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Loin de moi l'idée de mettre en doute le talent de Riad Sattouf, mais ce film caricatural fait passer les jeunes (garçons) de 14 ans pour grotesques, en mettant dans leur bouche des questions, des fantasmes et des conversations de gamins fréquentant le CM2 (Internet étant là). Je sais que nous sommes dans l'ère de l'infantilisation (en contradiction avec ces jeux (sexuels) d'adulte auxquels les jeunes, dès 12 ans, s’adonnent), mais les "14 ans et plus" d'aujourd'hui ne sont pas comme ça (ils sont plus "évolués" - et aussi moins respectueux de la gente féminine - car ayant déjà une certaine expérience) tout comme nous ne l'étions pas (aussi grotesques) au même âge voici 4 décennies (et nous n'avions pas Internet - mais il est vrai que nous n'avions pas d'expérience et qu'on fantasmait beaucoup).
Efficace, porté par une bande originale de qualité et une réalisation réussie, Les Beaux Gosses reste néanmoins une œuvre très surestimée par la presse. En somme un film classique et conventionnel qui surnage néanmoins dans les productions de ce genre portant sur l'adolescence complexée.
https://www.facebook.com/La-7eme-critique-393816544123997/
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Hervé est un adolescent et comme tout jeune de son âge, il est préoccupé par les filles, le collège, les amis et a honte de sa mère. Sa maman, une dépressive quadragénaire, le taquine au sujet de ses pulsions sexuelles, ce qui a le don de l’exaspérer et finit par le mettre réellement en colère. Hervé a des copains laids, mal dans leur peau un peu benêts qui recherchent comme lui maladroitement le grand amour. Quand, un jour, Aurore, une très jolie jeune fille, propose à Hervé de sortir avec elle, tout se transforme pour lui. Mais ce jeune homme est bien maladroit, ne sachant comment se conduire avec « les femmes ».
L’auteur de ce film relate des événements qui se déroulent lors des années collèges. Ce film est une bonne comédie qui décrit le monde des adolescents, leurs soucis, leurs joies, les premiers émois amoureux, les déconvenues sentimentales. Malheureusement, les stéréotypes sont trop flagrants, ce qui fait perdre un peu de crédibilité au film qui sombre parfois dans la caricature. Toutefois ces « caricatures » dressent des portraits de personnages parfois intéressants comme celui de la mère d’Hervé, une soixante-huitarde typique qui n’a absolument aucune autorité sur son fils !
Cette comédie sans haute portée intellectuelle ni tellement réfléchie nous attendrit parfois et nous fait rire, toujours ! Alors, si vous souhaitez revisiter vos jeunes années, vous laisser bercer d’un peu de nostalgie, à vos téléviseurs !
L’auteur de ce film relate des événements qui se déroulent lors des années collèges. Ce film est une bonne comédie qui décrit le monde des adolescents, leurs soucis, leurs joies, les premiers émois amoureux, les déconvenues sentimentales. Malheureusement, les stéréotypes sont trop flagrants, ce qui fait perdre un peu de crédibilité au film qui sombre parfois dans la caricature. Toutefois ces « caricatures » dressent des portraits de personnages parfois intéressants comme celui de la mère d’Hervé, une soixante-huitarde typique qui n’a absolument aucune autorité sur son fils !
Cette comédie sans haute portée intellectuelle ni tellement réfléchie nous attendrit parfois et nous fait rire, toujours ! Alors, si vous souhaitez revisiter vos jeunes années, vous laisser bercer d’un peu de nostalgie, à vos téléviseurs !
Couscous
Un nav.. Un film français je voulais dire. Hormis quelques scènes drôles le film est long et lassant et donne un sentiment de dégout. Je ne parle même pas des scènes qui ne dure pas plus de 8 secondes.. C'est bon on a compris que les jeunes aiment se masturber.
Riad Sattouf nous livre ici une œuvre d'une grande drôlerie sur l'univers de l'adolescence et des premières amours. On y retrouve avec un bonheur l'univers décalé, cru et impertinent du génial auteur de bande-dessinée, qui nous montre ici qu'il est aussi un superbe réalisateur. Un grand bravo à tous les acteurs, tant les plus jeunes que les plus âgés. La musique est très belle. Une petite pépite.
J'aurais pu me passer de voir ce film, ce n'est pas qu'il est nul, mais il y a mieux.
L'histoire est drôle, les personnages sont attachants, mais cela ne suffit pas à faire décoller ce film.
L'histoire est drôle, les personnages sont attachants, mais cela ne suffit pas à faire décoller ce film.
