festival de cannes à l'époque et c'est un pieds de nez ces snobinards et riches de la coté d'azur ces bouseux qui n'on que de yeux que pour leur paraître leur égocentrisme . ce film montre bien la fatigue les vies ennuyeuses , leurs désirs inassouvis, et pour y mettre fin le suicide par la bouffe manger à en crever .
la sous-consommation , l'ennuie des riches du pouvoir la bouffe , le cul , les femmes , la morale , le mélange des genres coup de maître Ferreri hué par les crasseux du festival de cannes à l'époque et c'est un pieds de nez ces snobinards et riches de la coté d'azur ces bouseux qui n'on que de yeux que pour leur paraître leur égocentrisme . ce film montre bien la fatigue les vies ennuyeuses , leurs désirs inassouvis, et pour y mettre fin le suicide par la bouffe manger à en crever .