Derniers Avis : Perfect Mothers - Page 5

J'ai trouvé ce film très beau,très émouvant,esthétiquement parfait.Les paysages sont idylliques et les personnages sensuels.Tout se passe dans le calme au bord de l'eau et ça finit comme ça a commencé:ensemble c'est tout.

Film un peu trop surévalué je pense. Ce doit être les décors et les images qui font rêver. Les actrices sont belles, il n'y a pas de doute. Mais l'intrigue est franchement maigre et on ne peut rien espérer sur le déroulement de l'(in)action

Film qui nous raconte l’histoire de deux femmes quadragénaires inséparables qui tombent chacune amoureuses du fils de l'autre, tous deux âgés de 20 ans. Au-delà de l’aspect immoral et provocateur, il n’y a malheureusement pas de réflexion de fond sur cette situation, on reste au niveau des niaiseries.

Sans surprise et à la morale douteuse, Perfect Mothers amène une réflexion intéressante sur les relations d'amitiés profondes et de désirs refoulés. On peut dire qu'on suit les protagonistes de près sans en vouloir perdre une miette. Mais de là à franchir le pas... ? ;)

Film a voir. Un décor magnifique, des acteurs magnifiques.
Une histoire originale qui demande réflexion.
Soyez ouvert d'esprit pour apprécier ce film qui vous fait tout oublier pendant deux heures.

Le synopsis m'intriguant, j'y ai mis le nez et il y a une erreur, déjà les deux maris ne sont pas absents, ce n'est que celui de Robin.. Naomi étant seule. Ensuite dans le sujet de l'histoire, il n'y a que le couple de Robin qui fait vrai, le rapprochement est naturel et l'attirance est palpable, tout le contraire du couple de Naomi qui fait faux et qui se forme pour suivre le mouvement des deux autres... L'évolution voulut par les scénaristes ne me parait pas réaliste, les réactions ne sont pas bonnes et il y a des raccourcis qui ne me plaisent pas. L'affrontement entre les deux jeunes par exemple n'arrivent que trop tard. La fin est ce qu'elle est, pour celle-ci je dirais "pourquoi pas ?", c'est juste les obstacles qui ne sont pas bien trouvés pour arriver à cette fin. Les choix de Xavier Samuel sont à chaque fois discutable, le caractère et les pensées du jeune homme sont mal écrites spoiler: (choix de la petite amie, choix de rester avec elle car elle est enceinte, choix d'avouer tout au risque de tout détruire et le choix "facile" de ne plus voir son enfant (?))
. Pour le reste, les acteurs sont très beaux et esthétiques, peut-être un peu trop, le décor est paradisiaque mais à force de voir la même photographie toutes les cinq minutes cela devient lassant et hormis le vieillissement des deux actrices, aucune émotion ne nous parvient. D'où un sentiment d'échec dans cette entreprise !

Film d'une puissance extraordinaire et d'une intensité exceptionnelle. Je suis resté scotché, médusé par l'intelligence du scénario, les dialogues et situations, leurs rebondissements. Tout autant que la vacuité des critiques, ici, profondément choquées, qui font en fait l'éloge indirect d'une grande oeuvre parfaitement maîtrisée et construite. Beaucoup d'émotions, magnifiquement interprété, tout en nuances. Nous sommes ici à des années lumières d'un grotesque film commercial. De plus, c'est une oeuvre d'une très grande originalité. Je pense avoir dit tout le bien d'un film, que je ne soupçonnais pas à la découverte des avis défaitistes. En fait, un tout : le travail, la complexité des thèmes, la fluidité finale de l'oeuvre. Je remercie chaleureusement la réalisatrice d'avoir eu le courage d'aborder si délicatement des thèmes extrêmement complexes et particulièrement sensibles, avec un si bon esprit et mêlant une telle richesse et beauté. Une oeuvre majeure à ne surtout pas bouder. Les situations sont si exceptionnelles et intenses qu'elles peuvent largement déclencher un sourire, voire un rire. Ce n'est pourtant pas l'objectif du film, c'est donc à prendre comme un bonus inattendu, une vibration qui permet justement de se détacher de la gravité de thèmes très lourds, très difficiles à aborder sans cette construction et ces pirouettes ou rebondissements permanents. Une oeuvre bien évidemment sexuelle, mais tout autant respectueuse, pourtant qui laisse sur le cul. Ne peut laisser insensible : c'est bien là, déjà, une force et une présence manifeste quelle que soit l'émotion ou l'avis qui survienne derrière. Choquer certains ? c'est un immense compliment, une véritable réussite, une forme détournée de consécration. Même si à mon sens rien n'est justement fait pour provoquer ou harceler. C'est le talent de cette oeuvre profondément intelligente. Et c'est si rare, qu'il ne faut surtout pas la gâcher. Au final, c'est cette maîtrise qui peut se révéler choquante, tant on en a perdu insidieusement l'habitude.

