Avis : Banlieue 13 - Ultimatum - Page 6

Un sans-faute pour ce film d'action qui m'a vraiment diverti, car j'y ai cru du début jusqu'à la fin. C'est ça la magie du cinéma...

j ai bien aimé
les deux acteurs sont vraiment fort, respect pour eux et continuez
en plus la fouine et rim k sont des guests
certes le scenario est banal mais les scenes sont assez epiques
merci besson monsieur 1 million d entree

Une suite purement commerciale! Aucune innovation a tout niveau et une réalisation fait à la va vite (c'est l'impression que cela donne).

Le décor, sans le concept. Le retour dans la banlieue 13 vous sera difficile : les acteurs se contentent de réciter leurs vannes sans les faire vivre, les dialogues n'ont pas une once de saveur, le scénario se borne à être et caricatural, celui d'un polar basique où l'on explose le scénario au montage pour essayer -en vain- de la rendre plus captivant. On final on s'ennuie ferme et on attend la prochaine baston ou le prochain exploit fascinant des Yamakazi. C'est lourdingue et la trame socio-politico-en est réellement ridicule et parfaitement grotesque ; que le final est carrément sans appel ! Même le message un peu gentillet sur la tolérance et le rassemblement des communautés fait pâle figure après l'heure est demi, qui nous a parut assez long. S'arréter au 1 aurait été suffisant (meme si la base était la même, le scénario était pour le coup légèrement original et nous offrait un bon spectacle (même si le scénario, n'était pas dés plus recherché). MAis sa va une fois, la deuxième ; c'est de trop.

J'ai regardé ce film sans à priori à ceux que je m'attendais vu que je n'ai pas aimé le premier volet, une oeuvre qui vaut le coup d'oeil que pour les scènes de cascades. Ici, on peux dire la meme chose, les scènes d'actions de Cyrill Raffaelli et les sauts d'étages de David Belle sont les raisons auquel je mets une étoile. Le reste du film est sans relief, mal écrit, mal joué, trop caricaturale. Une production Luc Besson qui ne nous surprend plus et pourtant, quand le cinéaste veut bien faire, ça peut donner quelque chose mais depuis sa direction de la société EUROPACORP, c'est du gachie. Autre étonnement, Philippe Torreton, homme de théatre et acteur fétiche de bertrand Tavernier autrefois dans ce genre de film, les revenus fiscaux doivent surement passer par là. Passez votre chemin.

On prend les mêmes et on recommence...
rien de nouveau en terme de cascade, course poursuite, dialogue... bref on a une grosse impression de déjà vu et on se lasse rapidement.

Le scénario est aux abonnés absents. Les acteurs ne sont pas excellents. Le film vaut juste pour ses scènes d'action et de cascades.

Un scénario qui sort de l'ordinaire et qui se montre intéressant, des acteurs au talent incontestable, une mise en scène personnelle travaillée à la perfection, une bande originale qui déboite... Voilà les atouts qui auraient pu valoriser Banlieue 13 si les productions Besson étaient des chefs-d'oeuvre. Ce qui n'est, en ce monde, pas du tout le cas. Et avec avec Banlieue 13 - Ultimatum, on nous prouve une fois de plus que ce qui fut l'un de nos plus grands réalisateurs nationaux (ne pas oublier Nikita, Le Grand Bleu et Léon), ne produit et n'écrit plus que des navets de bien piètre qualité (quoique certains peuvent sortir du lot, comme Taken), et n'aide donc pas vraiment ses chers poulains (même si la carrière hollywoodienne de Louis Leterrier est bien lancée). Bref, Banlieue 13 n'était qu'un divertissement vite oubliable et ce malgré quelques cascades. Et sa suite ne vaut guère mieux !

Bouuuh, le film a perdu tout le charme du 1er épisode. Les situations sont tellement incohérente, les acteurs récitent trop leurs texte. Les musique sont pompeuse, les guest star sont ridiculement drôle. Seule certaines cascades sauve le film de statut de navet !!!

Il bouge aussi bien que le 1er, le scénario est recherché et les cascades restent la principale attraction.
Les dialogues, en revanche, sonnent toujours aussi faux à la limite du récité, les flics passent pour des cons et la racaille est valorisée en "tout le monde il est beau tout le monde il est gentil".
J'adhère pas du tout au discours " tous unis pour vaincre " dans cette ode à la tolérance sur fond de joyeuse mixité sociale. C'est beau de rêver...
Ça se prend un tout ptit peu trop au sérieux^^
J'apprécie cette franchise uniquement pour son duo complice, tonique et décoiffant.

Banlieue 13 : Ultimatum qui est la suite du 1er volet est pas mal et qui est dans la continuité du 1er volet , le scénario est semblable au 1er et il y a beaucoup de scènes d'action avec des combats et des voitures

Un homme manipule le président de la République pour détruire la Banlieue 1" et ainsi rebâtir un nouveau quartier. Heureusement, Damien et Leïto interviennent.

Le premier opus nous avez pondu un scenario minable mais des scènes d'actions plutôt impressionnantes qui au final donnait un navet distrayant.

