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Un visiteur
4,0
Publiée le 24 février 2009
Cette deuxième partie est moins réussie, à mon sens. Cependant, le Che est décrit avec une sensibilité incroyable et une objectivité bien surprenante ! Il n'y a plus besoin d'autres films pour se faire un avis sur l'un des personnages les plus importants du 20ème siècle !
Dans la lignée du premier volet. Certes, on s’ennuie un peu au milieu mais l’aventure bolivienne est intéressante : pourquoi cette guérilla-là n’a-t-elle pas mené à la révolution ? Le film amorce une réflexion autour des doctrines de Guevara, au sujet de l’adhésion de la population au mouvement révolutionnaire. Malgré cela, il est toujours difficile de cerner le personnage. Dans ce film, le Che accomplit son destin qui se solde dans un final poignant.
Impatient de connaitre la suite et fin de l'histoire du che guevara, je me dirige donc en salle en esperant une histoire et surtout un film bien plus epique et passionnant que le premier volet. Des les premieres minutes, je comprend vite que ce film risque d'etre long et ennuyeux. Inutile de passer par 4 chemins, ce film est d'une monotonie et d'un ennui mortel. En fait il ne se passe rien pendant pres de 2h 15, les personnages passent ici et là sans que jamais on ne s'attache à l'un d'eux. Le seul point positif du film est bien entendu de prendre une leçon d'histoire plutot interessante nottament sur le role de l'armée bolivienne. Benicio del toro est toujours aussi parfait, il incarne le che avec une conviction qui laisse admiratif mais ça ne suffira pas à compenser la faiblesse de ce film tres decevant de la part de soderbergh. Il aurait etait bien plus intelligent de n'en faire qu'un seul film de 2h, le montage aurait été plus serré et la Réussite cinématographique bien plus évidente. Soderbergh a, au détriment d'un documentaire, oublié les clefs qui font qu'un film se doit de n'etre qu'une succession d'images racontant une hisoire. Musique inexistante, scenario peu consistant, une grande déception.
Un bon film mais ne reflète pas la réalité. Fait passer le Che pour un être sympathique alors que dans la réalité ... C'est une autre histoire. Allez sur ce lien de l'express : http://www.lexpress.fr/actualite/monde/amerique/du-sang-sur-l-etoile_475196.html
La première partie du «Che» de Steven Soderbergh souffrait de trop peu d'engagement. «Che Part Two» (USA, 2008) offre à le réévaluer en éclairant l'entière démarche du cinéaste. Si la première partie, de par son aspect de reconstitution, glorifiait sans génie Ernesto Guevara, la seconde en décrit la déchéance. Concentrée sur la révolution bolivienne, cette deuxième partie s'attarde sur les difficultés du Che à accomplir ce qu'il a su réussir à Cuba. Sans la fratrie Castro et le contexte géographique de l'île de Cuba, Guevara se voit confronter à d'autres difficultés. Son corps parfois souffrant de crise d'asthme dans le premier épisode devient alors pleinement fonction de la lutte. Contraint de se grimer en gringo pour passer la frontière bolivienne, Guevara met encore son corps en jeu par la suite en éprouvant de terrible crise d'asthme. Les conditions de réussite qui furent réunies à Cuba manquent en Bolivie. La réalisation de Soderbergh n'est plus celle distancée et efficace qui composait «Part One», elle s'attache plus directement au personnage du Che, le filmant dans une proximité quasi-physique. La photographie, signée sous un pseudonyme par Soderbergh, élude les ensoleillements du premier épisode pour laisser davantage dominer une teinte grise voire sibylline. Le sentiment de gloire qui émanait de la première partie est substitué par un sentiment d'incapacité et d'impuissance idéologique. Certaines séquences -notamment celle finale où le Che et un groupe réduit affrontent tout un commando de l'Armée de Bolivie au flan d'une montagne- expérimentent des formes inédites pour exprimer la souffrance intime de Guevara. Dès l'instant où le Che est blessé, la réalisation de Soderbergh bascule dans un flou qui, accompagnée d'une musique en tons graves et singuliers, entre en empathie avec le désarroi du protagoniste. Où «Part One» s'avérait dresser l'officiel apologie de la révolution cubaine, «Part Two» touche à l'intime et à l'angoisse de la défaite.
Quelques longueurs compensées par la très grande performance de Benicio Del Toro. Même si l'on peux souligner la rigueur du scénario et une direction d'acteur impecable, la réalisation laisse à désirer. Certaines scènes laisse à penser à un amateurisme non stylistique et un travail en post-production bâclé. Si vous n'avez pas l'oreil fine, vous n'aurez certainement pas été choqué par les différences de timbre entre les voix d'un plan à l'autre témoignant d'une prise de son à la perche monstrueuse. Accepeter ces soucis techniques surtout dérangeant vue le réalisateur, il reste un film très regardable et instructif.
Second film, aussi sobrement traité que le premier, délicat, simple et juste. Ce film est un livre ouvert, à nous de plonger encore plus loin...Chaque interprétation est excellente, les paysages révèlent les problèmes de communications des pays d'Amérique du Sud, grandioses et étouffant à la fois...
Soderbergh nous a déja un peu moins ennuyé avec la deuxième partie. Je mets 2 étoiles uniquement pour la préstation de Benicio Del Toro et la mise en scène. Mais Soderbergh s'est encore amusé à nous mettre des petits soldats en train de fumer du tabac et de faire cache-cache avec l'armée bolivienne dans la jungle.
en réponse à Christa: c'est moi qui dormait dans la salle. Et sinon, j'aurai hurler au scandale.Même si l'homme présentait des qualités indéniables, il a contribué à la mise en place d'un régime liberticide.
J'ai préféré la 1ère partie. La on reprend les même et on recommence. Le dernier quart d'heure (la capture et la mort du Che ) relève le niveau du film.
Chronique déprimante d'un désastre annoncé. Et on sait déjà depuis le tout début qu'il n'y a pas de happy end… Pour les fans et pour ceux qui ont envie d'apprendre la vie (et la mort) du Che. Dommage que le film ne parle pas de l'épisode au Congo.
Seconde et dernière partie de la biopic sur Ernesto Guevara, "Guerilla" est dans la même lignée que le premier opus. Mon avis est donc le même que pour le premier. J'ai trouvé ça très long, voir même interminable. Mise à part la dernière demi heure qui est pas trop mal. Le résultat m'a néanmoins pas convaincu, dommage, je suis passé à côté de quelque chose peut être. Mais ce portrait sur Che Guevara de 4h m'a plus ennuyé qu'autre chose, je suis pas arriver à rentrer dedans, à m'intérésser à ce personnage, à son vécu . La seul bonne chose dans ce film, c'est l'interprétation du che par Benicio Del Toro, c'est LA raison qui fait que le film vaut le coup d'oeil. Sinon pour le reste, j'ai pas accroché. 1 étoile donc pour Benicio.
Si l'objectif était de proposer une sieste de 4H pour le spectateur c'est sur on frole le chef d'oeuvre. C'est tout de même le réalisateur d'oceans eleven et de Traffic aux manettes... Clooney et Douglass avaient beaucoup plus d'aura ( dans ces deux même films) et de profondeur tandis qu'ils n'incarnaient pas l'homme de la Révolution. Une étoile pour le Che pas pour pour le film.