Une nouvelle écrite par un prix Nobel de littérature ne pouvait être que profonde et enrichissante, surtout reprise par Anne Fontaine à son aise dans les problèmes sentimentaux. Las, quelle déception! Le scénario est complètement vide et durant la première heure, c'est du documentaire contemplatif bourré d'esthétisme. La mer elle même est filmée sans affection comme un film publicitaire de commande bien léché. Lorsque Harold, le père de Tom, repart définitivement à Sidney, un léger intérêt se manifeste mais ce n'est que dans les 20 dernières minutes que le cinéma reprends ses droits et que les vrais caractères apparaissent. Coté mise en scène, c'est trop souvent du téléfilm et si les acteurs sont irréprochables seules les deux femmes Roz et Lil sont filmées avec intérêt. C'est lorsqu'elle sont ensemble que c'est du beau cinéma qui se suffit à lui même. Le sujet, quoique très improbable mérite d'être connu avant de pénétrer dans la salle car il a de quoi déstabiliser dans la façon dont il est traité. Sous sa publicité tapageuse, il est d'une grande banalité. Quoi de plus normal en effet que deux jeunes hommes en pleine forme soit attirés par des femmes belles en pleine maturité dans le contexte de ce vécu, le contraire eut été étonnant. Doris Lessing n'a jamais approfondi les caractères laissant Anne Fontaine assez démunie et obligée de remplir le temps avec des scènes amoureuses pourtant infiniment plus agréables à vivre qu'à regarder sur un écran. L'essentiel de tout cela, soit cette question : ''comment est-t'il possible que ces quatre personnes en soient arrivées là en Australie pays hautement civilisé ?'' n'est pas dit. Le plan final est désespérant de lâcheté, nous n'aurons rien appris.

C'est de retrouver Naomi Watts qui m'a fait m'intéresser à ce film, et le regarder... Perfect Mothers nous parle de sentiments, d'amitié, d'amour, de confiance, du temps qui passe... Autant de sujets abordés, parfois avec succès, parfois pas... J'ai trouvé le film par moment long, j'avoue des fois je décrochais, malgré tout l'histoire de ces 2 mères qui tombent respectivement sous le charme du fils de l'autre m'a intéressé, ça sort de l'ordinaire, mais le problème, c'est que j'ai trouvé certaines réactions et dialogues un peu absurdes, c'est ce qui m'a en parti empêché d'y croire totalement... Sinon, c'est plutôt joli, calme, doux, c'est reposant, parfois un peu trop... J'ai trouvé certaines scènes très bonnes, et les deux actrices sont plutôt bien dans leur rôle... Je m'y suis, malgré tout, attaché... Je ne le recommanderais pas à n'importe qui, mais ça change, et c'était sympathique sans plus... Dfaçon j'ai vu Naomi pendant plus d'1h30 donc forcément j'suis content quand même!

Film très plat avec des répliques très minces. Il ne se passe pas grand chose et on s'ennuie beaucoup. Moi qui pensais passer un bon moment...