Ici, ce n'est pas le scenario complètement débile écrit par un gamin de 8 ans qui choque, ni les acteurs plus mauvais les uns que les autres, ni les dialogues risibles ou encore les cascades bien en dessous du premier épisode. Ce qui choque, c'est la morale nauséabonde qui en ressort ! Les trafiquants sont décrits comme des gens biens à la morale irréprochable tandis que les forces de l'ordre sont ridiculisés et présentés comme des personnes malintentionnés et pervers. Un film scandaleux et ridicule.

Un poil en dessous du précédent mais on aime pour les mêmes raisons : La satire et les cascades, encore une fois très réussies.

On prend les mêmes présents dans le premier volet et on recommence, sauf que là où Banlieue 13 était plus parodique, le second s’oriente plus vers le coté clipesque en prenant le risque de se prendre au sérieux. Ce nouvel opus est donc un film d’action qui ne prétend être autre chose d’autre pour ce qui est du point de vue esthétique et narratif, car on a l’impression (musique assez lourdingue aidant considérablement) d’assister à un long clip de rap aux qualités hétérogènes. Lorsque l’on sent enfin arriver le moment dans une scène où les dialogues vont faire place aux perpétuelles scènes d’actions ou autres, il y a toujours quelqu’un qui enclenche systématiquement un son sonore que se soit mp3 ou chaine-hifi afin d’éviter que l’on se retrouve dans un silence ambiant qui ne peut être toléré dans ce type de film. Mais à force de trop vouloir mettre de fond sonore, cela finit par plomber l’ambiance générale du film. Cette suite ne vaut pas grand-chose tant Luc Besson ne fait qu’inverser l’histoire précédente afin de ne pas trop se casser les doigts, cette histoire aurait quand même put tenir la route si il n’y avait pas autant d’invraisemblance constantes et beaucoup de contradictions. On reconnait volontiers que ce nouvel opus dit tout et son contraire , étant à la fois chant idéaliste pour la diversité culturelle alors que les premières minutes du film nous montrait un repli communautaire avec une impotence du respect du peuple alors qu’il tape et tire sur tout ce qui bouge. Bref du Besson qui depuis quelques années nous divertie avec ces films, sans trop nous forcer à réfléchir et nous poser de questions.
Mais cataloguer les défauts de ce film reviendrait à lister les codes du divertissement qui possède une place considérable dans l’industrie du cinéma tant ce domaine est sollicité par le public (un peut moins par la critique), on reconnait volontiers que Banlieue 13 Ultimatum...
critique sur:cthiboy.blogs.allocine.fr

Le numéro 1 était vraiment mauvais. Le 2 l'est encore plus. C'est d'ailleurs le problème. Plus violent, plus vulgaire, plus d'action, plus de gags (écrits par Luc Besson, donc, en guise de gags, on a des coups de pieds aux boules, très drôle, j'ai envie de dire), plus de démagogie aussi.

S'il n'y avait cette espèce d'idée immonde que le gouvernement ne fait rien pour la banlieue, le film pourrait être à la limite du regardable. Là, c’est trop dur. Les dealers d'héroïne sont gentils, tout comme les mecs qui se baladent avec des bazookas et qui détruisent des commissariats peuvent fumer un cigare tranquillement avec le président. Sinon, le film va de mal en pis. Si les trente premières minutes ne sont pas trop ridicules (Cyril Raffaeli attire des trafiquants déguisé en asiatique avec une voix de fausset qui fait passer les trafiquants pour des cons, à noter la présence de Frédéric Chau et Rim’K), l'heure qui suit est absolument indigeste, démagogique à souhait, carrément insultantes envers les policiers et surtout, les banlieusards qui passent pour des sauvages qui recréeront une société faite de drogue, violence, mais famille (indigent et indigeste).

Quand au jeu d'acteur, on ne peut pas trop en parler, vu le niveau des soi-disant acteurs. Dire que les meilleurs acteurs sont MC Jean Gab’1, Philippe Torreton et surtout James Deano (qui m'a arraché un sourire avec son gimmick du coup de tête.). La musique est immonde.

Autant on peut reprocher à Luc Besson de faire des films pour plaire aux jeunes des cités, et c'est le cas de le dire dans Banlieue 13 et Banlieue 13 Ultimatum, autant on ne peut pas lui reprocher la qualité d'action de ses films.
Par contre, Besson ne sait pas se renouveler : depuis Taxi, en passant par Yamakasi, ses affiches se ressemblent, avec le ciel bleu et la ville en fond. Manque d'originalité.
Ici, il y a un bon concept qui change du 1er Banlieue 13, où le "méchant" n'est plus un chef de cité (et un ministre qui a pété les plombs), mais un homme d'affaire corrompu. L'idée d'alliance entre racailles, pour la bonne cause, qui est développée dans cette histoire, et bien entendu toute l'action et le suspens que l'on retrouve ici, m'ont vraiment plu.
Un film d'action à la française qui en jette, dans les idées qui y sont développées comme dans le suspens présent du début à la fin. A la fois simple et bien pensé. Ça marche ! Et tant pis pour les mauvaises critiques.