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Un visiteur
1,5
Publiée le 9 avril 2012
Mouais, les gens rient parfois pour pas grand chose. J'ai trouvé ça profondément ennuyeux et ridicule. Heureusement que la musique classique est jolie, surtout à la fin !
Un film incroyable...Je suis réstée sans voix! C'est un merveilleux film, indéscriptible.Tellement merveilleux... Les acteurs sont excellents! Je n'ai pas compris pourquoi, les critiques sont si basses! Enfin, je conseille de voir ce film à tout le monde.
Poulet aux prunes est un conte dramatique au ton fantastique. Malheureusement pour lui, les situations rencontrées ne relèvera jamais la platitude du récit. Malgré la bonne prestation d'Amalric et le côté esthétique très "Jeuniesque" de la réalisation, le film ne convainc pas vraiment...
Un superbe scénario qui va crescendo jusqu'au dénouement final, tout simplement magnifique. Cette dernière séquence, d'une justesse et d'une émotion exceptionnelle, donne rétrospectivement au reste du film toute sa saveur. Les interprètes sont bons et la mise en scène est très inventive, avec notamment une poignée de scènes bourrées de poésie tendre et colorée, mais aussi d'humour. Le film est visuellement très réussi, et on sent cette fois-ci, bien plus que dans Persepolis, le premier film des réalisateurs, la patte visionnaire incontestable de Vincent Paronnaud, alias Winshluss, auteur entre autres de la magnifique relecture punk de Pinocchio en BD. A ce titre, pour cette adaptation de l'excellente BD de Marjane Satrapi, un film d'animation aurait peut-être été préférable, pour une plus grande claque visuelle ou même encore plus de poésie. Mais peut-être l'émotion aurait été moindre... Il n'empêche, Poulet aux prunes est un grand film et c'est là l'essentiel... A voir impérativement jusqu'au bout.
Si vous aimez qu'on vous raconte une histoire, comme autrefois, lorsque vous étiez petit, une histoire qui donne à rêver, alors vous adorerez ce conte merveilleux, cette belle histoire d'amour triste et les montages de Mr Amalric. C'est original, coloré, poétique et je ne comprend pas que le succès n'ait pas été plus important.
Adaptant fidèlement sa propre bande dessinée, Marjane Satrapi (aidée par Vincent Paronnaud) délaisse le style quasi-épuré d'origine au profit d'un foisonnement visuel plein de poésie, ne retrouvant que partiellement l'émotion simple qui découlait de ses dessins mais signant tout de même une tragi-comédie drôle et touchante, tragique même, portée par un Mathieu Amalric impeccable.
Adapter au cinéma un conte où l'image et la lumière ont une importance cruciale est un vrai défi. Que les auteurs de "Persépolis" ont relevé haut la main. La magie un peu enfantine de l'univers, l'enchaînement aux accès de conte de fées, et la dureté de la réalité sont très bien rendus. Avec toujours une poésie qui parfume tout le film et lui donne un caractère particulier. Et l'histoire d'amour qui se cache derrière l'intrigue est véritablement émouvante. On sent que l’œuvre originale était le matériel idéale pour tout cet univers, mais son adaptation au cinéma n'a pas à rougir de la comparaison. Les acteurs sont tous très bien.
Un démarrage, un Mathieu Amalric, et une photographie intéressants ne parviendront pas à surélever un film qui a tendance à s'enfoncer lentement dans l'ennui.
Après avoir vu Persépolis, je me suis dit, allez, avec ce film je ne prends pas trop de risques, je vais passer une bonne soirée.. Eh bien c'était raté! Pour commencer, dés le début on sait comment il va finir, la fin est explicitement montrée, donc on se demande pourquoi on le regarde. Ah! si pour savoir pourquoi cette histoire se termine ainsi! Eh bien il faut s'accrocher car ce dernier intérêt du film ne survient que pendant le 20 dernières minutes du film, et honnêtement ce n'est pas très palpitant... Les personnages sont caressés en surface, et semblent très superficiels, avec le QI émotionnel d'une chenille dans son cocon. Le film est séquencé en 7 jours (avec des pages noires qui annoncent le passage d'une journée à une autre) et manque cruellement de rythme, bref on s'ennuie effroyablement en regardant sa montre. Seul point positif, mais qui ne sert à rien quand la mise en scène, le montage et les personnages pèchent, l'esthétisme. Certes ce film est joli, mais la contemplation ne fait pas tout. Les musiques sont monotones et nous plongent vraiment dans le pathos, alors que personnellement j'aime le violon et les tragédies, là on s'approche du glauque. Bref, à voir en connaissance de cause!
Du bon et du mauvais dans la recette du film "Poulet aux prunes". Graphiquement c'est assez réussi, il y quelques bons passages, les personnages sont plutôt bien trouvés mais surtout l'histoire est vraiment trop romantique et sa construction un peu trop ampoulée avec quelques lourdeurs.
Pourquoi ne pas embaucher des acteurs iraniens plutôt que français ? (comme la magnifique Golshifteh Farahani qui a un rôle minuscule). Cela entame un peu la crédibilité du film. D'ailleurs les acteurs sont assez moyens, notamment Jamel Debbouze qui est particulièrement médiocre même s'il n'apparaît que très peu.
Persepolis était exceptionnel, Poulet aux prunes est un peu raté. Allez Marjane, tu peux faire mieux !
En voulant être différenciant, on se retrouve avec un "truc" ni queue ni tête, très désagréable à regarder ou la loufoquerie ne fait "sourire" que ceux du plateau. Un repoussoir puissant très loin de l'originalité que l'on attend, aujourd'hui, du cinéma. Un peu plus de 300 000 entrées pour un budget de 12 M€ Hum ! Pas étonnant. Bref que du mauvais à part quelques scènes "normales". 1/5 ! A fuir !!!
Difficile de retrouver ici les atouts de persepolis,car poulet aux prunes est son total contraire.La vie de se violoniste étant raconté sans aucun enthousiasme,ni conviction de la part de ses auteurs.le film manque cruellement d'inspiration,tant pour son histoire que visuellement.Le passage du monde animé au monde des acteurs live,embourbe les réalisateurs dans une mélasse qu'ils ne maitrisent pas ou rarement.Des choix visuels inadaptés pour un film live,rendant chacune de ces tentatives kitch a l'écran,ce qui n'aurait pas été le cas avec de l'animation.Drole de choix aussi que de voir Mathieu Amalric les yeux constamment écarquillés,aux poches sous les yeux ultra développés.Le film n'a ni l'intelligence de persepolis,ni son humour affuté.
Pour leur seconde réalisation en commun, après Persepolis, Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud ont su parfaitement nous transmettre les sentiments qui animent tous les personnages, à commencer par M. Amalric et Golshifteh Farahani, épris l’un de l’autre. On citera également Maria de Medeiros, convaincante dans son rôle de femme désespérément seule. Jamel Debbouze est lui un peu décevant. Porté par la musique d’Olivier Bernet et par la photographie de Christophe Beaucarne, le film est vraiment plaisant à regarder. Et ces biens ces deux atouts majeurs qui font la différence.