Un sujet intéressant ,pour ce film de Anne Fontaine sujet très peu traité au cinéma .Une histoire ,sur deux mères amoureuse du fils de l'autre ,incestueux un peu oui cependant le film dispose d'une remarquable mise en scène ,et d'un excellent scénario .L'interprétation de Naomi Watts et Robin Wright ,et aussi remarquable ainsi que les deux jeunes comédiens .Le déroulement de l'histoire ,est très intéressant car on sais que les relations finirons ,et de quelle manière et ceci en détruisant autour d'eux .Un film d'Anne Fontaine ,qui est un très bon film avec un sujet bien traité sans tombé dans un flot de clichés ,une pépite a voir

Au départ j'étais intrigué par l'histoire du film, je prévoyais une histoire haute en couleurs et en rebondissements ; erreur de ma part. Ce film est plat, il est emprunt d'un furieux manque de dynamisme et de crédibilité. En effet, quelles femmes, aussi proches soient elles, trouveraient normal de coucher avec le fils de l'autre ? Si on en croit le scénario, elle ont passé leurs vies ensemble, elles ont vu le fils de l'autre naître, l'ont sans doute langé dans ses plus jeunes années et désormais elles couchent avec. Ce film plaira peut-être aux plus crédules et amateurs de mauvais goût d'entre nous, mais pas à moi.

Le sujet, particulièrement dérangeant, aurait mérité d'être traité d'une manière plus audacieuse en tentant de poser des questions d'ordres morales. Néanmoins le film est très plaisant notamment grâce à la beauté et la sensualité des 2 mamans particulièrement séduisante.

Osé, sensuel et immoral. Le film a un rythme lent. On a le temps de s'asseoir près de cette ville côtière pour voir cette histoire quasi incestueuse et irréelle. Le film est traité avec sensibilité et nous épargne les clichés. Le récit est vécu sans véritable passion mais nous embarque tout de même.

Il est des fois, où tu regardes un film et à mesure qu'il se déroule tu te demandes: mais c'est quoi le projet en fait?

Parce qu'à moins d'être un pur allumé de la tronche du genre le type qui couche avec sa soeur en train de regarder un film pornographique joué par Papa et Maman, comment peut on appréhender un tel truc sans être révulsé au plus profond de soi, sans frémir intimement devant cette perversion exposée le plus normalement du monde!

Car qu'on se le dise clairement, ce Perfect mother malgré ses atours romancée d' histoire d'amour délibérément transgressive n'est que l'avant goût d'une banalisation de l'inceste (voir la de la pédophilie) éludant très machiavéliquement toute considération morale au profit d'une vision strictement émotionnelle, comme savent si bien en jouer les militants des causes marginales de cet acabit que la majorité réprouve.

C'est qu'il faudrait être sacrément débile ou malhonnête pour ne pas voir dans le duo Naomi Watts/Robin Wright la double déclinaison d'un même personnage (la mère), se faisant ramoner tranquillement par le fils (de l'autre?) dans une normalité forcée, usant sournoisement d'une rhétorique elle aussi double de la mère s'attendrissant devant l'enfant endormi tout en lorgnant son beau petit cul.

Une vision cauchemardesque de la famille où le père, ce vulgaire sac à foutre, ne sert qu'à fournir l'objet du désir à des madones s'auto félicitant d'avoir engendré des "Dieux" (Comprenne qui pourra...) entre reniflage de fions complices et relations à la limite de l'échangisme.

Que n'imagine t on la levée de boucliers si d'aventure le film avait mis en scène deux pères mûres se tapant la fille de l'autre!

Et à considérer le nombres de mécènes bien Franchouillards (Canal +, Ciné +, France Télévision...) ayant investis du pognon dans cette abomination (dont le nôtre en partie!), il est plus qu'effrayant de constater que non seulement la presse spécialisée acclame cet étron, mais pire encore, de réaliser que formellement, c'est toute une idée de l'émancipation féminine actuelle (convergeant vers ces moeurs pervers) qui nous est vendue chaque jours le plus innocemment qui soit (la couguar friquée, pétasse narcissique n'ayant que peu de considération pour les hommes biens tels que le personnage de Saul

N**** ta mère!
N**** la tienne!