Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Brazil
par Nicolas Karlinsky
(...) Ce deuxième volet rachète tout le projet (...).
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Cahiers du Cinéma
par Eugenio Renzi
(....) si on nous forçait, des deux volets on choisirait Guerilla, qui dépasse l'Argentin en complexité et en inspiration (...)
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Monde
par Isabelle Regnier
(...) Rien dans sa filmographie ne laissait soupçonner chez Soderbergh une telle propension au lyrisme. Guérilla est sans doute à ce jour son meilleur film (...) Malgré un récit très dense, l'action ne tarde pas à se figer dans une sorte de surplace.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Florence Colombani
Voir le site www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir le Magazine StudioCinéLive Février 2009
Télérama
par Jacques Morice
(...) Guérilla est au fond un grand film mystique. (...) Le Che selon Soderbergh, c'est ça : un monstre d'idéalisme qui peut tout, y compris faire croire qu'il n'y a pas de fin. (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dvdrama
par Romain Le Vern
Pour être totalement convaincant, Soderbergh aurait dû aller encore plus loin dans l'exploration du personnage (ce n'est pas le temps qui manque) en tentant d'être plus subversif et moins superficiel dans son approche.
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
L'Express
par Christophe Carrière
Voir sur le site www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
La deuxième partie de Che (...) s'enlise dans les longueurs qui, certes, collent à l'itinéraire du personnage, sauvée par l'interprétation de Benicio Del Toro (...)
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
(...) Certes meilleur, plus cohérent que son prédécesseur, Che: Guerilla ne relève pas l'entreprise générale: la neutralité (...) dépassionne le mythe mais chute dans l'effacement.(...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par René Solis
(...) Le film se leste d'une intensité dramatique totalement absente du premier volet. (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par la rédaction
Une atmosphère sombre et sinistre, dans une grisaille pathétique.
Première
par Didier Roth-Bettoni
(...) Episodes spectaculaires d'un côté (...) impressions d'étouffement de l'autre (...) le destin du Che, réel et/ou mythique, n'est ici qu'un prétexte à une nouvelle expérience de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Une approche plus didactique aurait sans doute été plus éclairante. Cette fois, le cinéaste bannit tout spectaculaire, au risque d'un certain engourdissement. Mais l'aura de Benicio Del Toro reste magique.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
L'Obs
par Xavier Leherpeur
(...) Un spectacle aussi asthénique que rébarbatif (...).
Le Figaroscope
par la rédaction
La fuite en avant de Guevara dans la jungle, filmée caméra à l'épaule, à hauteur d'homme. Un parti pris artistique radical qui mène à l'ennui.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Carlos Gomez
(...) Steven Soderbergh (...) s'est lancé dans une entreprise qui l'a en partie dépassé (...) dans la forme surtout, sans doute inutilement longue (...) Del Toro est énorme de profondeur et de modestie dans son approche.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
TéléCinéObs
par Francois Forestier
(...) Lassante, cette deuxième partie montre un personnage christique (...).
Brazil
(...) Ce deuxième volet rachète tout le projet (...).
Cahiers du Cinéma
(....) si on nous forçait, des deux volets on choisirait Guerilla, qui dépasse l'Argentin en complexité et en inspiration (...)
Le Monde
(...) Rien dans sa filmographie ne laissait soupçonner chez Soderbergh une telle propension au lyrisme. Guérilla est sans doute à ce jour son meilleur film (...) Malgré un récit très dense, l'action ne tarde pas à se figer dans une sorte de surplace.
Le Point
Voir le site www.lepoint.fr
Studio Ciné Live
Voir le Magazine StudioCinéLive Février 2009
Télérama
(...) Guérilla est au fond un grand film mystique. (...) Le Che selon Soderbergh, c'est ça : un monstre d'idéalisme qui peut tout, y compris faire croire qu'il n'y a pas de fin. (...)
Dvdrama
Pour être totalement convaincant, Soderbergh aurait dû aller encore plus loin dans l'exploration du personnage (ce n'est pas le temps qui manque) en tentant d'être plus subversif et moins superficiel dans son approche.
L'Express
Voir sur le site www.lexpress.fr
La Croix
La deuxième partie de Che (...) s'enlise dans les longueurs qui, certes, collent à l'itinéraire du personnage, sauvée par l'interprétation de Benicio Del Toro (...)
Les Inrockuptibles
(...) Certes meilleur, plus cohérent que son prédécesseur, Che: Guerilla ne relève pas l'entreprise générale: la neutralité (...) dépassionne le mythe mais chute dans l'effacement.(...)
Libération
(...) Le film se leste d'une intensité dramatique totalement absente du premier volet. (...)
Ouest France
Une atmosphère sombre et sinistre, dans une grisaille pathétique.
Première
(...) Episodes spectaculaires d'un côté (...) impressions d'étouffement de l'autre (...) le destin du Che, réel et/ou mythique, n'est ici qu'un prétexte à une nouvelle expérience de cinéma.
Télé 7 Jours
Une approche plus didactique aurait sans doute été plus éclairante. Cette fois, le cinéaste bannit tout spectaculaire, au risque d'un certain engourdissement. Mais l'aura de Benicio Del Toro reste magique.
L'Obs
(...) Un spectacle aussi asthénique que rébarbatif (...).
Le Figaroscope
La fuite en avant de Guevara dans la jungle, filmée caméra à l'épaule, à hauteur d'homme. Un parti pris artistique radical qui mène à l'ennui.
Le Journal du Dimanche
(...) Steven Soderbergh (...) s'est lancé dans une entreprise qui l'a en partie dépassé (...) dans la forme surtout, sans doute inutilement longue (...) Del Toro est énorme de profondeur et de modestie dans son approche.
TéléCinéObs
(...) Lassante, cette deuxième partie montre un personnage christique (...).