Les Beaux Gosses : Un film sur l’adolescence, le collège, les premiers beco, sa parle de sexe, les ados ont des boutons, ils découvrent l’expérience de la vie ^^… Ce film est tellement cliché et grossie de tout les sens que ça en devint marrant et on rigole bien. Non mais des fois, on dirait vraiment de la Science fiction ou alors on n’a pas vécu les mêmes choses ^^. Je pense que c’est voulu cette caricature de l’adolescent, pour mieux ressortir la vérité qui fait bien sourire car dans cette grande caricature, il y a quand même un peu de vrai mais bon. On dirait qu’ils ont fait un casting pour tous : les acteurs, les vêtements, la coupe de cheveux qui fait vraiment rigolé… Mais, je trouve ça assez fort et dans son délire, ce film est plutôt réussit et il faut dire que on ne décroche pas car on est toujours curieux de voir on le film va nous amené. Et c’est ça la vrai force du film et c’est que on est captivé malgré tout. Car, vu le langage qui ont, l’attitude… il y a de quoi rigolé encore une fois. Et puis, les personnages en devinent même attachants et intéressants a suive. Bon, la fin est un poil trop rapide, on ne comprend pas quand le générique de fin arrive. Après, dans leur genre, les acteurs jouent très bien et ils sont plutôt crédibles. Après, la réalisation n’est pas forcement grandiose, parfois aléatoire même bon. Donc voila, si c’est une comédie, je me suis bien marré et c’est une bonne surprise, tout proportion gardé.
Très drôle. On retrouve l'univers des BD de Riad Satouf.
Une réalisation largement (et le mot est faible) surcotée qui s'explique par la notoriété de Sattouf. Le côté décalé ne mérite pas tant d'éloges, la mise en scène est banal, le jeu des jeunes acteurs est franchement mauvais, l'humour en provenance de ces bd que tente de faire passer Riad Sattouf sur grand écran ne prend pas.
Assez miraculeux dans l'équilibre onirique/réaliste et sociologique/potache, on prend du plaisir à suivre des dialogues ciselés et des personnages super attachants et hilarants. Une vraie bonne surprise.
marrant et bien interprété, on passe un bon moment avec la jeunesse.
Volontairement caricatural, ce film à base de boutons d'acné juvénile, de branlette et de roulages de pelle baveux à souhait est un plaidoyer pour les ados un peu losers et débordés par leurs hormones. Un peu dans la même veine qu'"American Pie", "les beaux gosses" rappellent que la découverte de l'amour et de la sexualité est un chemin semé d'embûches.... Les personnages sont attachants,
spoiler:
bien que la bipolarité d'Aurore puisse agacer.
Vincent Lacoste est parfait dans le rôle d'Hervé.
En bref, un film bourré d'humour -certes un peu lourd- qui a le mérite de prendre à contre-pied le genre du teen movie traditionnel.
Vincent Lacoste est parfait dans le rôle d'Hervé.
En bref, un film bourré d'humour -certes un peu lourd- qui a le mérite de prendre à contre-pied le genre du teen movie traditionnel.
Quatorze ans et toujours puceaux, la bande à Hervé est à la croisée des âges. Souvenez-vous de cette période injuste, qui scindait les pupitres selon le physique (le leur est ingrat), la maturité (la leur n’existe pas) et la force du charisme (leur peau croule sous l’acné, leurs cheveux sont gras, mamy a cousu leurs pulls et quand ils rient, on croit entendre un ânon qui brait : à vous de juger). A la sortie des cours, ils égayent leur quotidien de jeux de rôle dans le noir, d’essais spiritistes, de vidéos hots et d’un catalogue La Redoute. Le soir, un ersatz de Skyrock en guise d’exutoire, ils rêvent à leurs petites camarades, celles qui promènent leurs jambes fines et leur divin sourire au milieu de la cour de récré. Mais il suffit d’un timbre fluet pour les faire bégayer, d’un short trop mini pour les remplir de sueur. Liquéfiés devant le sexe dit faible, pas dégourdis pour un sou, contraints de tenir leurs fantasmes dans les murs de leur chambre, ils se vantent pourtant beaucoup devant leurs potes. Inspiré par sa série en strips La vie secrète des jeunes, elle-même issue de son observation aigüe de l’adolescence, Riad Sattouf nous sert une cuisine bouillante, féroce et franchement hilarante. Entre fote d’aurtografe et tremblotements niais, punk-rock frenchy et portraits acides, cette première réalisation – sanctionnée d’un César – est une totale réussite.
Vinz1
Un portrait intelligent et drôle à la fois sur l'âge ingrat de l'adolescence. Sans caricaturer à mort, Sattouf tire son épingle du jeu avec des situations cocasses et des personnages secondaires savoureux (cf. la mère dépressive mateuse !). Ah la coupe mulet et les boutons plein le visage, quel plaisir !
Génial du début à la fin, de beau plan une histoire dans l'air du temps, un scénario développé, bravo !
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